Chapitre 5 bis

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*Scènes de sexe comprises, donc si tu fais le ramadan, que ça te choque ou que tu es trop jeune, passe ton chemin jeune pizza*

Je reste quelques temps à essayer d'assimiler ce qu'elle vient de me dire tellement cela me fait mal. Je me doutais bien que ses sentiments avaient changés, mais pas à ce point. J'aurais pu me taire au lieu de tenter de la comprendre, et j'aurais toujours cet espoir en moi. Mais je suis con, ça tout le monde le sait. Et si elle ne m'aime plus, je vais l'obliger à m'aimer de nouveau. Pour ça, il n'y a rien de mieux qu'une partie de jambes en l'air, les siennes en l'occurrence, et un peu de chantage. Comme j'ai appris à le faire, je ne montre aucun sentiments et m'approche d'elle tel un prédateur.

- Qu'est-ce que tu fais ? me demande-t-elle en reculant un peu.

Je ne répond pas et l'attrape par les hanches sous un cri de surprise de sa part. Je la mets sur moi et laisse mes mains gambader sur sa peau. Je la regarde trembler sous mes doigts.

- S'il te plaît, fais pas ça. murmure-t-elle par dessus mes lèvres alors que l'on se regarde dans les yeux.

- Dis-toi que c'est pour ton fils, que si non, je le tuerais. lui conseillais-je avec un sourire narquois.

Elle me regarde apeurée, mais baisse la tête en laissant échapper quelques larmes avant de se laisser retomber sur moi. Je prend ça comme un accord et relève lentement sa robe blanche. Finalement, je la laisse remontée jusqu'à ses hanches et attrape sournoisement ses fesses de mes mains puis prends possession de ses lèvres. J'infiltre rapidement ma langue dans sa bouche mais ne reçois pas le baiser passionné que j'attendais. Pour lui faire comprendre qu'un échange ne se fait pas tout seul, je lui claque la fesse et obtiens le résultat escompté. Le baiser reprend alors et avant de laisser ma langue tracer son chemin sur son cou, je lui retire sa robe. Là, des centaines de cicatrices apparaissent sur ses bras, son buste, sa poitrine et son ventre, allant jusqu'à dériver sur ses cuisses. Et pas n'importe quelles cicatrices, puisque les traces de scarifications forment toutes mon prénom.

- C'est magnifique. je lâche dans un murmure, émerveillé.

Rapidement, je reprends mes suçons et échangeant nos places pour me retrouver à califourchon sur elle. Etrangement, elle ne gémit pas mais tremble toujours, et je commence à croire que ce n'est pas de plaisir mais de peur ou de dégoût. De moins en moins sûr de moi, je retire son soutien-gorge. Je prends alors entre mes doigts le bout de son téton gauche pour le taquiner et presse mes lèvres contre l'autre. Là, les tremblements deviennent de plus en plus violents, alors je m'arrête quelques secondes et l'observe, avant de lui retirer le plus lentement possible son dernier vêtements. Quand la lingerie passe entre mes doigts, j'enrage. C'est sexy, c'est de la dentelle et c'est transparent, mais surtout, elle ne le porte pas pour moi. Je me dégage alors d'elle pour m'allonger avant de la porter pour l'assoir délicatement sur moi, la pénétrant ainsi de ma virilité qui n'attendait plus ça, déjà droite. Ses tremblements reprennent et je la prends dans mes bras, évitant de bouger pour ne pas lui faire mal. Je la vois serrer les draps tandis que ses larmes coulent. Et contre toute attente, elle commence très lentement des mouvements de bassins.

- Sache que j'aime mon fils plus que tout au monde, et que je suis prête à tout pour lui.

Une boule au ventre me surprend quand elle prononce ces mots, surtout dans un moment comme celui-ci. Alors comme le parfait connard que je suis, je retire mes bras d'elle et m'allonge complétement sur le lit, les bras derrières la tête.

- Accélère. ordonnais-je sournoisement.

Ma douce s'arrête quelques secondes, certainement surprise, et quand je lui donne un coup de bassin elle reprend ses mouvements. Je regarde ses petites fesses se dandiner devant moi et l'envie me prends de les toucher, alors je le fais. Comme pour que j'arrête, elle accélère, et la pression autour de ma verge m'empêche de continuer tant elle me fait de l'effet. Rapidement, je me relève un peu, la bouche légèrement entre-ouverte. Là, je reprend ma femme par les hanches et accélère grandement les mouvements. Aya me supplie d'arrêter mes ses gémissements la contredisent, puis la voir dans cet état à cause de moi me rapproche de la jouissance, alors je continue en attrapant ses petits seins dans mes grandes mains d'homme.

Finalement, nous atteignons l'orgasme ensemble et je nous couche lentement sur le lit pour que nous reprenions nos respirations. Personnellement, je me concentre sur celle de ma douce et étrangement, des sanglots s'y mélangent encore.

- Alors, tu es sûre de ne plus m'aimer ? je demande souriant en me retirant d'elle.

Elle sèche ses larmes et se retourne violement vers moi.

- Attends, je rêve là ? Tu viens de me... de... s'arrête-t-elle. Si, je t'aime, tu as raison c'était con de te le cacher.

Après ces quelques mots, elle s'enfuit pour rejoindre la salle de bain alors que je suis heureux qu'elle m'accepte. J'ai d'abord eu l'impression qu'elle me mentait, mais c'est tout bonnement impossible qu'elle essaye de me couillonner, elle tient trop à son fils comme elle dit.

Et voilà, notre couple redémarre.

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