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Une après midi alors que je rentrer des cours avec les jumeaux, nous avions aperçu Nouria avec un homme.

Salim - Elle fou quoi ?

Moi - Parle pas trop vite, pourquoi tu t'énerve ?

Selim - Le Daron il va s'énerver !

Moi - Bref avancer !

Nous avançons jusqu'à sa hauteur, les jumeaux l'embrassèrent et je restais à ma place à la regarder,  comme à son habitude elle me fusillait du regard. Elle remis une enveloppe à la personne et lui souffla quelque chose à l'oreille avant de me regarder et de partir.

Nous arrivions chez moi avec les garçons.

Selim - Vous pensez quel lui a donner quoi ?

Moi - Surement des papiers ?

Selim - Imagine c'est de l'argent ?!

Salim - Faut le dire à papa ou pas ?

Moi - Laisser la vous savez pas vous allez pas en parler à Mounji !

Je fis la cuisine pendant qu'il jouer à la play. Un peu plutard nous mangions toujours dans la même discutions à propos de Nouria et de son inconnu.

Selim - Imagine elle trompe papa ?!

Salim - C'est chaud quand même si elle fait ça !


Je manger, je ne préféré pas prendre par du sujet sachant que nous ne savions pas qui été cette homme.









Quelques jours plus tard


En rentrant de l'école, je croisais un jeune homme que je n'avais encore jamais vue dans le quartier.  Il était vraiment magnifique.

Il était grand,  brun, yeux marron en amande. Je ne sais pas pourquoi mais lorsque je l'ai vue j'en ai eu des frissons. Il a tourné sa tête en directions de la mienne et je n'ai pas pu détourné le regard tellement il m'avait captivité.  Il me sourit puis part.

Dans mon ventre je pense qu'il y avait la guerre,  mon corps tremblais.  Cette homme me faisais un effet incroyable que je n'ai jamais ressenti auparavant. 

Je rentrais chez Mounji avec un grand sourire, mais cette joie fut de très courte durée ! Mounji n'était pas la, ainsi que les jumeaux.  Sabah était avec Nouria.

Je rentre et elle me toise chacune du regarde,  c'est devenue une habitude chez elle que parfois j'en oublie que ce regard est pour moi.



Nouria - Tu ne dis pas Salam aleikoum quand tu rentres chez les gens ?

Moi - Je viens d'arriver.

Elle - Et alors ?! Je te rappel que tu n'es pas chez toi ici ! Peut être que ta mère ta éduqué comme ça mais quand tu viens chez moi comporte toi bien !

Moi - Ne t'inquiète pas Nouria,  ma mère m'a très bien éduquer et je pense même qu'elle m'a éduquer mieux que toi qui éduque ta fille ou tes filles. Tu vois moi même si elle est morte Allah y Rahma bah j'ai des bases sur la vie, comment me comporter avec les gens, le respect de soi,  des autres, et des morts !

Elle - Tu insinue que je ne suis pas respectueuse envers les gens et que je suis une mauvaise mère ? Fait attention à tes paroles je n'ai pas ton âge !

Moi - Bref pense ce que tu veux.


Elle avait bien gâcher ma bonne humeur,  je claqué la porte de ma chambre pour encore plus l'énerver.  Et je l'entend crier depuis le salon des paroles incomprehensible. 

Elle avait déclaré la guerre depuis longtemps mais je rester très souvent de marbre,  certes parfois les paroles pouvait être blessant,  mais je faisais au mieux pour ne rien montrer et surtout parler intelligemment pour la contredire. 

La soirée était rapidement passé et les garçons était rentrer.  Nouria avait fais le repas et nous mangions chacun en silence.

Je trouvais le goût assez particulier pour des spaghetti bolognaise,  enfin il y avait un arrière goût et je grimaçais.

Mounji - Ce n'est pas bon ?

Moi - C'est bizarre...

Nouria - De toute façon tu as toujours été jalouse de ma cuisine !

Moi - Non je n'ai jamais rien dis de ta cuisine, tu as toujours très bien préparer sauf que la il y a un arrière goût c'est tout.

Mounji - Moi je ne sent rien du tout, c'est comme d'habitude.

Moi - Hum sa doit être mon palet. Bon je vais faire...

Nouria - Tu ne te leve pas comme ça mange !

Je la défier du regard et me levais de mon siège pour aller dans la cuisine.  Je pris une bouché du plat principal qui n'avait pas d'arrière goût.  Pourquoi alors il n'y a que mon assiette ?

Je jeter le contenu de, mon assiette à la poubelle et allais dans ma chambre.

La nuit que j'avais passé fut horrible,  j'avais une forte diarrhée,  et très mal au ventre.  J'avais transpirer toute la nuit.

Le lendemain j'étais fatigué je n'avais pas dormi,  mais les douleurs était partie.  J'avais souffert comme je n'avais jamais souffert.  Les douleurs était comme si une personne appuyait sur mes intestins jouer avec, les couper. Je n'avais jamais eu autant mal qu ventre.

Mounji entra dans ma chambre et avança vers moi.

Lui - Debout il y a école.

Moi - Pas aujourd'hui Mounji.

Il s'approcha encore plus de moi et posa sa main sur mon front, j'étais encore en sueur.  J'étais sous ma grosse couverture mais pourtant j'avais froid.

Mounji - Ta de la fièvre ! T'es brûlante ! On va aux urgence.

Moi - Non je vais me reposer,  si sa ne va pas mieux ce soir on ira.

Il sorti pour revenir quelque instant après avec de l'eau et du paracetamol.

Je bu le médicament et le grand verre d'eau avant de plonger dans un lourd sommeil. 

Pour Toi MamanOù les histoires vivent. Découvrez maintenant