Chapitre 9

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Que dois je faire maintenant ?  Ah oui continuer à marcher. 

Cela faisait des jours que je marchais,  j'avais juste envie de commettre un meurtre tellement j'avais faim.

Oh non  qu'est ce qu'ils foutent là eux.  C'est des mecs avec qui je fais...faisais des affaires.  Et je crois que si je reste là,  je vais me créer un bon paquet d'ennui ... Ou de fric.

Fric-ennui?  Ennui-fric? 

Fric! Mon ventre réclame j'y peux rien.

J'avançais vers eux l'air confiant,  alors que je ne devrais pas.  Ils sont extrêmement dangereux. Qui ne cherche rien n'a rien non?  C'est pas la bonne formule,  mais ça devrait.

- Hey les gars,  voyez qui s'avance?!

- Mais c'est le grand James Karter!  Qu'es-ce que tu fous là type?  Tu t'es déjà remis de la mort de tes vieux ?

Il vient de commettre une belle erreur lui!

- Je ne te permets pas de parler de mes parents tu piges ? 

- Sinon quoi?  Tu vas mon mettre une raclée ?  Ah non j'avais oublié!  Tu ne sais que fuir,  parce que tu es un lâche James KAR TER!

Alors là,  il va loin. Un peu trop loin à mon goût.
Je me jettai sur lui tel un lion enragé. Mais ce plaisir de l'étrangler avec une si grande vivacité s'évaporait lorsque ses deux compagnons m'aggripaient les poignets. 

Tel un prisonnier,  je ne pouvais me débattre.  Ni crier d'ailleurs.  Premièrement il faisait nuit,  aucun passant pour m'écouter,  et deuxièmement c'est pour les fillettes ça.

Il m'a mis un coup de poing ventre avec une telle rage!  Je ne pouvais pas bouger,  il en profitait bien celui là.

Je saignais de partout,  en plus mes forces s'enfuiaent  avec la faim.  Pour me sortir de ce pétrin,  je devais inventer quelque chose et vite sinon j'allais mourir sur place.

- Arrêtez.  Je ne suis pas venu pour me battre,  mais pour parler affaire.

-  Je ne parle pas avec des légumes moi. Rétorqua le chef du gang.

- Considères que ce légume peut te faire gagner un bon paquet de fric.

Il y songeait un instant, puis s'écria:

- Les gars lâchez le!
Et toi viens là qu'est-ce que tu me proposes?

Je n'avais pas pensé à ça...

- Euh... Un bon paquet de fric...

- Ça tu me l'avais déjà dit,  mais comment???

- Je vends pour toi.

- Désolé,  les employés sont au complet.  Mais il me manque des gens pour corriger des personnes qui ne respectent pas leur parole.

En d'autres terme pour tuer les gens qui tardent à payer.

- Je suis aussi très navré,  mais je suis tout sauf un assassin. 

- C'est toi qui voit.  Mais je peux également constater que tu as du potentiel dans les muscles et ce serait vraiment dommage de ne pas l'exploiter à bon escient.

Il s'en allait. Me laissant agoniser.
Mais ça me pouvait pas s'arrêter là. 

- Attends! 

- Quoi?  Tu as changé d'avis ?

- Tu pourrais me prêter quelques dollars?

Il regarda ses gars et souriant il s'approcha légèrement.

- Tu sais ce que ça implique de prêter de l'argent au grand Marco Sanchez?

Ouais,  si je dépasse le délai,  je meurs.
Mais de toutes les façons je n'ai plus rien à perdre donc...

- Je le sais très bien Marco Sanchez. 

- C'est non!

- Mais Marco, nous sommes... Potes?! 

- Tu blagues jeune homme! Vas dormir. Ça te remettra les idées en place.

- J'accepte ! 

- Comment?

- J'accepte de faire le sale boulot.  Mais j'estime être payer correctement.

- Tu sais ce qui va t'arriver si tu ne fais pas ce que je te demande?! 

- Je le sais!

- Au cas où tu ne t'en souviens plus,  tu pourras demander à tes parents!

Je serrais les poings très forts car j'allais lui en mettre une sur le champ!

Puis il reprit:

- Ou tiens, à ton pote Jared.

- Qu'est-ce qu'il a?  Qu'est-ce que vous l'avez fait?

- Rien. Juste ce qui arrive aux traites!

Non pas lui.  Pas mon meilleur ami !  Pas lui.  J'étais maintenant à genou en route,  entrain de pleurer.  Je me pouvais me retenir.  Il faisait parti de ma famille! 
Je me souviens encore du jour où il m'avait confié qu'il voulait tout arrêter et je ne l'ai pas vraiment encourager.

- Arrête de pleurnicher et suis moi.

Au moment où je décidai de me lever enfin,  j'entendais des coups de feu.  Et un policier fonça vers nous.

- Courez! Dit l'un des gars de Marco.

Je courais le plus vite possible mais je fus le seul arrêté.

Il ne manquait plus que ça.  On laisse s'échapper les vrais briguants,  et moi,  on m'arrête ! 





Salut tout le mondeJe sais que c'est un chapitre un peu courtmais le manque d'inspiration m'a frappé d'une manière particulière.😄
Je suis heureuse de savoir qu'il ya plus de deux personnes qui lisent cette fiction qui a pour but montrer l'amour de Dieu.
C'est vrai qu'en ce moment le  jeune James est dans une voie désastreuse!
J'espère que ça ne va pas durer longtemps.

Allez merci encore et n'hésitez pas à voter si vous aimezet bien sûr commentez si possible.
💖

Je Me RendsDär berättelser lever. Upptäck nu