Make me human #3

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Information : ( la chanson qu'écoute Suga :) =  https://www.youtube.com/watch?v=l1hxg1rY17I

Cela dit, malgré c'est quelques mots je ne le sens toujours pas

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Cela dit, malgré c'est quelques mots je ne le sens toujours pas. Je suis encore un peu traumatisé, mais j'essaye de faire redescendre peu à peu cette pression ! Mais j'avoue, avoir encore chaud. Impossible pour moi d'oublier et surtout ne de pas exagérer cette image de lui. Ça me perturbe encore. Cet accoutrement m'avais déstabilisé. C'est la première fois que je vois un homme dans une telle tenue et je me dis que je n'oserai l'affronter une troisième fois ! Je me faufile tout de même dans la salle d'eau. Mais quand, je me dis qu'il était là, nu, étendu dans cette grande baignoire, remplie d'eau à rabord, sous une énorme couche de mousse. Une immense gêne me prends et j'ai un réflexe de recul. Je me sens rougir. Que se passe-t-il avec moi ? Pourquoi.

                                                                       Je suis si tétanisé, sidéré.

Pourtant, il est un homme comme moi. Je ne devrais pas être intimidé par lui ! Mais, c'est plus fort que moi. Impossible de le faire dégager de ma mémoire. En une heure il m'a brisé. Il m'a intoxiqué. Il me fait perdre confiance en moi.

Je me poste face au miroir torse nu. J'ai l'air plus blême que d'habitude. J'ouvre le robinet et fait couler l'eau froid sur mon visage. Ça fait du bien. Et cette musique qui passe à la radio est si entraînante que la pression s'évanouit peu à peu. J'avais presque oublié la raison de ma stupeur. En me contemplant dans le miroitement de l'eau, le sourire revient quasiment sur mon visage.

L'eau me fait rappeler, le premier bateau qu'on m'a offert. Il était beau. Les voiles était rouge et bleu. Un jour Papa m'avait conduit à la fontaine pour y jouer avec d'autres enfants, on s'amuser beaucoup ! Le soleil faisait des reflets comme l'arc-en-ciel dans l'eau, les oiseaux venait se poser sur les murets. L'eau était fraîche. Deux vieilles ajumma donnée à manger aux pigeons. On aurait dit que c'était une adorable enfance.La réalité reprit de pleins fouet quand l' animateur radio annonça la météo.
Dans un geste délicat, je retire le bouchon. L'eau semble se figer. Je dévisage, la salle. Un placard est entre-ouvert. Cela pique ma curiosité. Un parfum d'homme émane de cette porte. La manche d'une chemise dépasse. Une chemise blanche comme la sienne. Fraîchement ôté de son corps. Instantanément, les flash me reviennent. Une secousse me saisi. Un frisson me pétrifia. Je me rencontre que, depuis le premier entrevu. Il me dépasse et pas seulement en grandeur, mais dans pas mal de domaine. Je ne suis pas près d'oublier son visage. Il m'influence, j'ai la boule au ventre.

Je me force à regagné la baignoire. Finalement, je ne veux pas prendre un bain mais simplement une douche. Froide. Je ne pense pas que cela va m'apaiser ! Mais j'essayerais. Les cheveux mouillés. Une serviette dans la main. Vêtu d'un simple short noir et d'un T-shirt blanc trop large, je m'enferme dans ma chambre. Je ne l'ai pas croiser et la porte de sa chambre était fermé. Je m'assois sûr le petit tabouret. En face de mon sublime joyau. Je m'amuse à faire de petit pivotement sur l'escabeau. La chambre est illuminé par des leds dorées qui faisait l'effet d'une multitude de petites étoiles éparpillés dans tout les sens.Brusquement un nouveau flash :                                                                                                                                                                                              Cet instrument.

A chaque fois que je le contemple, un séisme m'envahit. Sa beauté m'interpelle. Il est la réplique exact de notre ancien piano. Petit, j'ai le souvenir que dans le coin d'une pièce de la maison ou j'ai vécu. Un piano marron trôner. Il me dépassait mais m'attirer. J'avais l'habitude de l'admirer et de le convoiter. J'étais fasciné par sa douce couleur vernis. Un jour, mes petits doigts fins l'a effleurait. C'était si agréable. Si captivant. Mes mains allaient et venaient sur les touches. Une blanche , une noir ... À gauche, à droite. La mélodie que nous faisons ensemble était si harmonieuse. Je ne savais pas quelle importance il allait prendre dans ma vie future. Aujourd'hui j'ai bien grandi ... 13 ans plus tard, il est revenu ... Je ne l'ai jamais oublier. Mon ami nous sommes lier.


- Eh! Le fragile. On va bientôt passer à table.



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Tchu  ~ <3

Salut mes petits gens !!! Plus l'histoire par, plus je me dis qu'elle se raccourci un peu nan ? Vous trouvez pas ??

Nam une personne qui s'en bat les scoubidou de YoonGi !! La question que je me pose vais-je l'adoucir au fur et à mesure que l'histoire avance ?

My Folder brotherWhere stories live. Discover now