Chapitre 2

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Nous voilà au present, le 6 juillet à 2h33 du matin, il n'y a aucun bruit. Jusqu'a ce qu'un hurlement retentisse : on aurait dit... MA SOEUR ! Je cours hors de ma chambre et me dirige vers celle de ma soeur : elle dort confortablement. Ai-je rêvé ? Un nouveau cris retentit : il vient d'en bas. Un voleur ? Je descendit, toute tramblante. Plus que 5 marches, 3 marches, la dernière....

_ Attention ! Je suis armée ! Dis-je en brandissant ma lampe de poche.

J'ouvre mes yeux mais il n'y a personne. Le hurlement recommence et je me rends compte avec effroi qu'il vient de l'extérieur. Que faire ? Si Je sors je risque de me faire tuer, mais si je vais me re coucher, la pauvre victime risque de mourir, je vais laisser un délinquant s'enfuir, faire de cauchemars toute la nuit et me sentir coupable... C'est décidé : je sors. C'est alors qu'une idée me vient : appeler la police ? Non, mauvaise idée, mon téléphone portable est dans la chambre de mes parents, je ferais trop de bruit en voulant y accéder.
J'enfile ma veste, et, doucement, j'ouvre la porte d'entrée. Je me sens toute tramblante, j'ai les jambes en coton. J'avance, j'avance dans la rue : personne.

_ C'est une blague ? Je l'ai entendu trois fois ce cri !

C'est alors que, d'un seul coup, un homme masqué sortit des buissons et se dirigea vers moi. Je sursauta en poussant un cri de terreur.

_ Argh ! Laissez moi, je, je... Je suis armée ! Dis-je en brandissant mon "arme"

L'homme ricana.

Que faire ? Il se dirige vers moi. Je réfléchis à une solution mais rien ne me viens alors je poussa un cri, le cri le plus fort et le plus long que je n'eu jamais fait.

A bout de souffle, je tombai par terre. A l'intérieur de chez moi, les lumières s'allumèrent une à une. Mon plan à marché. Mes parents arrivent en courrant.

_ Lane ! Qu'est ce qu'il se passe ?! Qu'est ce que tu fais dehors en plein milieu de la nuit !

_ Le briguant ! Il veut... Il veut me kidnapper !

Je me retourne : il n'y a plus personne.

_ Léane, si c'est une blague....

_ Mais j'te promets qu'il était là ! Assurai-je à mon père

Soudain, l'inconnu sortit de nulle part et sortit un sifflet de sa poche.

_ Qu'est ce que ?..... Commençais-je

Il souffle dans l'objet mais aucun bruit n'en sort. Soudain mon père et ma mère ne bougèrent plus, comme figés par le sifflet.

_ Papa ?! Maman !,

Ma soeur arrive et reçois le même sort. Je me mets à pleurer puis je me jette sur l'inconnu.

_ Espèce de... Qu'est ce que tu leur as fait ?! Je vais appeler la police ! Dis-je, en pleurs

Je me dirige en courant dans la maison quand soudain c'est le noir complet. Tout s'arrête brusquement.

Le Pays Des Pensées [En Réécriture✓]On viuen les histories. Descobreix ara