Chapitre 2

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*Les deux réels personnages de l'histoire en média**** Attention, lignes à caractères sexuels dans ce chapitre ***

Je la balançais sur un lit, mais ne voulant pas me lâcher elle m'avait griffé tout le dos, je me transformais alors sous forme humaine pour pouvoir mieux agir pendant l'acte et elle me regarda narquoisement. Là, elle ne semblait plus du tout faible, j'aurais même penché pour la définir de "bad girl", surtout d'après la position très sensuelle dans laquelle elle était.

- On dirait que j'ai tiré le gros lot... ricana-t-elle d'une voix sexy.

Je m'approchais alors d'elle et lui tirais les jambes pour qu'elles m'entourent, avant de me mettre à califourchon sur elle... Je m'attaquais à son cou en premier et elle s'agrippa à mon dos. Les marques violacées apparaissaient dans son cou quand je descendis vers sa poitrine. A partir de ce moment là elle commença à gémir et s'empressa de me retirer ma chemise avant de continuer avec a ceinture. La petite savait ce qu'elle voulait dites donc. Je descendis alors encore pour lui faire connaître milles et milles paradis. Elle accrocha ces doigts dans mes cheveux, putain j'avais horreur qu'on touche à mes cheveux ! Je ne dis rien et continuais, c'est comme si je buvais ces gémissements, ça me rappelait mes débuts avec Perséphone... Pourquoi je pense à elle ? Je souhaite juste que cette incapable crève alors pourquoi pour une fois que je m'amuse vraiment je pense à elle ? Foutue conscience d'humains de merde !

- Ca ne va pas ?

Je regardais la jeune fille, pourquoi me demandait-elle ça ? Elle soupira avant de s'approcher de moi félinement et de m'attraper par la cravate. Elle m'amena à elle avant de m'embrasser avec douceur et de descendre ses main vers ma braguette qu'elle ouvrit. N'appréciant pas la douceur du baiser je le rendit plus sauvage, plus bestial.  Elle sortit alors mon sexe de mon caleçon et commença à me branler, mettant son autre main sur mon cou. C'est fou ce que les filles ont des ongles longs ! Je sentais déjà le sang qui coulait sur ma nuque tellement elle me serrait fort, mais je ne m'en plaignait pas, c'était excitant. Elle aussi le sentit puisqu'elle regarda sa main et la lécha. C'était glauque. Puis sans comprendre pourquoi elle ricana sadiquement avant de se lever et de commencer à s'habiller de ma chemise.

- Qu'est-ce que tu fou ? aboyais-je en rogne qu'elle me laisse en plan.

- Hades, tu ne sais pas combien de temps cela fait que je t'attend, tu es maintenant mon mari.

- Mais de quoi tu parles ?

- L'échange de sang, Hades. Tu es tellement prévisible. Tout à l'heure tu as bu mon sang pour que je t'appartiennes, mais ça marche dans les deux sens Hades, j'ai bu du tien et maintenant tu m'appartiens.

Je soupirais et coinçait ma tête dans un oreiller avant de me branler moi même, tant pis. Cette fille est folle de toutes façon, j'aurais trop peur qu'elle me contamine. Ca se propage la folie ? Peu importe. J'entendis la porte s'ouvrir signe qu'elle sortait et ça, c'était juste hors de question, déjà qu'elle me laissait en plan elle n'allait pas non plus se balader dans ma maison quand même ! Je me levais en continuant mes vas et viens, au pire on s'en fou hein, c'est chez moi ! Je la rattrapais et la retournais, mais ce n'était pas elle, c'était Louise, ma bonne, et bien sûr c'est à ce moment là que j'éjacule, ben voyons ! La pauvre grimaça en voyant que j'étais nu, se retourna et constata que son tablier était sal.

- Oh shit ! Louise, je suis désolé, je pensais que c'était.../

- /Ce n'est pas grave, maître, permettez juste que j'aille prendre une pause pour nettoyer cela, s'il vous plaît. me coupa-t-elle.

- Oui, tout ce que tu veux Louise, je suis vraiment confus que tu es vu... ça... mais/

- /Ne vous excusez pas, maître, vous êtes chez vous. me coupa-t-elle encore.

J'avoue. Je suis chez moi, et puis pourquoi je m'excuse, d'abord ? Hades ne s'excuse jamais !

- Hilarant ! Mais un mari doit fidélité à sa femme si je puis me permettre ! ricana une voix derrière moi.

Je me retournais et attrapais la gamine avant qu'elle ne puisse s'enfuir et m'imaginais en face du Phlégéthon, et l'y balançais. Je l'entendis crier de sursaut puis plus rien, elle était sûrement déjà noyée dans les flemmes de ce fleuves, enfin, c'est ce que je croyais avant qu'elle ne remonte en rampant sur la rive. Elle n'était que peu brûlée, et je la contemplais, alors c'est pour ça qu'elle a réussi à survivre même dans le Tartare, c'est une divinité...Pourtant je ne la connais pas, et c'est impossible que Zeus ne m'ai pas prévenu d'une nouvelle divinité. De plus, en les temps qui courent c'est impossible que les humains ai invoqués les divinités pour en avoir une nouvelle ! La plupart de la population ne croit pas aux mythes.

- Qu'est-ce que tu es pour ne pas finir en cendres ?

- Ta femme Hades, je te l'ai déjà dit.

Cette révélation me fit l'effet d'une bombe ; et si elle disait vrai ?

La femme d'HadesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant