la villageoise [EN PAUSE]

chapitre 19

Mais malgré moi je me courbe et l'embrasse,nos lèvres dansent ensemble puis elle fini par me sourire

-je t'aime bris

Cette phrase fit battre mon coeur à la chamade,tout mes sens s'accélèrent,d'enormes frissons parcouraient mon corps.

J'étais heureux de l'entendre

Je parsemais son corps tout entier de baisers tout en m'attardant sur les parties qui la faisait jouir et gémir mon nom.

J'adorais l'entendre gémir et crier mon nom,me suppliant de me mettre fin à la torture et enfin la libérée.

Ce n'est lorsque je la pénétra que je ressenti moi aussi ce plaisir...

Je me reveille en sursaut

Un rêve...

Ce n'était qu'un rêve

Je vais dans la salle de bain et regarde mon reflet dans le miroir

J'ai les joues toutes rouges...

Et mon sexe est...comment dire... Levé

Non c'est pas possible...

Je panique et tourne en rond dans la salle de bain

-non mais qu'est-ce que tu me fais là ? Ce n'était qu'un rêve alors pourquoi t'es debout ?
T'es sensé être debout quand je pense à armel, nina ce n'est qu'une amie merde

Je m'énerve tout seul les larmes aux yeux

Non. Je me suis bâtit une vie et ce n'est pas une femme qui va me la gâchée

Non je refuse d'être hétérosexuel

Je prends mon téléphone et compose son numéro

J'ai envie d'entendre sa voix

Qu'est-ce que je dis?je veux juste mettre cette histoire au claire

La deuxième tonalité finissait de sonné qu'elle décrocha au même moment

-allô fit elle d'une voix enjouée

-euhm nina c'est bris

Dis je ne savant pas parquoi commencé

-ouuii bris je sais ton numéro est enregistré dans mon téléphone

Elle ne semble pas attristée par mon départ, sa voix est plus chaleureuse, plus joviale

J'ai l'impression d'être un bon débarras

Ça m'attriste

-ah tant mieux... Sinon ça va ?

-oui et toi?

Je regardais mon sexe peu convaincu de ce que j'allais répondre

-oh oui ça va...ça va très bien même

Elle émettait un petit rire

-j'en suis ravie...arrête ça

Je l'entends chuchoter ses mots à quelqu'un

À Daniel j'en suis sur

À cette pensé mes sourcils se froncent,ma poitrine se gonfle et je sens mes muscles se contracter

Il n'en manque pas une ce connard.

Toujours là à me voler ce qui me plait,ce qui m'appartient

Et le simple fait de l'imaginer en train de se faire peloter par mon batard de frère me mets hors de moi

Ma respiration se fait bruyante mais j'essaie de la canaliser pour ne pas commettre d'erreur