Chapitre 8: Alice

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Aujourd'hui étais une journée comme les autres, à partir de maintenant. Sans Maya.
Hier soir elle m'a​ envoyé un message pour savoir si on pouvait parler. Je lui est dit je site :
"- On peut en parler."
Oui, effectivement c'est le message le plus froid de l'histoire du monde que j'ai envoyé. Mais pour ma défense, c'était pour lui faire comprendre que je suis vraiment énervée contre elle !
Mais je ne savais pas vraiment si j'avais envie de parler avec elle. De toutes manières je ne lui avait pas dit quand on pourrait parler.
Je salue Lucas et descend du bus, Maya est descendu avant moi. Je pensait qu'elle m'attendrait​ devant le bus pour que l'on parle mais apparemment, elle ne veut plus me parler, car je l'a vois déjà parti pour rentrer chez elle.
C'est bête quand même parce que je lui fais la tête alors je ne connais même son explication.
Je me décide donc à répondre à son deuxième message celui où elle me demandait quand est ce que l'on pourrait parler de notre dispute.

De Alice:
À Maya:

Salut, je veux bien que l'on parle maintenant, tu as cas passer chez moi après avoir poser ton sac.

Mon portable m'affiche que le message a bien était envoyé. Je suis rentrée tranquillement chez moi. Je n'est pas reçu de message sur le trajet. En rentrant j'ai dit bonjour à ma mère et je suis montée dans ma chambre. J'ai poussé mon sac puis j'ai commencé à travailler sur mes devoirs. Le lycée sa demande beaucoup de travail...
Mon téléphone sonne, j'ai reçu un message :

De: Maya
À: Alice

J'ai beaucoup de devoir parlons en sur le trajet vers l'arrêt de bus, demain.

Je me suis contenté de lui renvoyer un OK.
Dur. Sec. Et Froid. Cela fait mal mais c'est la dur vie. Je lui fais la tête donc je vais jusqu'au bout de mes idées !

Une fois mes devoirs achevé, j'ai sorti les BD que Lucas m'avait prêté dans le bus et je le suis étalé sur mon lit, pour les lires.
J'ai lu les BD en une soirée, j'étais absorber par l'histoire, comme on dirait. Et pour dire je ne dirais pas que les films son nul mais après réflexion les BD sont peut- être un peu mieux. Mais je regarderai toujours, les films.
Il faudrait quand même que je demande la suite parce-qu'il m'en a passé que quatre.

..........

Aujourd'hui nous sommes vendredi matin mon réveil sonne. Je me dépêche de me préparer. Car Maya et moi allons enfin discuté, ensemble. Je ne sais pas comment va ce passer notre discution mais j'ai peur. Un nœud c'est former dans mon ventre. Je suis stressée...
Pourtant je vais que parler avec ma....

Qu'est ce qu'elle est pour moi ? Est ce que c'est encore ma meilleure amie ? Ou une amie? Une connaissance, peut-être​ ? Une fille avec qui j'ai passé toute mon enfance ? Non, c'est encore mon amie, ma meilleure amie! Je suis juste un peu en froid avec elle.

Je suis finalement sortir de chez moi. J'allais me diriger vers chez Maya mais elle étais déjà sortie. Nous nous sommes dirigées l'une vers l'autre. On s'est regarder dans le blanc de l'oeil une ou deux minutes, puis j'ai dit:

- Et si on allait à l'arrêt ?

- Ok. A t- elle simplement répondu.

Il y eu un l'on moment de silence sur le trajet, jusqu'à ce qu'il soit brisée par un flo de parole sortant de la bouche de Maya. Elle a dit tous ça vite comme pour ce débarrasser de quelque chose. Un peu comme d'un poids.

- Je tient d'abord à m'excuser. Car je n'ai pas eu l'occasion de te faire de vrai excuses en face. Alors, Alice je suis vrai-ment mais vrai-ment vrai-ment dé-so-lée de ne pas être venue à l'endroit prévu. De plus je n'ai vraiment aucune excuse mis à part le fait que je sois maladroite et tête en l'air, mais autant l'une que l'autre ne sont pas à prendre en compte. De plus, j'étais avec quelqu'un toute la journée, je m'enfonce encore plus... Je suis désolée d'être une si mauvaise amie ...

Je me suis arrêté puis quand elle l'a remarqué elle a fait de même et elle s'est tourné vers moi. On est restées l'un devant l'autre. J'étais entrain de la dévisager. Je me suis avancer vers elle. Je crois qu'il y avait de la peur dans son regard. Mais ce que j'ai fait je pense que ça la choqué.
Je l'ai prise dans mes bras et j'ai pleuré. Pour mon plus grand bonheur elle m'a rendue​ mon étrainte puis elle s'est aussi mis à pleurer. Nous étions sûrement ridicule toutes les deux mais on s'en fichait on était heureuse de ce retrouver. Après un long moment je lui est dit:

- Je te pardonne ... Je suis désolée de ne pas d'avoir écouté, pour savoir pourquoi tu n'est pas venu. Mais si pour ça je pourrais t'en vouloir. Mais c'est de savoir que cette année on fera moins de chose ensemble. J'avais peur que je n'ai plus la même place dans ton cœur ou que tu m'abandonne. Tu sais quand je t'ai vu avec la fille mon sang à fait qu'un tour.

- Oooh, mais jamais de la vie je ne t'abandonnerai même si il fallait y laisser la vie. Tu es ma meilleure amie et jamais je ne t'abandonnerai.

J'ai rigolé. On s'est regardées toutes les deux puis on n'a rigoler de plus belle. On était vraiment ridicule...
On a séché nos larmes puis on s'est dirigé vers l'arrêt de bus bras dessus, bras dessous....

Rayonnante de joie.





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