Partie unique ~

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AAAAH OOOOH [exo kokobop]

Ce fût lors d'une belle nuit d'été, Sarah dormait paisiblement aux côtés de Nicolas. Elle venait de perdre sa virgilité avec lui.
Ça avait fait mal, heureusement ils s'étaient bien protégés avec un condom.
Mais, alors que Sarah tombait dans les bras de Morphée, Nicolas se rendit compte que le condom était périmé.
En effet, c'était son oncle qui le lui avait donné lors de l'obtention de son BAC, croyant qu'il allait copuler à tout va. Seulement, Nicolas était vraiment pas baisable, il venait tout juste de perdre sa virgilté avec Sarah lui aussi.
Il alla donc fouiller dans la poubelle des toilettes pour trouver le bout de caoutchouc qui maintenait son pénis pendant l'acte.
Effectivement, il était percé. Nicolas paniqua, et si Sarah était enceinte ?
Il devait en être sûr ; alors il porta Sarah jusqu'aux toilettes et l'assit sur le trône . Dans un instinct primitif, Sarah urina.
Nicolas glissa alors le test de grossesse qu'il avait trouvé derrière l'urinoir. Heureusement, le test se révéla être négatif. Il reccoucha sa bien aimée dans le lit (à baldaquin) [parlons peu parlons cul] et la viola.
Le lendemain, Nicolas dû partir faire son service militaire de 5 mois.
Sarah pleura toutes les larmes de son corps, en répétant « NOOOOOOOON NICOLAAAAAAS TEMPS VA PA »
Mais Nicolas répondit ceci ; « Ecoutes Sarah, je dois me battre pour la France. Etant le plus grand fan de Marine Le Pen, je me dois de nettoyer les latrines des soldats Français. Oui, mon travail militaire se résumera à ça. MAIS JE DOIS CHOISIR LA FRANCE AVANT TOI! »
Sarah se dit alors « bon. Oké. Je sair a riengue » et elle continua sa vie. Son bien aimé Nicolas, lutta corps et âme, pour nettoyer la merde qui s'était accumulée au fond des toilettes des soldats FRANCAIS.
Cinq mois plus tard, il rentra chez Sarah. Il trouva sa dulcinée sur son lit, en train de geeker, en buvant une bière. Nicolas voulût aller l'embrasser passionément, MAIS ! Il vît alors l'énorme ventre de Sarah With-Hibout et là, c'est le drame. Comment Sarah pouvait-elle être enceinte ?! Le test était pourtant négatif ! Il allait s'évanouir -telle une tapette- mais Sarah prit la parole.
« oh ! Mon chairi tu et rantré ! Je crauyez ke tu devé rantré ke deum1 ! »
« oui, mais j'ai eu un mot de mon directeur, askip j'ai des problèmes mentales, dû à j'sais pas kwa. J'crois la merde elle m'a infiltré le cerveau j'crois, wesh »
« mé ou et mon peuti Nikolaï ki parlé kom 1 poaite ? »
« il a mangé trop de marde »
« a dakor. »
« mais, tu... t'as... enfin t'es... un peu... ton... bide il... enfin je veux pas dire que... mais... tu vois quoi... »
« aaaah ! Mé sa ses ah cose deux la biaire ! Jeu buvez pour oubliait ton abçançe. »
« a dakor. »
« anviront dis boutèye parre joure. Sen contez lé chotte deux saujou »
« mais t'es sûre ? Parce que je vois quelque chose bouger là, dans ton bide, wesh ! »
« ses le biaire qui fermante »

Mais Nicolas était moins con que Sarah, il savait qu'elle était enceinte. Pour lui, cela signifiait la fin de sa vie sociale ! Parce que oui, il avait une vie sociale, et plusieurs petites amies en dehors de Sarah.
Donc, il ne pouvait pas avoir d'enfant. Que devait-il faire ? Quitter Sarah ? Il avait peur que son père le poursuive avec un Sextoy tranchant (chacun ses goûts en matières de Sextoys, on juge pas.) Tuer Sarah ? Mais non ! Il l'aimait bien trop pour ça ! Ooooh ! Et si il devait tuer l'enfant ? Oui, cela lui semblait être la meilleure solution. Comment allait-il s'y prendre ? Il devait emmener Sarah dans un endroit sûr...
« ma chérie ! Ça te dit on va baisey ce soir, pour fêter le come-back de ma bite ? »
« owiii ! On va bézer houx ? »
« euh... dans une ancienne boucherie, pleine de hache et de couteaux, bébé. »
« gainiale ! »

Et donc, Nicolas emmena Sarah dans une boucherie désafectée. Une fois arrivés dans le local, Sarah vit une montagne de couteaux, haches, lames, hâchoirs, scalpels, tranchoirs, ciseaux, poignards... et le pire de tous ! L'épluche légumes !

