Bismilah,Partie 49:
~PDV de Sahar~
Farah: SAHAR ! Vient nettoyer sale Imbecile !
Ilyes: OUAIS VIENS !
J'decsend plus fatigué que jamais...la grossesse sa fatigue de ouf...des fois je pleure, comme une fragile..mais sa me fait du bien quand même..
Farah: Pourquoi tu prends du temps comme sa ?
- Parce que j'suis enceinte peut être ?!
Elle me lance une regard noir...puis sa sonne à la porte
Ilyes pars ouvrir, c'était Hakim avec quelques hommes, enfin j'ai envie de dire..
Ilyes: Ouais qu'est ce qu'il se passe ?
Hakim le prend par le col et le sors, faut dire qu'Hakim est 100000000 mille fois plus baraqué qu'Ilyes
Hassoul, Hakim le porte et le ramène dans sa voiture, vous comprenez pas ?
Enfaite y'a quelques jours j'ai demandé à Hakim d'amener Ilyes à la mosquée, pour lui faire la roqya.
Farah: VOUS FAITES QUOI LA ?
Hakim sors de sa voiture...il lui met une grosse claque...j'ai de la peine pour elle sérieux..
Farah: T'ES QUI POUR ME FRAPPER ?! SALE CONNARD
Hakim: Refais du shor à Ilyes et j'te nike ta mère c'est compris ?
Farah:....
Hakim: C'EST COMPRIS ?!
Elle sursaute
Farah: Oui...o..oui c'est compris
Hakim: Sahar vire la...prend toute ses affaires et jette tout
- T'inquiète pas pour sa *clin d'oeil*
Farah: Touche a les affaires j'tue ton bébé
Hakim: T'façon j'te surveille, touche au bébé t'es morte.
Farah: *pleure* Putain...j'ai tout raté...
- Bref prépare toi tu dégages
Farah: non je reste !
- C'est ce qu'on va voir, Hakim tu peux y aller t'inquiète
Hakim: N-
- Vasy et occupe toi bien d'Ilyes..
Hakim: D'accord oukhty..À demain prend soin de toi
- Merci..mais avant que tu parte, tu peux tenir 2 minutes l'autre la ?
Hakim: Bien sur avec plaisir
Il l'a prend par le bras et moi je rentre dans la villa, je ferme tout à clés puis je me penche sur la fenêtre de notre chambre
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[1] Sahar - « Quand vais-je enfin goûter au bonheur ? »
AdventureMon père : ALLEZ LÈVE TOI YA QUELQU'UN QUI VA VENIR POUR TOI ALORS TA INTÉRÊT A TE DÉPÊCHER SALE KEHBA!! Ma mère : TIENT CETTE ROBE ET DÉPÊCHE TOI DE LA METTRE AVANT QUE JE TE HAGAR ! Mes journées se résumaient aux insultes de mes "parents" jusqu'à...