5.

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Délina

« - Ian: Tu as décider de m'ignorer encore combien de temps ? 

   - Délina: C'est bon excuse moi, puis tu as eu tort sur le garçon de l'autre fois, il est gentil au fonds.

- Ian: Comment ça il est « gentil ? » tu lui as parler ?

- Délina: Hier avec Célya nous nous sommes rendu où il habitai.

- Ian: Pardon ?!

- Délina: Ça va calme toi, il a seulement voulu me rendre ce qui rester du chèque, rien de plus.

- Ian: Il ne t'as rien fait ? Ni même manquer de respect ?

- Délina: Je te l'ai dit, il est gentil. »

Ian regarde Délina assez perplexe. Il n'apprécie pas le fait qu'elle soit aller rendre visite à Karim, encore moins être aller dans sont quartier et sans lui en avoir parler.

« - Délina: On se fait un resto ce soir ?

- Ian: En quel honneur ?

- Délina: Aucun. Je veux seulement passé du temps avec mon chéri, est-ce interdit ?

- Ian: Bien sûr que non, je passe te chercher aux alentours de dix-neuf heures, fait toi jolie »

Ian disparaît après avoir embrasser Délina. Elle reste quelques minutes allongé sur son lit jusqu'à ce qu'elle décide de se lever prendre une douche.

Samir

« - Samir: Yemma je mange pas ici ce soir

   - Sa mère: Où est-ce que tu vas ?

   - Samir: Y'a Yacine qui fête sont anniversaire, on ira au resto.

   - Sa mère: Wakha de toute façon on va chez ta tante ce soir avec Lina.

   - Lina: Je peut venir avec toi Sam ?

   - Samir: Il y aura que des grands
hayati (*Ma vie - signe d'affection)

   - Lina: Mais moi je veux rester avec toi

   - Samir: J'te promet qu'on sortira dans la semaine, je t'emmènerai où tu voudra wakha (*D'accord) ?

   - Lina: Trop bien ! Je pourrai ramener ma copine ?

   - Samir: Si tu veux hayati. Viens là. »

Samir ouvre grand les bras et Lina s'y faufile d'un pas rapide en le serrant dans ses bras. À cette vue, sa mère sourit, heureuse d'avoir eu de si beaux enfants. Samir  se relève en déposant un baisé sur le front de sa mère, comme à sont habitude. Il récupère ses clefs de voiture posés sur la table basse et sort de chez lui en fermant la porte.

« - Karim: Salam, bien ?

   - Samir: Salam! Tranquille et toi ?

   - Karim: Ouais tranquille, tu vas t'acheter le costard maintenant ou bien

   - Samir: On est sensée y aller behloule (*Débile).

La bourgeoise et le bandit, quand deux destins se rencontrentWhere stories live. Discover now