Le début d'une fin. Ou le commencement d'un début.

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BONSOIR, 

Juste un petit mot pour vous dire... qu'il ne reste plus que trois chapitres avant la fin. La fin de la fin. Fini. Fini. Fini. Cela me fait tellement bizarre TwT Bref. Donc, il y aura le chapitre 34 d'ici... une ou deux semaines j'espère. Si j'y arrive. Et ensuite il y aura deux derniers chapitres que je veux poster "à la suite", je vous expliquerai pourquoi le moment venue *w* xD Donc il me faudra plus de temps pour les écrire. Ou peut-être pas. Tout dépendra de mon inspiration T_T xD Mais quoi qu'il en soit, je préférai vous avertir qu'il risque d'y avoir un petit temps d'attente, surtout que je vais entrer en période de partiel TwT

Dans tout les cas, ce chapitre... est très niais. Et Keylinda pourra vous semblez très pleurnicheuse. Et il est vrai qu'elle l'était plus depuis quelques derniers chapitres. J'ai conscience que cela peut rebuter certain(e)s d'entre vous, mais j'aime cette facette de Keyli qui est et restera toujours fragile. Elle n'est pas surhumaine. Mais cela ne veux pas dire qu'elle n'est pas forte pour autant, elle avance et ne recule plus comme avant. Elle ne se cache pas et fait le nécessaire... donc j'espère que vous comprendrez... ce chapitre cucul //BUS// xDD (En plus il est hyper long... MAIS COURAGE /o/ xD) Non sérieusement, j'ai aimée l'écrire. J'y ai mis beaucoup de sentiment et il incarne réellement... le début de la fin. Du coup j'espère très sincèrement qu'il vous plaira autant qu'à moi ! Je vous le dis déjà mais grâce à vous j'arrive au terme de cette aventure... et c'est juste magique. J'y aurai pris un énorme plaisir et j'espère pouvoir vous emmenez encore avec moi pour ces quelques derniers chapitres que nous avons à partager ! Comme toujours mille merci à vous tous ^//^ 

PS : je voulais aussi m'excuser si je réponds moins à vos commentaires en ce moment ;__; J'ai énormément de boulot et j'ai peu de temps pour le faire. Mais je les lis touuus sans aucune exception. Vous me faite rire. Sourire. Parfois rougir. Si si. Et j'aurai voulu pouvoir tous vous répondre mais malheureusement, en ce moment c'est compliqué. Quoi qu'il en soit je tâcherai de répondre à vos commentaires donc vous étonnez pas si c'est un mois après, ce sera normal *w* xDD 



Assise sur un fauteuil confortable, le regard perdu dans le vague, j'attendais. J'attendais patiemment. Je savais où je me trouvai. La pièce au papier peint défraîchi au ton beige m'était familier, tout comme l'odeur du thé qui chauffait dans une vieille théière en inox. Je ne pouvais estimer exactement le nombre de fois où je m'étais assise dans ce petite fauteuil si moelleux et spongieux que j'avais dû m'y endormir la majorité du temps.

Un petit feu crépitait dans la cheminé, attirant de temps en temps mon regard quand le bois vacillait, dévoré par les flammes. J'avais l'impression d'être retournée en arrière, quand je n'étais encore qu'une enfant débordant d'insouciance, une enfant sans don, une enfant qui n'avait aucune conscience que sa vie serait radicalement différente. Une enfant qui rêvait de prince charmant et de pégase, sans savoir qu'elle allait découvrir des choses bien plus incroyable que ce que lui racontait les contes.

Mais un détail était différent. Le silence. Lourd. Pesant. C'était comme s'il n'était là que pour me rappeler que je n'étais pas une enfant de cinq ou six ans, prête à gambader et à rire à gorge déployée. Ma mère était morte. La petite fille n'avait plus sa mère. N'avait plus ce foyer dans lequel elle avait toujours trouvé un certain réconfort, ce foyer qu'elle avait chéri, aimé, adoré. Ce foyer qui était le mien. Il avait volé en éclat. Définitivement. Ma gorge se serra un peu plus alors que cela faisait probablement déjà dix bonnes minutes que j'étais assise ici. Dans la maison de ma grand-mère.

- Ma jolie petite tourterelle.

Mon dos se redressa imperceptiblement. Mon souffle se coupa. Mes yeux s'humidifièrent quelque peu. Et je me retournai lentement pour faire face à ce visage que j'avais espéré voir dès l'instant où j'avais compris où je me trouvai. Ses yeux verts se plantèrent dans les miens, d'une couleur bien différente désormais. Elle n'en fit pas la moindre remarque, se contentant simplement de venir coller ses mains fripés sur mes joues.

Water Lily : la floraison.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant