Chapitre 2 (4/5)

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PRÉCÉDEMMENT ;

J'avais du mal à respirer, mes yeux se fermèrent peu à peu.. Puis il commença à rigoler, que va-t-il me faire ?! Isaac s'approcha de moi, ma respiration était de plus en plus forte. Il me demanda de me calmer, mais après ce qu'il avait fait je n'y arrivais pas. Isaac sauta dans mes bras, et me serra fort contre lui. Qu'est ce qui lui prend ? Je suis vraiment perdue là..;


Isaac : June, je t'aime je te demande pardon, un million de fois pardon. Je n'aurais jamais dû faire ça.. me dit-il avec une voix tremblante.

Je le repousse et je le regarde dans les yeux en lui disant;

Moi : Isaac ne pleure pas, on en parlera plus tard lâche ce caillou et appelle la police.


Isaac me tend son téléphone, il veut que c'est moi qui tape le numéro car il tremble de partout ce qui selon lui pouvais le ralentir d'une seconde. Bon, je compose le numéro de la police du Texas et je lui tiens le téléphone à l'oreille. La voix tremblante d'Isaac explique la situation et donne notre localisation. La dame à l'autre bout du fil lui dit qu'ils seront sur place dans quelques minutes. Pendant ce temps Isaac en profite pour attacher les mains et les pieds d'Adam au cas où il se réveillerait. Je n'ai pas totalement confiance en Isaac mais j'essaye, ce qui est déjà un bon début.

** 15 minutes plus tard **


La police était sur les lieux, Adam est conscient, Isaac avait bien fait de l'attacher. Je vois Adam se faire menotter les mains et je me demande comment j'ai bien pu tomber amoureuse d'un garçon comme lui. Les apparences sont parfois très trompeuses. Adam me lâche un regard froid comme si il voulait me dire qu'il n'en n'avait pas fini avec moi. Quand je l'ai vu se faire menotter je me suis sentie en sécurité. J'étais tellement heureuse de le voir s'en aller dans cette voiture de police. Et puis la lumière du jour m'avait tellement manquée, le soleil tapait sur mon visage mes cheveux s'envolaient dans le vent. Je pris une profonde respiration et je remerciais Dieu d'être encore en vie. Je ressens une main sur mon épaule je me retourne et c'est l'officier.


L'officier : Bonjour, mademoiselle, me dit-il.

Moi : Bonjour monsieur l'officier, lui répondis-je.

L'officier : Nous avons prévenus vos parents ils arrivent et nous l'avons arrêté vous n'avez plus de soucis à vous faire nous allons lui faire passer plusieurs tests mentaux et un intérrogatoire.

Moi : Je vous remercie infiniment Monsieur!

Lofficier : Remerciez votre ami si il n'aurait pas été là, vous ne serriez plus là, me dit-il en parlant d'Isaac.

Je lui réponds par un hochement de tête, et je tourne la tête et je regarde Isaac nos regards ne croisent. Il s'approcha de moi et me dit;


Isaac : June j'espère qu'un jour tu me pardonnera.


Je ne lui réponds pas, je regarde ailleurs pour lui faire comprendre qu'il doit s'en aller. Il comprend, se retourne et s'en va, la tête baissée. J'aperçois mes parents au loin, courir vers moi je cours vers eux et je saute dans leurs bras. J'ai les larmes aux yeux j'ai tellement eu peur de ne plus jamais les revoir.

Papa : Ma fille ! Tu nous a tellement fait peur ! me dit-il avec les larmes au yeux.

Maman : Je t'aime ! Dieu merci tu es en vie!


Je les serrent fort contre moi, sans rien dire et je me laisse aller je pleure toutes les larmes de mon corps. Après quelques minutes passées mon père veut parler avec Isaac pour le remercier.

Papa : Isaac c'est bien ça ?

Isaac : Oui , m'sieur ! dit-il.

Papa : Je tiens à te remercier d'avoir sauvé ma fille .

Isaac : C'est normal Monsieur, dit-il en me regardant.


Nous rentrons à la maison, de suite je monte dans la salle de bain me doucher. Ça faisait tellement du bien d'être chez soi. Même voir mon visage dans une glace m'avait manquée. Je sors de la douche puis je descends passer du temps avec mes parents. Je me pose dans le canapé entre les deux puis j'attrape le pot de Pop-Corn, mon père passa les chaînes et tomba sur un bon film d'action que nous regardâmes avec mes parents. Je commençais à m'endormir quand tout à coup le téléphone fixe sonna, mon père décrocha;

Papa : Oui, allo ?!

[...]


C'était l'officier à l'appareil, il nous demande de passer au poste de police au plus vite, il nous a dit qu'il y avait urgence. J'espère qu'il n'y aura pas de problème. Le stress monte, que va-t-il se passer cette fois ?!

Si elle tombe elle meurt..Wo Geschichten leben. Entdecke jetzt