Tishah *9*

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Lynn Yıldırım en multimedia

{Salam Alaykoum mes perles}

France, Marseille, 10h03

Je sens ma tête qui est en train de tourner, j'ai la nausée, mes pompières sont lourdes soudain je sens une caresse qui me refroidit le dos, j'ouvre les yeux et je vois Imad avec un grand sourire en tenant ma main dans la sienne

Je me relève en sursaut et enlève ma main, il n'y a que nous deux dans la voiture, je regarde par la vitre et je vois qu'on est dans un désert et que deux hommes grands et Cousteau se trouvent devant la voiture en surveillance

Moi : ramène moi chez moi immédiatement

Imad : neden bu kadar acele ediyorsun, uzun uykundan daha yeni uyandın... ha bu arada.. uyurken çok güzelsin *pourquoi autant de précipitation, tu viens juste de te réveillée de ton long sommeil.. en parlant de ça.. tu es très belle quand tu dors*

Moi : je te jure Imad que si tu me ramène pas chez moi dans les minutes qui suivent je porterai plainte

Imad : *rire nerveux* avec quelles preuves ? Les caméras de surveillance ?

Il cherche dans sa poche et en sort une cassette qu'il agite devant mes yeux

Imad : il n'ya plus aucune trace dans votre système de surveillance alors tu compte porter plainte toujours ?

Moi : qu'est ce tu me veux ?

Imad : je te l'ai déjà dit, et je pense que tu as la réponse mais maintenant c'est moi qui vais te poser une question

Moi : ..

Imad : il a quoi de plus que moi ?

Moi : de qui tu parles ?

Imad : fait pas l'innocente avec moi tu sais très bien de qui je parle
Moi : tu n'es ni mon frère, ni mon père pour me poser ce genre de questions, je n'ai aucun compte à te rendre

Imad : tant que tu parlera pas tu restera enfermée dans cette voiture

Je regarde autour de nous et je vois vraiment aucune issue, ses gardes ont encerclé le périmètre personne peut nous voir, je peux même pas demander de l'aide

Moi : Imad ne fait pas le fou, ils vont commencer à s'inquiéter et Taner va prévenir papa ça va très mal se passer

Imad : ce problème est aussi réglé, personne se doutera de ton absence

Moi : t'es vraiment un connard !

Il me souris, croisé ses jambes et passe sa main au tour de mes épaules, je me recule directement et lui crache dans la tranche

Moi : n'ose même pas me toucher

Il est énervé je le sens et je le vois aussi, il serre les dents et sort de la voiture il oublie pas de ferme la portière derrière lui en la claquant bien fort

Alanood : Tu as été le seul pour moi.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant