Un.

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Ma véritable histoire. Bonne lecture.

Mes mains se mettent à trembler, lorsque j'ouvre finalement les yeux. Un frisson énorme me traverse le corps, je tourne ma tête vers la gauche et remarque que je suis dans une chambre. Une chambre d'hôpital il me semble. Un long tuyaux est placé entre mes lèvres. Je respire lourdement ne comprends rien du tout a la situation. Mon cerveau semble être au ralentit, je prend du temps a assimiler plusieurs choses. Des grosses machines sont à mes côtés, elles font toutes un bruit et à force de les entendre, elles finissent par m'épuiser encore plus que je ne le suis déjà. En restant là, immobile je ne panique pas. Pourtant je ne sais plus grand chose, comme mon nom, la raison pour laquelle je me retrouve ici. Je ne connais ni mon âge, je ne me souviens pas de la tête que je peux bien avoir.. Rien, non rien du tout. C'est le néant total. Je me demande même si ce n'est pas un cauchemar, j'ai l'impression d'être seule au monde. Un peu stone, j'arrive tout de même à sentir un picotement dans mon nez, il me gratte. Mais je n'arrive pas a lever mon bras pour le gratter. Mon cerveau ne donne aucun ordre un mon bras ce qui veut dire que je ne me frotterais pas et de plus même si j'arrivais à faire bouger mon bras je ne pourrais le toucher, car un autre tuyaux est enfoui dans mes narines, d'ailleurs la sensation est très désagréable. En touchant mon index à l'aide de mon pouce, je sens une espèce de boîtier en bleue qui l'embrasse complètement, je soupire tout en fermant les yeux. Je me réveille plus tard dans la journée et j'ai le sentiment que tout est noir autour de moi, qu'il n'y aucune autre nuance de couleurs. Ce noir m'oppresse, c'est comme si quelque chose de lourd s'était posé sur ma poitrine ce qui m'empêche. d'un coup de respirer, quelques pas se font autour de moi. Je ne sais pas qui sont ces gens exactement mais ça doit être des médecins, je l'ai compris lorsqu'ils m'ont introduit une aiguille dans les veines. En moins de deux ma respiration s'est atténuée et mes yeux, eux se sont à nouveau refermés. Le temps passe une fois mes pupilles ouverte, bêtement je regarde le plafond blanc sans bouger, ni gémir, ni hurler au dessus de moi. Je suis dans un grand calme a réfléchir a comment est-ce que j'ai bien pu atterrir ici. Je ne me souviens de rien du tout et c'est ça qui me fais vraiment peur. J'ai sans doutes trop réfléchi, je sens à nouveau mes paupières devenir de plus en plus lourde ce qui me fais retomber dans un nouveau sommeil, mais un sommeil complètement différent des autres. Il semble être plus léger et moins étouffant. Les heures passent, et je me fais réveillée une nouvelle fois. par des voix paisibles, en tournant légèrement la tête je remarque qu'il y a quatre personnes dans ma chambre. Deux personnes vêtue d'une veste blanche, ainsi qu'un couple d'amoureux ils ont probablement la quarantaine. Perdu, je l'ai observe complètement sonnée, je n'arrive pas a remettre mes idées dans un ordre logique. Voyant que j'ai les yeux ouvert et que je le fixe, le seul homme de la pièce vêtu d'une tenue de Médecin me sourit, il s'approche ensuite tout doucement de moi et penche sa tête avant de se mouiller les lèvres et me lancer quelques mots.

Médecin : Bonjour Kaila. Ne paniquez pas. Tout va pour le mieux.

Je constate que le tuyau qui était tantôt dans ma bouche de l'est plus. J'avais l'impression que cet engin fourré me raclait le fond de la langue heureusement que je l'ai plus. Les seuls tuyaux qui m'entourent maintenant sont ceux accrochés dans mon avant bras et celui qui est dans mon nez. Les paroles du médecin prenne du temps à faire qu'une seule et même phrase dans mon crane, je l'observe toujours tout en me redressant. J'ouvre les yeux un peu surprise, lorsque je vois ce couple d'adulte s'approcher de moi assez rapidement. Je ne sais pas qui ils sont et je ne comprends pas pourquoi est-ce qu'ils semblent être si heureux de me voir. Confuse, je serre a l'aide de ma main gauche le drap volant sur lit. Je panique, je veux savoir la raison de tout ce qui se passe.

Médecin : Calmez vous Kaila. Ces deux individus sont vos parents, voici votre mère Roanne et votre père Daniel. Ils ne vous feront aucun mal. Calmez vous donc !

Chronique réelle : Une seconde chance Wo Geschichten leben. Entdecke jetzt