[AO3] A Song of Ice And Fire: The Last Dragon

Déclaration de guerre

[Cour de Châteaunoir]

Davos et moi aidons Jon à sortir. Malgré sa nuit de repos il est encore faible. Mais c'est normal. Il revient de la mort !

Les dragons s'envolent retrouver leurs parents, et nous descendons les escaliers. Tout le monde arrive. Ils nous laissent passer

Tormund: Ils te prennent pour un dieu. L'homme revenu d'entre les morts.

Jon: Je ne suis pas un dieu.

Tormund: Je sais, dit-il en s'approchant. J'ai vu ta queue. Quel dieu en aurait une aussi petite ?

Je tape Tormund à l'épaule.

Tormund: Mais bon, t'as quand même réussi à la mettre enceinte alors...

Il laisse sa phrase en suspend et prend Jon dans ses bras. Jon s'avance vers Edd et je reste avec Tormund qui me serre aussi dans ses bras.

Edd et Jon s'enlacent. Ils discutent, puis les traîtres vont être pendus. Je suis aux côtés de Tormund et Jon arrive.

Jon: Si vous avez une dernière parole, c'est le moment.

Homme: Vous devriez être mort. C'est mal.

Je serre les poings et Tormund pose une main sur mon bras pour me calmer

Jon: Comme de m'avoir tué.

Alliser: J'avais le choix, Lord Commandant. Entre vous trahir et trahir le Garde. Vous avez ouvert la porte aux sauvageons. A une armée de tueurs et de pillards. Si c'était à refaire, même connaissant l'issue, j'espère que je referais le bon choix.

Je grogne.

Tormund: Hé calme toi. Ton gamin va être un stressé si ça continu, me murmure-t-il

Jon: Je n'en doute pas Ser Alliser

Alliser: Je me suis battu, j'ai perdu. C'en est fini. Mais vous, Lord Snow, vous ne cesserez jamais de vous battre.

Jon: Non. Surtout pas maintenant que j'ai une famille à protéger.

Il s'avance et s'arrête devant Olly. Il ne dit rien, alors Jon sort son épée, ne fais rien puis coupe la corde. Ils ne meurent pas sur le coup mais quelques secondes après. Jon range son épée, les regarde puis va voir Edd. Il enlève son manteau et le donne à Edd.

Jon: Châteaunoir est à toi. Mon tour de garde est fini.

Jon vient vers moi, me tend la main et je la prends. Nous allons faire nos affaires. Maintenant qu'il est libéré de son serment, tous ira mieux.

Je vais dans ma chambre et rempli mon sac. Un cor retenti et je sors. La porte s'ouvre sur une fille, rousse, avec une femme trop masculine et un homme trop féminin. Ils s'arrêtent au milieu de la cour et descendent de cheval.

Jon sort, vois la rouquine et ils s'enlacent.

Fichue jalousie c'est pas possible.

Jon l'accompagne quelque part, je ne sais pas où. Je vais voir Tormund.

Tormund: Toi t'es jalouse. Si t'es yeux lançaient des épées cette pauvre gamine serais en morceaux

Visenya: Et toi t'es amoureux. Si tes yeux lançaient des cœurs, la grande asperge ressemblerait à une pièce de crochet.

On rit tous les deux puis ma nausée monte.

Visenya: Je dois y aller.

Je pars en courant jusqu'à ma chambre et arrive à temps devant le sceau. Je vomi le maigre petit déjeuner que j'ai pris.