Avec ou sans. { Kuroko's basket } Réécriture.

Chapitre 7. Départ vers une nouvelle aube.

Atsushi décida de faire son entré en scène à se moment là.

Atsushi : Ce n'était pas un rêve.  

__________________________________________________________

Avec un paquet de biscuit dans les mains pour pas changer.

Yuna: Bon je vous laisse, je vais voir Ryota.

Comme l'avait dit Yuna, elle est allée voir Ryota qui était déjà à sa place dans la salle de classe.

Ryota: Salut toi !
Yuna: Salut.
Ryota: Qu'est-ce que tu as ? Il c'est passer quelque chose de grave ?

Ryota s'en fessait vraiment pour son ami, elle n'avait pas l'air bien.

Yuna: Rien ne t'en fait pas.
Ryota: Désolé mais ça ne prend pas avec moi.
Yuna: Je ne veux juste pas tous vous quitter.
Ryota: Mais tu reviendras, alors pas de problème. Ce n'est pas un adieu.
Yuna: Oui mais c'est quant même dure.

Pour lui remonter le moral Ryota pris la jeune fille dans ses bras.

Ryota : Alors ça va mieux ?
Yuna : Oui, heureusement que tu es là !

Début de l'année suivante.

Yuna se réveilla pour aller au collège Teiko pour la dernière fois, car dans quelques heures elle devait partir pour se faire opérer à l'étranger. Mais elle se devait de dire au revoir à tout le monde avant même si se serait dure. La jeune fille n'avait prévenu personne de son départ.

La collégienne venait d'arriver dans le couloir qui menait à sa salle de classe.

Ayano: Enfin, j'ai bien cru que tu ne viendrais jamais. Mais tu as une petit mine, tu es sur que ça va ?
Yuna: En faite, il fallait que je te dise que je pars se soir.
Ayano : Quoi ? Mais pourquoi tu ne m'as rien dit ?
Yuna : Désolé, j'en ai pas eu l'envie, mais je ne veux pas y aller.
Ayano: Mais enfin c'est pour ton bien. Tu n'as prévenu personne de ton départ ? Et Daiki alors ?
Yuna: Je n'ai rien dit à personne, et encore moins à lui.

Un jeune garçon aux cheveux bleus foncés écoutait leur conversation dans le couloir d'à coté, il ne s'agissait d'autre que de Daiki Aomine.

Daiki: (Pourquoi ?)
Ayano: Mais enfin, et tes sentiments envers lui alors ?
Yuna: Je n'ai pas eu le courage de lui dire que je l'aimais.
Daiki: (Depuis quant ? Pourquoi tu hésites comme ça ?)
Yuna : Je suis juste venu vous dire au revoir.

Yuna ne pu rien ajouter de plus et partie dans la direction opposé à leur salle de classe tandis que Ayano elle devait aller en cours.

Ayano: Daiki ?!
Daiki: Pourquoi elle ne m'a rien dit ?
Ayano: ah, tu as entendu. Que comptes-tu faire ?
Daiki: Je ne sais pas.
Ayano: Est-ce réciproque ?
Daiki: Oui.
Ayano: Avec la distance se sera compliqué, pourquoi ne pas attendre son retour ?

Daiki n'avait pas répondu, mais avait-il le choix ? Il ne pouvait qu'attendre. Il accompagna Ayano dans la salle de classe.

Yuna était partit voir le directeur pour les dernières formalités. Vers midi elle du faire ses adieux à tout le monde.

Le soir à l'aéroport, la voilà maintenant dans l'avion.

Six mois plus tard. L'opération et la rééducation était maintenant fini pour Yuna, elle pouvait enfin profiter de sa liberté, car il y a encore quelques minutes elle était encore très restreinte. Elle avait perfectionné son anglais pour pouvoir parler aisément avec les gens de se pays, mais elle n'avait qu'une seule hâte et c'était de pouvoir retrouver ses amis au Japon.

Elle se baladait dans les rues de la ville quant une jeune femme l'interpela.

Jeune femme : Il nous manque un joueur, tu ne voudrais pas venir ?
Yuna: Oh, oui bien sur.

Ça tombé bien quant le groupe de quatre filles jouer au basket, même si ça fessait longtemps que Yuna n'y avait pas joué elle avait réussi à se débrouiller. A la fin du match le groupe de fille lui posèrent toutes sortes de question.

Jeune femme: Excuses-moi mais tu as qu'elle âge ?
Yuna : quatorze ans pourquoi ?

Deux des jeunes femmes se sont regards surprises par la réponse de la jeune fille.

Jeune femme : Moi c'est Jessica mais tu peux m'appeler Jess, je fais partie d'une équipe professionnelle féminine de Basket. Est-ce que ça te tenterais d'essayer de nous rejoindre ?

Yuna était impressionné, jamais elle n'aurait pu espérer meilleure demande. Elle pensait que ça ne pourrait être que dans ses rêves les plus fous.

***