Partie 42.

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" Kaitlin: Ouais mais wesh c'est ton goss ! Maintenant t'a un goss faut que tu assume non ? Porte tes couilles comme tu le dois.


Omarion : J'ai pas le temps de m'occuper d'un fils, c'est trop pour moi tout ça, dégage de ma vie. J'en peux plus de toi.


Kaitlin : Non je dégage de rien du tout, moi je veux que mon fils ait un père, et c'est toi le sien.


Omarion : Arrête des phrases de philosophes, ça te vas pas vas-y dégage, t'es une grosse pute, tu baise avec tout le monde et maintenant t'es là à dire que c'est MON fils ?! Va te suicider vieille meuf .


Kaitlin : UNE PUTE??! EN QUOI JE SUIS UNE PUTE ? JE BAISE AVEC PERSONNE SAUF TOI BOUFFON ! MAINTENANT PORTE TES COUILLES ET VIENT PRENDRE SOIN DE TON FILS.


Omarion : C'EST PAS MON GOSSE TA RACE ARRÊTE DE T'INVENTER UNE VIE PAUVRE FILLE.


Kaitlin : Tu vas avoir des problèmes ...


Omarion : J'en ai déjà plein, alors un de plus ou de moins, je m'en rendrais même pas compte.


Kaitlin : Je t'aime


Kaitlin : Répond moi mon coeur !


Kaitlin : Répond j'ai besoin de toi, j'ai pas d'argent .. "



Voilà comment se finissait cette conversation ... J'en reviens toujours pas, j'espérait avoir mal compris ! C'est pas possible il a un enfant ?! Omarion il a un enfant? Non c'est pas possible ... Putain non ! C'est quoi cette nouvelle merde encore ! Pourquoi je suis curieuse ? J'aurais jamais dû ouvrir ce putain de message sa race. Je reposa le téléphone d'où je l'avais pris.


Omarion commençait à cogiter et il ouvrit les yeux directement en sursautant et en me regardant étonné.


Je crois qu'il vient de faire un cauchemar ... bien fait pour sa gueule, j'espère que dans ce cauchemar je l'ai tué parce que si c'est pas le cas ça va arriver.


Omarion : Tu fais quoi debout?


Moi : Déjà je suis allongée.


Omarion : Wouah il t'arrive quoi là ? Pourquoi t'es méchante ?


Moi : Chut je suis fatiguée !


Je me retourna, donc j'étais dos à lui et lui il se rapprocha de moi en collant son torse à mon dos et son bras était dans le creux de ma hanche et sa main touchait la mienne. Il a cru il pouvait me toucher comme ça ? Au stade où on en est il peut aller se pendre, je lui prête la corde s'il veut. Je retira brutalement son bras et me leva du lit.


Moi : Arrête de me toucher.


Histoire d'une fille tombée amoureuse de son kidnappeur.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant