Cohabitation avec les bourgeois 1

connard

Tu crois qu'il est fâché demandais-je a Olivier qui mettait maintenant une tonne de confiture sur les toast déjà remplie de beurre de cacahuète.

Comment ce mec faisait pour garder la forme ? Ça faisait deux minutes j'étais ici il avait dévalisé le frigo.

- Non il va se calmer c'est juste qu'il est pas habituer que quelqu'un d'autre lui tienne tête en dehors de mes parents ...

Je sais que ça j' en avais pas l'air, mais je détestais les problèmes, et j'essayais de les éviter le plus possible surtout si je dois cohabiter avec eux pendant 1 an. Mais j'étais tellement fâché, que ma mère ma juste abandonné ici. Je connaissais personne je ne savais pas vraiment a quoi m'attendre, j'étais sur la défensive.

- Alors Kaylie tu as hâte de commencer le lycée ?Me demandait Olivier.

Je lui fis le plus faut de mes sourires .

- J'ai jamais eu aussi hâte de me retrouver avec les gosses de riches!

Il me sourie, j'aimais le fait qu'il ne prenne pas mal tout mes commentaires sur sa classe social.

- Il faudrait plus de filles comme toi a nôtre école ...

Je lui sourie en retour et lui dit :

- Par contre il faudrait moins de gens comme toi ...

Il me fit un regard faussement outré .

- Moi je suis un des meilleurs élément de ce lycée ma belle par contre tu vas être ...Comment je pourrais dire ça dans ton langage ...Complètement remonter !

- Mon langage c'est le français connard comme tout le monde, et je dirais jamais un truc aussi nul comme complètement remonté ...

Il eu l'air surpris .

- Sérieux ! Tu dis quoi d'abord ?

J'ai les putain de même expression que toi !

- Surprise ...

Vous voyez les gens comme lui pensaient toujours que j'étais un genre de refus de la société, avec des expression bizarres ...

- Je sais Kay je te taquinais ,tu aurais du voir ton expression ça disait :"putain de bourgeois"

Je lui sourie .

- Ça c'est un vocabulaire que j'utilise !

Et nous sommes partie à rire .

Peut-être que je l'avais jugé trop vite ...

- Alors il est comment le lycée ?

Il pris une grosse bouchée de son pain et me dit la bouche pleine :

- Chu cha détechté ...

Je peux savoir où ce type a été élevé ?

- Peut tu évite que je vois tous le tralala qui se passe dans ta bouche ...

Il fini sa bouchée et me dit :

- Tu va détester...

Tu m'apprend rien de nouveau savais que j'allais déteste à la seconde que ma mère avait ouvert la bouche pour m'en parler ...

- Chérie j'ai dois te parler ...

Ma mère qui avait d'habitude se sourire moqueur sur ses lèvres l'avait remplacer par une mine sérieuse .

Et j'avais tout de suite sue que quelque chose clochait, parce que ma mère était pas du genre sérieuse, loin de la en faîte. Et c'est ça que j'admirais chez elle, malgré le fait que nous ne vivions pas de le meilleur des quartiers, que notre appartement était minable et que l'éducation était au même niveau que le quartier, elle réussissait toujours a faire des blagues a rigoler et gardait constamment se sourire qui illuminait mes journée.