Je suis toujours là...

C'etait fini...

[Pdv extérieur/Nick]

Après avoir eu du mal à grimper les escaliers, Nick dû attendre le métro, la plupart des gens le regardaient mal, ceci dû à la batte de baseball, du moins sûrement, pensait-il. En réalité, Finnick n'avait pas changé de pantalon, chose compréhensible, donc Nick avait toujours son pantalon plein de sang, Il s'en rendis compte seulement quand il fut assis dans le métro, il fut d'un coup plus gêné, enfin gêné était un bien grand mot, il avait plutôt peur que quelqu'un appel la police.

Il devra donc faire attention devant le poste... il ne pourra pas parler à Judy devant, il faudra la suivre jusqu'à chez elle discrètement, il fallait se mettre dans la peau d'un violeur se disait-il avec un certain humour noir. Mais il fut coupé net de ses pensées quand un vieux lapin s'adressa à lui.

-Vous n'aller pas tous nous mangé tout de même ? Il avait parlé avec une voix plutôt cliché d'un vieillard, comme Nick les appelés.

-Vous ne m'avez pas l'air délicieux donc je ne pense pas. Rétorqua Nick avait un certain sarcasme dans sa voix et son sourire habituelle. Du moins c'est ce à quoi il pensait, en réalité cela ressemblait plus à une grimace, ceci dû à la fatigue certainement.

Le vieux lapin réparti s'assoir n'ayant plus rien à dire, il y avait un certain "racisme" envers les prédateurs, ceci moins nombreux et ayant rejoins la ville plus tard. Heureusement la nouvelle génération de proies était plus "ouverte" que les anciennes, celle-cis toujours prêtes à démarré des embrouilles envers les prédateurs, cette vieille proie en été le parfaite exemple. Après cela, le trajet de Nick redevint calme.

Nick arriva à destination à dix-sept heures et quarante minutes, la station été à environ 1km du poste, il lui restait environ 10 minutes de marche.

Il arriva à proximité du poste à dix-sept heures et cinquante-cinq minutes. Nous pouvons dire que "son" lapin été à l'heure car cinq minutes plus tard elle été dehors. Elle n'avais ni l'air joyeuse ni l'air triste, elle été simplement blasé. Cela a fait un léger pincement au cœur à notre protagoniste renard. Il la suivi pendant plusieurs kilomètres en peinant, mais il se débrouillé pour toujours avoir un œil sur elle. Au bout de vingt minutes insupportable il la vit s'arrêter devant un immeuble qui été sûrement là où elle habitait. Elle commença a taper sur un digicode quand Nick l'interpella.

À ce moment-là, Nick se sentait comme de la merde, il ne savait pas si elle allait le rejeté ou pas. Il en avait même peur. Il voulait faire demi-tour mais c'était trop tard. Il avait crié son nom. Stupide Nick ! Se criait-il à lui même. Stupide ! Stupide ! Stupide !
Mais elle se retourna, tout doucement, ce suspens lui été insoutenable. Elle s'arrêta à mi-parcours, tendis que lui avança contre son gré, en effet il ne contrôlait plus rien, c'était donc ça, la sensation de retrouver un proche perdu ?

Il été là, à deux mètre environ, la fameuse distance de sécurité contre tout objet électrique comme il se disait, mais elle, ne bougeait pas.
Il avait envie de mourir mais il se dit que il aura cette chance sous peu sûrement. Il fini par ouvrir la bouche tout en espérant que un cliché aller ce produire. Elle allé parler à sa place lui disant désolé et l'embrasser. L'embrasser ? Merde il ne voulais sûrement pas dire cela. Peut-être que au final c'était lui qui voulait réaliser ce cliché, mais il n'en avait pas le cran.

Mais elle se retourna à nouveau pour lui faire dos. Il s'approcha brisant au passage sa règle des deux mètres et posa sa patte sur son épaule.
Elle le repoussa en criant "NE ME TOUCHE PAS ! Tu n'existe pas, tu n'existe pas, tu n'existe pas !" de manière excessive tels un animal paniqué, et il tomba à terre en poussant des gémissements car en effet, sa dernière marche ne lui avait pas fait du bien et la chute ne faisait que raviver sa plaie.