En vie d'elle / Sneazzy [TERMINÉ]

16. May-Lhine

Elle est gênante ... ma grand mère est gênante. Mais pas un truc mignon de vieille dame hein.

Non non " prenez le lit "

Je veux mourir.

Et s'il vous plait, on sait jamais, brûlez mon cadavre.

Sneazzy ça l'amuse, il attend qu'elle passe la porte pour me demander :

- On va tester le lit ?

Il me fatigue ce gosse.

Je le regarde blasé et débarrasse la table.
Il m’attrape par la taille.

-Je rigole...

Je colle mon dos contre son torse et je penche la tête légèrement en arrière:

- Tu as un humour de merde

-Mais tu aimes mon humour de merde.

- Ça dépend quand en fait ...

Je caresse sa barbe. J'aime bien la toucher

-Elle est cool y’a grand mère enfaite

- Mmh ... elle a le même humour de merde, elle parle de cul comme de cuisine et elle a 3 amants.

-Ah quand meme...

- Cherche pas elle sait mieux gérer les bails que toi ... essaie même pas savoir d autres meufs ...

Il se détacha directement de moi.

-Tu me fais pas confiance ? C’est ça le truc!?

- Non ... si je sais pas ! Merde ! Tu vas pas taper une crise ? On se connaît depuis pas longtemps et  ... Je sais presque rien sur toi en fait ... Je veux vraiment te connaitre apprendre à te faire confiance. Mais bordel j'ai même pas confiance en moi !

-T’énerves pas... c’est juste que moi aussi j’ai peur, mais si t’as pas confiance en moi c’est sûr que c’est mort d’avance..

Je le regarde et je reviens dans le creux de ses bras :

- Je vais apprendre ... Je te promets

-La on avancera..

Un léger sourire se plaça sur ses lèvres

Je lève la tête vers lui et dépose de petits bisous dans son cou.

J'aime être contre lui ...

-Tu vois que tu veux le tester le lit..

Je le tape avec le torchon de cuisine :

- Si t'as plus de couilles ça servira à rien le lit

-Pourquoi j’aurais plus de couilles d abord ?

J attrape un des couteaux de cuisine Et je le pointe dans sa direction :

- J'sais pas .... j'sais pas ...

Il accourut vers moi, me plaqua contre le plan de travail m’ota le couteau des mains pour le poser dans le lavabo,
Puis me roula une putain de pelle comme dans les films pour au final me dire:

-T’es vraiment une taree

Entre temps j'étais complètement appuyée contre le lavabo et mes jambes autour de lui.

- Il faut l'être encore plus pour rester avec moi.

-Alors je suis fou.. fou de toi.

Je ris et l'embrasse, mes mains passent sur son torse et je l attire toujours plus à moi