3.

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Lola.

J'enlève le plaide que notre mère a dû mettre en rentrant. Camille dort toujours à côté de moi.

Je me lève et monte directement les escaliers. Il est que 8h. Je suis une leve tôt.

Je me rallonge sur mon lit avec mon téléphone. Je fais un tour des réseaux sociaux en attendant que d'autres personnes dans cette maison se réveille.

C'est mon père qui pointe le bout de son nez en premier. Il m'offre un grand sourire en rentrant dans ma chambre.

– Nous sommes que deux à être réveillé ? J'hoche la tête.

– Ouais, malheureusement.

– Pas pour longtemps.

Je descends les escaliers. J'ouvre la porte de la cuisine. Je rentre dans celle-ci.

Je prends un bol, une cuillère, un verre, du lait et des céréales dans les placards et le frigo.

J'installe tout ça sur la table avant de m'y installer. Je mange mon petit déj toute en regardant la télé.

Plus besoin d'etre les plus discrets, ma sœur vient tout juste de se réveiller.

– Vous n'aurez pas pu attendre avant d'allumer la télé ? Du genre, le temps que je me réveille, nous gronde-t-elle.

– Bah, tu es réveillée, je dis.

– Tu es blonde ? Me demande-t-elle.

– Bah non, je suis brune, elle lève les yeux au ciel.

Je sais que je peux être exaspérante juste pour la faire chier. Mais aussi, elle a toujours de chez toujours une tête de cochon le matin. Comme notre mère, il ne faut surtout pas lui parler le matin ou tu signes tout arrêt de mort.

– Olalala, dire que je suis plus petite que toi, je la regarde de travers.

– Tu changes d'humeur en deux deux ou comment ça se passe ?

– Tu ne peux pas te taire cinq petites minutes ?

– Tu ne connais pas l'humour, le sarcasme, l'ironie ?

Elle me lance un regard noir que je comprends pas. Elle monte les escaliers sans dire un mot de plus.

Toute façon, je n'ai jamais compris ma sœur. C'est comme Ilona, ce sont deux choses que je ne comprendrais jamais.

Je range tout avant de retourner dans ma chambre. Mon chez moi.

Je prends des affaires propres pour aller me doucher. Je profite d'avoir la salle de bain qu'à moi.

Je rentre dans la cabine de douche une fois que je me suis déshabillée. Je me lave les cheveux et le corps.

Je sors de la cabine en enroulant une serviette autour de ma taille.

Je décide de m'habiller décontracté aujourd'hui. Un jogging, des baskets et un pull vont faire l'affaire.

Je brosse mes cheveux bruns en grogant. C'est une habitude maintenant, mes cheveux sont tellement difficile à démêler (NDA : ce si est réel, j'ai les même cheveux dans la vraie vie).

– Ma chérie, je vais chercher le pain, me dit mon père à travers la porte.

– Ok, à tout de suite.

– Oui.

Je ne pense pas qu'il a compris grand chose. Je me brossais les dents en même temps.

Je sors de la salle de bain en mettant mes affaires sals à laver. Je rentre dans ma chambre.

J'ouvre le volet et la fenêtre pour faire de l'air. Ça sent souvent le fauve dans ma chambre.

*

Ma maman rentre dans ma chambre. Elle s'allonge sur le lit en soupirant.

– La famille de papa vient manger à la maison ce soir, il y aura tes cousins, tes cousines, tes oncles, tes tantes. Je sens que je vais faire à manger pour beaucoup de personnes, déballe-t-elle.

– Je peux t'aider, je sors.

– Là tu peux !

– Et il faut que je me change ?

– Si tu veux. Mais change toi après. Comme ça tu ne saliras pas ta belle tenue.

– Mais c'est une belle tenue ce que je porte !

Elle rigole et sort de ma chambre. Toute façon, on dit que j'ai un style vestimentaire pourri

Je la suis dans la cuisine. Elle me dit que je peux éplucher les patates.

C'est ma spécialité, j'eplûche toujours les patates. Aussi j'aime bien le faire.

Je prends un éplucheur (NDA : ça se dit comme ça ?) pour gauchère. Je suis la seule gauchère de la famille.

J'eplûche en tout, quinze pommes de terre. Même que maintenant j'ai très mal à la main.

– Je pense que tu as fait beaucoup. Tu peux aller t'habiller.

Je lui dépose un bisou sur la joue et remonte les escaliers. Pour l'instant aucunes nouvelles d'Ilona et ça me plaît bien.

Je m'habille d'un jean bleu et d'une chemise à raillures. J'enfile mes baskets noir et blanche plus une montre au poignet avec des bracelets.

Je me maquille très légèrement avec du mascara et descends en bas.

Je rejoins ma mère dans la cuisine. Elle me sourit.

– Tu veux que je mette la table ? Je demande.

– Oui, comme ça je pourrais me préparer.

Elle monte la haut. Je mets donc la table.

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801 mots les gens ! Je pense que je vais rester dans les 700/800 mots pour l'instant.

Honnêtement, je trouve que ce n'est pas le meilleur que j'ai fait et que je vais faire. Je le trouve trop simple. Mais il faut toujours des simples sans aucuns rebondissements dans un livre.

À par ça, vous pensez que ce repas va bien se passer ? Je n'ai pas encore décidé de la suite. Car à la base, je voulais le finir et le corriger dimanche. Sauf que je ne peux pas (ou je voulais vous le poster maintenant parce que j'ai la grosse flemme).

Salut, salut !

Nana

JUSTE MOI. Where stories live. Discover now