« wouhaw ! Ses manffike mon hamourre ! Sa fé friçonez mon kor »
« je sais je sais, vas t'allonger sur la table d'opéra... euh, je veux dire, de sexage ! »
« owi ! Ji vé baibai ! »

Sarah s'allongea sur la table, pensant assister à une pur séance de BDSM. Nicolas quant à lui commençait à choisir ses instruments de torture. Enfin, d'opération. Oui, il devait sortir ce bébé du ventre de Sarah pour la sauver. Il choisit donc l'arme du crime, avec grand soin. Et il choisit bien évidement... l'épluche légumes !
Alors, il s'approcha de Sarah pour d'abord venir l'embrasser et lui passer un ruban sur les yeux. Ensuite, il enleva son t-shirt avec soin, en bisoutant tous les recoints de sa peau sèche.
« bébé... je vais te caresser... j'y vais lentement... okay ? »
« AAAH OUIIIII !! »
« euh... okay... »

Nicolas passa alors -très lentement et élégamment- l'épluche légume, sur le bidou de Sarah, en partant du nombril jusqu'à la ligne de la poitrine. Puis, il commença à appuyer un peu plus fort, jusqu'à faire sortir la première goûte de sang, arrachant un orgasme impévu à Sarah.
Mais, plus Nicolas appuyait, moins Sarah ressentait de plaisir. Au bout d'un moment -alors que Nicolas avait déjà enlevé la première couche de peau quand même- elle commença à s'inquiéter.
« mé shou... keske tu fez ? Tu caumance a meux fèrre 1 peux malle »

Mais Nicolas ne pouvait plus parler. Il était prit d'une intense frénésie meutrière. Plus il épluchait la peau de sa bien aimée, et plus il bandait dur. Oui, il aimait ça. Sarah commençait à pousser des cris de douleurs, tandis que Nicolas s'acharnait pour voir la couleur de sa chair. Il anticipait déjà d'entendre les cris du bébé qu'il lui arracherait du ventre... et avait hâte de voir la tête du fœtus, et la tête ravie de Sarah quand elle verra quel miracle il venait de faire. En pensant à ça, il vit alors le premier morceau de sa chaire à vif. Rouge, comme le sang. Comme le sang des règles dans un tampon.
Nicolas troqua alors l'épluche légume contre un cutter [cUtère], qu'il utilisa pour trancher les restes du ventre dans le sens de la longueur, tel un bricoleur. Les hurlements de Sarah se firent de plus en plus faible, à mesure qu'elle déclinait. Nicolas lâcha le cutter et utilisa directement ses mains pour écarter les chairs meurtries de sa dulcinée. Et il vit enfin...
Rien. Seulement le six pack. De bière. Le six pack de bière. Sarah avait dit la vérité ? Ce n'était pas un enfant, mais juste une sur-consommation de bière ? Nicolas devînt alors très joyeux, et essaya d'annoncer ça à sa belle.
« Sarah ! Tu avais raison ! T'es pas enceinte bordel de couille ! Eh ! Sarah ? Eh vas-y arrêtes de faire semblant de dormir là, j'ai pas encore joui moé ! »
Sarah ne répondait pas. Elle avait le regard livide, tel un merlan frit. Nicolas se mit en colère. Comment avait-elle pu mourir alors qu'il avait donné tant d'efforts pour la sauver ?! Elle aurait dû être reconnaissante, au lieu de décéder ! Et si... c'était lui qui l'avait tué ? Et tout ça pour quoi... ? Pour rien ! Pas de bébé !
« pas de bébé ! Hahahahah ! Pas de bébé ! Hahahahah ! Ah donc y'a pas de bébé ?! Et bah je vais t'en foutre un moi de bébé ! »

Nicolas attrapa le poupon porte-bonheur que Sarah gardait toujours dans son sac, et le berça tendrement.

« oui... tu es mon petit bébé toi... mon tout petit... papa va te remettre dans le ventre de maman, bien au chaud... tu vas être tellement bien, avec ta maman... je t'aime mon bébé... mon petit Koko... »

Nicolas plaça alors le poupon dans le trou béant du ventre de Sarah, et il commença à ramasser les morceaux de chair, pour les replaçer au dessus de la poupée. Il fouilla dans les placards jusqu'à trouver quelque chose pour maintenir le tout, il trouva un tube de colle forte. Il s'en saisit et le pressa sur le ventre, en l'étalant partout. Le résultat n'était pas naturel, mais Nicolas la rhabilla pour cacher le tout. Qu'elle était belle maintenait... il avait envie de... de... il bandait encore.
Il trempa alors son biscuit dans Sarah. Et, à sa grande surprise, il prit encore plus de plaisir que lorsqu'elle était encore vivante.
Il emporta le cadavre de sa femme, contenant son fils, chez lui. Une fois arrivé, il usa de paille et de produit anti-décomposition, pour empailler et garder frais le corps de l'amour de sa vie.

Un an plus tard, Nicolas décida d'élargir ses horizons, ayant usé son jouet sexuel jusqu'à l'os, il entra dans une colonie de vacances, où plusieurs enfants se pressaient autour de lui. Chaque soir, il en attira un dans sa tente [ne pas confondre avec sa tante] et le viola à moultes reprises. À chaque fois, il jouissait en criant ; « aaaah Koko ! ».

FIN.

Garanti sans virus.

Koko dead ~OSWhere stories live. Discover now