c h a p i t r e 6

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Ellipse de 2 semaines

2 semaines sont passées depuis mon entrevue avec Griezmann. Il m'a souvent rappelé que je l'avais appelé par son prénom pour une fois ce soir la. C'était pas moi qui parlait, c'était ma conscience. J'avais eu beau trouver toute les excuses possible, Didier n'a jamais voulu enlever ce débile de ma liste. De toute façon, il reste quelques semaines avant que tout le monde reprenne sa vie normale et qu'il m'oublie et que je l'oublie aussi. Ce qui est sur c'est que ça ne sera pas très compliqué pour moi.
Sinon, je me suis pas mal rapprochée des autres joueurs comme Pogba et Payet. Ma relation avec Griezmann est toujours la même, elle n'a pas évoluée, mise à part le fait où quelques fois on a rigolé ensemble ou qu'il a été assez proche de moi physiquement du genre à venir à côté de moi manger ou pour regarder la télé, ou même faire son délire de s'approcher beaucoup de moi. Tout ça pour dire que je crois que pendant un petit moment il a zappé sa copine.

Je me réveillais à 10:45 ce matin. Aujourd'hui j'étais en jour de repos et ça faisait énormément de bien. Je sortais de mon lit et de la chambre. J'avais décidé que je m'habillerai pas de la journée. À quoi bon le faire si je ne bouge pas ? J'étais donc en pyjama.

Je me regardais dans le miroir et m'accrochais mes cheveux en une queue de cheval haute

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Je me regardais dans le miroir et m'accrochais mes cheveux en une queue de cheval haute. Je sortais de ma chambre et je me dirigeais vers le salon où seulement quelques joueurs étaient. Eux aussi c'est leur jour de repos apparemment. Je regardais mon téléphone tout en marchant, puis je rentrais dans quelqu'un. Il le fallait bien... et bien évidemment il fallait que ce soit Griezmann. Ce débile il a attrapé mes hanches mais il s'est cru chez mémé ?

Antoine : Tu me saute dessus dès le matin maintenant.
Moi : Absolument pas. Et d'ailleurs, enlève moi tes pattes de la.

Il me souriait et faisait tout le contraire de ce que je lui avais demandé. Il me rapprocha de lui, je ne pouvais pas être plus proche de lui qu'à ce moment précis. Mes mains étaient posée sur son torse de façon à ce que je ne sois quand même pas trop prêt.
Après c'est pas que son contact contre ma peau me donne quelques frissons, parce que oui il a ces mains collées contre la peau de mon bas dos, mais ça me donne quelques frissons et je ne veux pas qu'il le remarque.
Mais d'ailleurs, pourquoi ça me fait ça ? Ça devrait pas le faire. Faut que je fasse une expérience avec d'autres personnes que lui car c'est absolument pas normal.

Moi : Bon tu me lâche maintenant ?
Antoine : Non.
Moi : Ha bah si !
Antoine : Qui te dis que j'ai envie de te lâcher ?
Moi : Bah moi.

Il se mit à rire et je le regardais bizarrement.

Moi : T'es vraiment bizarre.

J'enlevais ses mains de mes hanches et j'allais m'installer sur le canapé à côté de Paul. Il m'observait et ça devenait un peu gênant à force.

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