Partie 28 ♣

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Bismillahi

Je me réveille le lendemain avec toujours a mes côtés Shaïma. Mdddr je vérifie si elle est pas morte parce que cette grosse sa fais longtemps elle dort.

J'ai a peine posé ma main sur elle qu'elle se réveille en sursaut. Elle me regarde bizarrement et choqué à la fois mdddr.

J'explose de rire. Elle met sa main devant son nez. J'arrête de rire et la regarde bizarrement.

- elle: tu pu d'la gueule

- moi: tchiiiiiiipp !!

Elle explose de rire. Je met a mon tour ma main devant mon nez.

- moi: a priori je suis pas la seul a ne pas sentir la rose, chameau va

Elle rigole encore plus c'te folle.
Bref après sa on va toute les deux se brossé les dents. Puis chacun à son tour prendre une douche, Shaïma m'aide à prendre la mienne, vous inquiétez pas mdddddr je suis en maillot de bain.

On se sappes en mode normal vu qu'on bouges pas. Shaïma m'a aidé à m'habiller, j'ai ultra mal quand je bouge mon bras, c horrible.

Bref on descend déjeuner toute les deux puis on se pose devant la télé. On matte la télé jusqu'à se que Ayoub nous dit d'aller faire à manger mdddr. Bref du coup on y vas.

Quand on entend du bruit et quelqu'un crié. On se regarde puis on regarde vers la porte. On sort de la cuisine. On va au salon et on voit Ayoub qui sort de la cave. Il me regarde en mode je suis désolé.

Je le regarde bizarrement en mode qué pasa. J'avance vers lui et lui reste devant la porte sans broncher.

J'allais entré mais il me retiens :

- vaut mieux pas que tu entres

- moi: quoi ? Et pk ? Qu'est-ce qu'il se passe ici ?

Il me regarde d'un air triste.

- moi: pousse toi

Il se décale. J'ouvre la porte, je descend les trois marche d'escalier puis marche le couloir. Et genre le couloir il est petit, il doit faire 2 m, après sa je tombe sur la porte de la cave.

J'hésite avant de l'ouvrir. Je porte ma main sur la poignée, ma main toute tremblante, pourquoi Ayoub ma mis en garde ? Qui est-ce qui pourrait y avoir à l'intérieur que je ne devrai pas savoir ?

Pendant que je me posée toute ses questions les cris s'était arrêter. Quand un cri de douleur se fit entendre.

J'ai ouvert la porte en grand. Je vois Fares avec une batte de baseball à la main et un coup de poing​ américain, en fasse d'un homme assis sur une chaise, plein de sang.

Fares se tourne vers moi tout sourrir. Je regarde l'homme qui vient de lever sa tête dans ma direction.

J'arrive pas a voir qui c'est a cause de tout c bleu et c blessure au visage. Alors je plisse les yeux comme une mongole. 😨😨😨.

- moi: Ya...Yanis

Fares hoche la tête. J'vais l'tuer. Il est mort de rire, tout content, il est fière. Je lui saute dessus et commence a l'enchainer. Yanis, lui regarde l'action.

Fares me retourne et me monte dessus. Il me tien par les poignets bien serré.

- lui: TU VA T'CALMER OUI, LA VIE D'MA MÈRE TA TROP CRU J'ÉTAIS TON POTE

- moi: *j'lui crache au visage* SAL PUTE LÂCHE MOI ENCULÉ

Il se lève de sur moi. Je le regarde bizarrement, sa ma calmer direct. Pourquoi il ma écouté ?

Il me laisse même pas 2 s qu'il me lève en me tenant par les cheveux. Il regarde Yanis. Puis il m'embrasse devant lui. J'essaye de me débattre mais rien y fait.

- Yanis : *tout doucement* j'vais te tué

Fares a entendu se qu'il a dit mais il ne réagi pas, il continue de m'embrasser.

Il se détache de moi et me regarde tout sourrir. Je lui lance un sal regard noir. Après quoi, il me prend la tête et me l'a cogne dans l'mur violemment puis me fait une balayette.

Il commence a m'enchaîner de coup de point dans le ventre, les bras, les pieds et il a failli me toucher le visage. J'arrête pas de crié accompagné de Yanis pour qu'il arrête. Yanis essaye de se lever mais il est trop bien attaché, il peut pas bouger.

5 min après il s'arrête et se lève de sur moi. Il me lève de force, alors que je souffre. Et m'oblige a marché vers la sortie, j'arrive même pas a marché miskina.

J'ai fait deux pas puis je
m' écroule.

- moi: laisse......laisse...moi avec mon frère

J'ai trop trop mal.

- lui: c'était pas une question

Il se baisse, m' attrape par les cheveux et me les tires vers le haut pour que je me lève.

Je pousse un petit cri. Je me lève quand même malgré la difficulté.

- Yanis: ARRÊTE LAISSE LÀ

Fares fait comme s'il ne l'avait pas entendu puis il trace sa route avec moi traîner de force.

Nous sortons de la cave. Il y a plus personnes au salon. Fares me tiens toujours par les cheveux.

Il me met une main puis rigole. J'ai même pas la force de le tchiper. Je m' écroule de nouveau.

Il me rattrape et me prend comme une princesse. Je cherche pas à savoir pourquoi, j'en ai marre de tout sa. Il se dirige vers les escaliers, il les montes et entre dans sa chambre.

Je commence a m' agiter :

- FARES NAN LÂCHE MOI, FARES LÂCHE MOI, LAISSE MOI TRANQUILLE, FAIT MOI DESCENDRE, AAAAAAHHHH

Il me tient fermement pour que je ne puisse bouger :

- TU L' AFERME !!

Il rentre dans la chambre, me jette sur le lit et ferme la porte a clé.

Il s'approche de moi, je recule :

- Fa.....Fares....... arrête

Il monte sur le lit. Moi je recule jusqu'au bout du lit, j'ai voulu sortir mais il me rattrape et me plaque sur le lit :

- moi : je....je.... arrête....laisse moi tranquille

- lui:

Puis le début du cauchemar commença.........

Ne voulant pas savoir se qu'il aller se passer par la suite je
m' évanouie......TROU NOIR

Je me réveille, je vois que je suis toujours dans son lit, je vois qu'il est 10h du sbah, mais........ starf'Allah je suis en sous-vêtement.

Je commence a paniqué, il....il aurai pas osé me faire sa hein, pendant que j'étais inconsciente, il........il n'aurait pas pu, je......, je commence à verset des larmes.

Je sors du lit, je me met face à lui est hésitante, je soulève le drap.

Je vois une grosse tâche de sang et je commence à ressentir une douleur à l'entre jambe et j'ai aussi du sang sur moi.

Je tombe sur le sol, quoi.........
Il n'aurai pas pu, c'est impossible....... Je.......je.......
Je verse des tonnes de larmes, ma tête commence à me faire mal..........TROU NOIR





Chronique de Naïma : un passage en zonz, révélateur de drames... et autres. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant