Stronger than ever [R5 Fanfiction]

Chapitre 2: Il faudra être fort

Après plusieurs heures, un médecin vint enfin.

- Médecin: Monsieur et Madame Lynch?

- Mark: Oui c'est nous. Comment va notre fils.

- Médecin: Je suis désolé,... Il va falloir être fort. Votre fils n'est plus dans le coma, cependant son accident à laissé des séquelles importantes.

- Stormie: Que voulez vous dire par là ?

- Médecin: Votre fils ne peux plus marcher. Le choc à affecter fortement ses jambes. Je suis désolé.

- Mark: Est-ce qu'il pourra remarcher un jour ?

- Médecin: Avec beaucoup d'espoir et de la rééducation, nous pouvons l'espérer mais cette chanson est infime. Je dois vous laisser, je m'excuse. Au revoir.

Le médecin parti, nous regardions tous, le souffle coupé, nos vies venant d'être bouleversé à jamais, tous comme celle de Ross. Stormie fondit en larmes dans les bras de Mark, qui lui aussi avait les larmes aux yeux. Rydel s'était éffondré dans les bras de Ellington, Ryland et Rocky étaient assis côte à côte les yeux dans le perdu dans le vide. Je cherchais Riker du regard quand je le vis sortir de l'hôpital. Je me précipita dehors pour le retrouver, il était là en larmes entrain de cogner de toutes ses forces contre le mur. Je me précipita vers lui et m'interposa entre lui et le mur.

- Lucie: Riker, ne fais pas ça. Mon coeur regarde moi.

- Riker, levant la tête: Comment c'est possible? Pourquoi lui? Il ne méritait pas ça, Lucie.

- Lucie, le prenant dans ses bras: Je le sais. Ca ne va pas être facile mais on va y arriver, Ross va s'en sortir. Il est plus fort que quiconque.

Riker et moi nous étions assis sur un banc, je le tenais dans mes bras pour essayer de le réconforter. J'étais toujours en état de choc moi-même. J'avais envie de hurler ma peine au monde entier. Si la médecine le permettait j'aurais fait don de mes jambes à Ross pour qu'il puisse remarcher et vivre normalement comme avant. J'avais envie de hurler contre ces paparazzis qui venaient de ruiner la vie de mon meilleur ami et de toute sa famille, ma deuxième famille.

Les heures passèrent et tous le monde se rendit chacun son tour au chevet de Ross qui venait de se réveiller. La fin des visites approché et je compris que je ne pourrais pas le voir. Tous le monde était rentré, il ne restait plus que Ryland avec Ross. Je commença à prendre ma veste pour partir quand je sentis quelqu'un me retenir par poigner.

- Ryland: Lucie, il faut que tu ailles le voir.

- Lucie: Je le voudrais vraiment mais c'est la fin des visites je n'ai plus le droit maintenant.

- Ryland: Il a besoin de toi, il t'a demandé. Je m'occupe de gérer avec les infirmières pour que tu puisses aller le voir. Je t'attendrai dehors pour qu'on rentre ensemble après.

- Lucie, le prenant dans ses bras: Merci Ry, c'est adorable. A tout à l'heure.

Je me précipita alors vers la chambre de Ross et toqua pour rentrer. J'entrouvris la porte et je le vis, là, allonger, des tubes et des perfusions lui étant relié. Mes yeux s'embuèrent de larmes jusqu'à ce que je l'entende.

- Ross, d'une voix faible: Salut ma belle.

Il me tendit les bras et je m'avança rapidement vers lui pour le serrer dans mes bras.

- Lucie: Oh Ross, si tu savais comme j'ai eu peur. Ne me refais plus jamais ça, d'accord, jamais?!

- Ross: Je te le promet. Je vais m'en sortir.

- Lucie: Tu t'en sortiras, je te le jure. Même si ça prends des mois, des années, tu y arriveras et je serai là.

- Ross, les yeux rempli de larmes: Tu ne m'abandonneras pas ?

- Lucie, passant sa mains dans les cheveux de Ross: Jamais je ne t'abandonnerai, je serai toujours là pour toi, quoi qu'il se passe.

- Ross, me serrant dans ses bras: Merci. Je t'aime tellement Lucie, si tu savais.

Je le regarda en souriant. Je l'aimais tant aussi, il faisait parti de ma vie et de mon bonheur quotidien.

On resta une vingtaine de minutes tous les deux avant qu'une infirmière ne me demande de partir. Je serra fort Ross dans mes bras et lui promis de revenir le lendemain avec les autres. Il me sourit et ça me fit du bien. Je parti retrouver Ryland qui m'attendait dehors et nous sommes rentrés à la maison.