Quarante-quatrième Partie

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  Je reste inerte un petit instant avant d'aller me mettre en tenu plus , plus simple , clochard kay.

Je mis mes sandales de toilettes et nous y allons enfin , je vous dit pas ma mère était dans la chambre alors que je m'habillais et sans gêne la vieille.  J'ai pu m'habiller en allant dans ma salle de bain et ne ressortir qu'après quelques minutes.

Elle m'avait privé de ma voiture pour prendre un taxi qui nous conduit à Tivaone Peulh avec un coût énorme normal le trajet était vraiment long et ennuyant car ayant rien avec moi même pas mon portable , je me demande ce qu'il y'a là-bas pour que ma mère m'interdisse tout ces trucs .

  Arrivés à Tivaone Peulh , nous avons pris un clando , puis une charrette qui nous fait traverser une route si je peux l'appeler comme ça très sabloneuse.

Nous avons ensuite continuer la route à pied et j'ai failli m'évanouir tellement on a marché et j'ai honte car ma mère ne semblait le moin du monde absorbé par toute cette fatigue.

  Quand nous arrivames enfin dans une petite baraque avec des cornes d'animaux de même que de peaux d'animaux et des enfants jouant à l'ambiance des animaux domestiques qui parcouraient la cours , ma mère m'annonce qu'on était arrivé.

  Ouf je lance car c'était un vrai soulagement.

Mais cet endroit ne me plaisait pas du tout si vous voyez comment elle était mystérieuse.

  La vache j ne sais pas pourquoi les femmes aiment les marabouts car là il n'y a rien d'amusant.

  - eh bayil sa khoulé bi té nga soumi sa dal yi ( et arrête de faire les gros yeu  et enlève tes chaussures ) me lance ma mère alors qu'elle était déjà pieds nus.

  Je fais de même et nous penetrons dans la baraque après que ma mère ait demandé l'autorisation.

  -Djameh , Djameh lance la mère en flechissant ses genous pour saluer je ne sais qui alors qu'il n'y avait ou on ne voyait personne.

  J'allais le dire à la mère quand une voix m'en dissudua et tout mon sang se glace tellement la voix était étrange .

  - qu'attends-tu pour me saluer avait lancé la voix qui devait appartenir au marabout qu'on ne voit toujours pas je te vois mais toi pas agenouille toi et toi femme reprend le chemin du retour sans jamais te retourner  en cette direction je m'occuperais de ton fils reprend la voix et ma mère s'exécute sans un regard vers moi.

  Wouh où elle va la dame je ne vais pas rester avec quelqu'un que je ne vois pas .

Je  voulais le dire à ma mère mais elle était déjà parti et j'avais peur de parler : la trouille de ma vie.

  - qu'est ce qui t'amenes fils ? La demande la voix alors que j'étais toujours debouy seul dans cette pièce.

  - la ..de . ..je ....que begayais je ne sachant que dire encore moins où me mettre.

  - je ne vais pas te manger , Mamadou Alioune Sall , je connais déjà tout de toi et même ce qui t'amenes c'était juste pour en avoir le coeur net affirme la voix et je le surprend à faire tomber une larme comme un enfant tellement j'avais peur.

  - la mère de tes jumeaux sera la solution à tout tes problèmes , tu risques une mort fatale d'ici peu , tu seras ruiné , tu souffriras beaucoup avant de mourir et seule cette génitrice peut te sauver m'informe le supposé guérisseur et je le surprends à lui poser une question.

  - qui ça Adji mon Ex femme ?

  - oui et tu n'auras pas d'autres options me fait savoir le vieux.

Khadidjatou, les couleurs du destinWhere stories live. Discover now