Partie 4.

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4.

Je venais tout juste de le reconnaître c'etait l'homme que j'avais vu dans la maison. Je tremblais mais après j'ai souffler un grand coup et j'ai dis Al Hamdulilah maintenant j'ai un travail il faut que je me bouge. Bref, j'étais contente mais petits frères vont à l'école et Yemma retrouve le sourire. J'étais entrain de faire le ménage dans une salle quand je sentis un regard sur moi. Je me retourna, c'était lui.

Moi : Bonjour vous avez besoin d'ai...
Lui : Ta gueule et écoute moi bien sale pute tu vois ton travail demain tu l'auras plus et...
Moi : Mais..mais pourquoi ? Pourquoi tu me fais ça ? Qu'est-ce-que je t'ai fais ? Hein, tu veux qu'on vive encore dans la rue avec ma famille ?
Lui : FERME TA GUEULE J'AI DIS ! Je m'en fou que vous viviez dans la rue -petit sourire- j'men fous complément et tu sais quoi salope ? Je te pourrirais la vie, jusqu'à la fin de tes jours a toi et ta petite famille de pute !

Je m'apprêta a sauter sur lui, ma famille, pute ? Ça passe pas non, non, non ! Il me mis un gros coup de poing, j'ai saignais du nez la porte s'ouvre c'était Hamid (le patron, qui m'avais aider)

Hamid : Wesh Rachid tu fous quoi la ?
Rachid : Elle est tomber miskine je l'aide wesh téma comment elle saigne du nez.
Ils sont cousins.

Il avait pas l'air convaincu, il m'avais dis de venir avec lui qu'il allait me soigner. Je suis donc partis avec lui, on parlais pas. Il m'a emmener dans une salle et il m'a soigner. Après j'ai terminer mon travail et je suis rentrer. Les petits étaient là mais pas Yemma. Je l'avais acheter un portable donc forcement je l'appel. Elle repond pas, je commençai a m'inquieter. Un moment je l'appela et elle répondit enfin.

Moi : ALLÔ ? YEMMA T'ES OÙ ?
Yemma : Salam Aleykoum Benthi, je suis chez une amie !
Moi : Une amie ? -sourire- d'accord alors a tout à l'heure In shâ Allah Yemma.
Yemma : Prépare pour les petits et In shâ Allah je serais bientôt là.

On mangea et puis je leur ai aider a faire leur devoirs, preparer le sac, les habits et après ils étaient dans le lit.

Ibrahim : Haïfa plutard on aura notre maison In shâ Allah ?
Moi : Oui, In shâ Allah on aura une maison, je vous le promet
Kaîs : Haïfa je t'aime beaucoup moi, jusqu'au ciel parce que Haïf', elle est gentille et parce que grâce a toi on dors plus dehors
Moi : Ah -sourire- moi aussi je t'aime et Kaîs dis toi que c'est grâce a Dieu qu'on est là d'accord ?
Kaîs : Oui, maman elle dit toujours Ma shâ Allah ma fille, c'est une fille bien.
Moi : J'ai de la chance de vous avoir avec moi w'Allah
Ibrahim : Haïfa, Papa il me manque..
Moi : Écoute Ibrahim, à Allah nous appartenons et à Lui nous retournons tu le sais hein ?
Ibrahim : Oui..

On a continuer a parler puis ils se sont endormis. Je les regardés ils sont beaux Ma shâ Allah et pour eux je donnerais tout, que sa soit ma vie, mon sang, des organes etc.. Je leur ai fais un long bisous sur le front et je suis partis dormir.

Le lendemain, il y avait ma mère a mes côtés Al Hamdulilah. Elle nous avait réveiller car c'était l'heure de la prière. On était tous sur notre tapis de prière ce moment où tu peux te confier a ton Créateur, où tu pleures, où tu te sens bien, en sécurité, où tu te sens apaiser. Oui, quand je prie j'ai toutes ses sensations !

Bref, ensuite je dépose les petits a l'école et pars a la recherche d'un boulot. Je comptais démissioné dés que je trouve un boulot car je n'aime pas les problème. Ça peut paraître lâche mais imaginez que Rachid qui est le cousin à Hamid réussi a me faire virée on sera de nouveau à la rue. Je ne veux pas surtout je risquerai de le tuer, cette homme là je le sens pas, il a l'air mauvais !

Bref, je cherchais un peu partout, une m'a donnez un rendez-vous c'était dans un magasin ils m'ont demandaient de passer à 12h30 demain. J'étais super happy ! Et qui c'est peut-être que je gagnerai mieux et je ne dirai rien a personne on sais jamais. Bref, je m'en alla au boulot, il y avait Rachid. Il m'avait soulé ce jour-là, il a tout fais pour que je sois viré. Je pense qu'il ne se rend pas compte de ce qu'il fait, si je suis vire ma famille sera a la rue ! C'est sa qu'il veut ou quoi ? Un moment j'étais dans une petite salle, je rangeais quand Hamid vena vers moi un peu énerver.

Hamid : Suis-moi !

Je le suiva, je me douta de rien, je ne savais pas pourquoi il avait l'air énerver et pourquoi il me demandait de le suivre. On était dans son bureau, il y avait Rachid.

Moi : Qu'est-ce-qu'il y a Hamid ?
Hamid : Je te laisses 5 minutes pour t'expliquer !
Moi : M'expliquer de quoi ?
Rachid : Éh vas-y fais pas zehma ma soeur, assume puis c'est tout !
Moi : Mais.. je ne comprend pas désolé .... expliquez moi ?
Hamid : Bon, Haïfa je dois prendre des décisions ce que t'as fais n'est pas tolérable.
Moi : Tu peux m'expliquer s'il te plaît.
Hamid : QUE JE T'EXPLIQUE TU TE FOUS DE MA GUEULE OU QUOI ? COMMENT ÇA T'AS INSULTER LA MÈRE DE MON COUSIN ? PUTAIN FERYEL J'TAI AIDER MERDE, J'TAVAIS DIS DE NE PAS LE CALCULER ALORS POURQUOI T'AS FAIS SA ?
Moi : w'Allah Hamid je n'ai jamais fais ça, je te jure Hamid je ne pourrais jamais insulter les mères tu le sais très bien et toi -en m'adressant à Rachid- jure w'Allah que j'ai insulter ta mère ? Oses avoir le courage de mettre le nom d'Allah dans une phrases totalement fausses !? Vas-y frère balance non ?

Il nous regarda en fronçant les sourcils après il m'a mis une baleyette et commença a me taper comme un fou. Pourquoi autant d'haine ? Pourquoi Ya Allah ? Qu'est-ce-que j'ai fais s'il vous plaît ? A par aider ma famille et d'autres personnes ? Dîtes moi qu'est-ce-que je lui ai fais ? Je ne sentis plus les coups mais j'entendis des cris. J'avais tellement mal et les cris ne m'aidaient pas. Je me sentis soulevé et on m'a soigné ! J'étais dans les vappes puis je fus l'effort de me lever et de rentrer chez moi, le regard vide, la tête rempli de questions qui disait :
" Pourquoi ? " et la seule réponse qui m'ai sorti par la tête était " C'est une épreuve de Dieu " ...

« On garde la foi & grâce à Dieu un jour on aura un toit. »Where stories live. Discover now