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Il faisait nuit noir, aucune lueur de joie dans cette chambre qui sentait l'enfermement. J'étais par terre, recroquevillée sur moi-même à contempler les dernières lueurs d'espoir à travers ces innocentes étoiles. Par terre, à attendre mon heure venue, par terre avant de disparaître de ce monde qui n'est devenue qu'un enfer vivant.
tellement sombre qu'aucune lueur de joie à traverser cette chambre morte depuis mon arrivé sur cette terre.Je souriais à la vu du ciel, j'aurais aimée être dehors. J'enviais la pluie qui elle était libre, j'enviais les petits enfants allant à leur écoles, j'enviais tout simplement le monde.
je suis juste une fleure fanée, fanée par le monde qui m'entoure. Par cette homme qui m'en fait voir de toute les couleurs depuis que son géniteurs n'est plus de ce monde. Son coeur est devenu dur comme de la pierre..
Son coeur ne voit plus le jour comme le mien d'ailleurs mais il survit mieux que moi, il arrive tout de même à sourire, moi il ne me reste qu'un seul masque. Le masque qu'on ne m'a jamais volée, le masque qui me colle à la peau. La joie on me l'a volée, le masque avec un grand sourire on me l'a volé.
alors je souris à l'envers.
En quelque seconde mon coeur se resserre, son odeur dansée sur cette chambre et je m'en doutais fort qu'il n'est pas ici.
Je me remet en place, je n'osais pas me retourné. Je n'osais pas le regardé, je n'osais tout simplement pas l'affronter. Je force à ne pas ouvrir les yeux, je veux pas le regardais. Pour la simple raison que son regard brûle le mien.
lui-Mìra, à te voir on aurait dit que tu es morte.
Cette phrase avec une intonation plus que provocante. Oui Selim morte de l'intérieur, par ta faute.
Selim-Viens par là.
Je ne bronche pas et me lève, je n'osais me retournée. Il pose sa main sur mon épaules droite ce qui me brûle la peau, il me retourne et lève mon menton.
Selim-Allez arrête ton cinéma bella.
Il pose le plateau sur la table qui me servais de chevet et sort un désinfectant pour se frotter les mains.
Il s'assoit sur le lit et me dis d'une voix très calme et très horrifiante.
Selim-On a plus le temp de jouer, tu es grande maintenant, tu es belle, magnifique..Un beau corps..
Il s'arrête sur cette phrase et me touche la lèvre avec son pouce, je sentais son envie folle de m'embrasser ce qui m'effrayait. D'autant plus que sa cicatrice noir, qui se trouver sur son cou, Comme si on lui avait tranché la gorge sans aucuns sans froid, ça lui renvoyer une image plutôt sombre de lui. Certaines pourrait trouver ça charmant mais moi je trouvais ceci repoussant et tout chez cette homme me donnait la nausée. Si seulement je pouvais m'enfuir si seulement je pouvais ne serait-ce que respirer cette air frais de dehors.
De pouvoir revivre tout ces moments passés aux simple côté de ma mère...mais tout cela n'était qu'un simple rêve qui s'était éteint à tout jamais.
Je détourne le regard en serrant ma mâchoire pour qu'il arrête de me toucher, il l'enlève toujours avec ce sourire plus que désagréable. Je vois sa main descendre sur ma cuisse et il l'empoigne avec brutalité.Il approche son visage de mon oreille et me chuchote d'une voix plus que malicieuse.
Selim-que ton cauchemar devienne réalité mìra.
j'espère que cette première partie vous plaît, du moins je l'espère à bientôt.
