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Le lendemain de l'arrivée de mes parents, aujourd'hui on a entraînement avec Tôo. Depuis qu'il on plus Daiki, il s'entraîne sans relâche. Ils ont toujours Momo et son encore dans le top 5 des équipes à battre absolument. Ils sont super fort même si on est premier devant Rakuzan. D'ailleurs en parlant d'eux. Ils veulent faire un match amical entre nos deux écoles sauf qu'Akashi ait sur que j'étais enceinte et il a dit qu'on attendrait que j'aie accouché pour le faire. Donc bon, il y en a pour un moment. Bon, pour le moment, je suis sur le banc de l'entraînement avec mes parents et ceux de Daiki qui on voulut venir le voir joué et mon père comme le sien sont en train de jouer avec eux. On attend l'arrivée du coach qui est en retard ce qui est extrêmement rare. Tien en parle d'elle, toujours en train de gueule sur son vieux. Ils sont désespérants, ces deux-là. Quand sont pères a vu les nôtres, il leur a sauté dessus.

-Sekketsu ! Eijirô ! 

Nos parents se sont retournés.

-Kagetora !

Il avait tous les deux l'air très heureux. Nous sur le banc, on discuté du petit ou de la petite sur comment on va l'élever est tout. On parlé, je ressemblé a une femme qui discute en terrasse d'un café avec d'autres. Ça a l'air d'agacer mon Daiki. Il a les sourcils froncé, ces drôles. Ne me dis pas qu'il est jaloux de sa mère et de la mienne quand même ? Je soupire.

-Excusez-moi, je reviens.

Je me lève et viens le prendre dans, mes bras et lui chuchote.

-Tu ne serais pas jaloux de nos parents quand même mon ange ?

Il soupire d'agacement et me dit avec la même voix.

- Tu ne fais pas attention à moi. Tu me regardes que très rarement.

Il avait plus une voix de boudeur et avais gonflé les joues. Je n'ai pas pu m'empêcher, je me suis tape une barre. Il me regarde et me tourne le dos pour partir. Je le retiens et heureux lui dit.

-Mais mon amour, je te regarde. Tout le long, j'avais les yeux rivé sur toi sinon comment aurais je vue ta bouille de jaloux.

Il sourit et vient m'embrasser.

-Je t'aime mon rouge.

Je souris au surnom et l'embrasse. Après ça, je deviens rouge me rendent compte qu'on avait tout les regards braque sur nous. Aomine rigolé doucement de gène et moi, je me cache dans ces bras. Mon père vient nous voir.

-Bas alors mon fils ça ne va pas ?

Daiki m'entoure de ces bras et je regarde mon père d'un œil.

-Mais c'est à mourir de honte ce qu'on vient de faire.

Kagetora vient voir mon père l'air étonné.

-Attend Sekketsu, Kagami et ton fils ? Et toi Eijirô si t'es la, ça veux dire qu'Aomine, c'est le tien ?

On explose tous de rire. Il est sérieux, il les a entraînées et ne se souvient plus de leur nom. Mon père dit faussement horrifier.

-Attends-tu te souviens plus de nos noms de famille ?

-Bas non.

Tout le monde souffle désespère.

-Bas quoi sa remonte a loin, je n'ai pas eux qu'eux en élève.

-Ouais, mais tu te souviens de nos prénoms pourquoi pas nos noms ?

-Je ne sais pas.

On tire toute une gueule de désespérer. Il n'est pas possible quand il, si met. Mon père explose de rire et nous dit d'une voix rieuse.

-C'est vrais que tu ne retiens que ce qu'il t'intéresse.

-Ouais et alors. Vous étiez de très bon joueur tous les deux.

- Sa ne t'a pas empêché de ne pas retenir nos noms.

-Ouais, bon, vous n'allez pas me le reproché tout le long.

-Non, ne t'en fais pas pour ça. On joue ?

Dit mon père gaiement.

Ont soupir tous et j'embrasse Daiki avant de retourner aux prés de nos mères. C'est vrais que mon père est un vrai gosse quand il, si met. Bons, tous se mettent en position et attendent le coup de sifflet. Papa et dans mon équipe avec Daiki alors qu'Eijirô et avec Tôo. Ils vont bien s'amuser sens moi malheureusement. J'aurais temps, aimé être sur le terrain, mais je préféré prendre soin de mon amour. Daiki a remarque que je regarde le terrain avec envie, il fronce les sourcils en me regardent ce qui fait tourner la tête à mon père qui le remarque puisqu'il, ce parlé.

Je soupire et détourne le regard sur ma mère qui a le regard inquiet. Un nouveau soupir m'échappe. Et je dis lasse.

-C'est rien maman, je les envie juste.

Elle fronce les sourcils.

-Comment ça, c'est rien mon ange, je sais très bien que tu veux y aller, mais pour le bébé ne vos t'il mieux pas.

Je lève les yeux au ciel lasse et réponds du même ton.

-Je le sais très bien maman, mais cela ne m'empêche pas d'envier mon copain qui joue librement.

- Crois-moi, c'est loin d'être le cas.

Je fronce des sourcils et d'une voix semis énervé dit.

-Comment ça, il ne joue pas librement ?

Elle soupire.

-Te rappel tu, que quand vous l'avez fait il ta marque ?

-Oui, je m'en souviens, pourquoi sa maman ?

-Parce qu'il ressent tout ce que toi, tu ressens et inversement.

Je soupire.

-C'est de ça que tu parle maman ?

-Oui mon chéri.

-Mais je le sais déjà tout ça.

Elle soupire.

-Alors tu sais ce qu'il ressent.

-Oui, je le sais maman.

On se regarde et je rabats mon regard sur Daiki, il avait commencé le matche entre deux.

Il me lance un regard et il comprend qu'il peut jouer tranquille. Il me fait un signe de tête et je lui souris. Il se met à jouer de plus en plus sérieusement et fini par entrer dans la zone ce qui ravis nos mères puisqu'il si mètre aussi ce qui fait arrêter le jeu.

Kiseki no sedai wa dōbutsudesu FiniOù les histoires vivent. Découvrez maintenant