L'Alpha et l'Andalouse

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Sa devait faire un peu plus d'un mois... Un mois que moi et Carmen fuyions. Nous avons dû faire quelque modification à notre physique pour être sur de ne pas être reconnu. J'avais désormais les cheveux blond à la limite du blond platine. Je laissait mes yeux vert avec l'œil tâche marron comme je l'appelais. Carmen m'était des lentilles de couleur bleus. Elle c'était couper les cheveux en carrer effiler et ce les étaient teint en blanc. Je la trouvait drôlement belle comme sa... Nous avions vraiment le strict minimum dans nos sac à dos... On ce serais cru dans le dernier mission impossible. Nous marchions le long d'une route qui traversais la foret. Soudain une voiture s'arrêta et un jeune couple d'environ 25 ans nous interpella:

- vous avez besoin d'un chauffeur? Demanda l'homme qui conduisait.

Carmen et moi nous regardèrent et avant que je réplique, Carmen fis un grand sourire au couple:

- oui merci infiniment de votre aide!

Elle monta à l'arrière et m'embarqua avec elle. L'homme se remis à rouler et la femme nous demanda:

- où vous allez?

- vous ou allez vous? Répondit Carmen.

- nous partons pour Rio... Nous allons à l'aéroport à environ 3 heures, répondis l'homme.

- c'est parfait ! S'exclama Carmen.

Je ne parlais pas... Je réfléchissais. Je venais de me rendre compte que je n'avais plus de famille, qu'ils étaient tous morts. Que j'avais quitter un Alpha suprême qui a l'heure actuel devait être à mes trousse. Que ma meilleur amie avais elle aussi tout perdu et que malgré le danger elle avais préférer me suivre.
Mais mon esprit ne s'attarda que sur lui...

Il te manque pas vrai?

Il te manque à toi? Répondis je à Anaba.

C'est notre âme sœur bien sûr qu'il me manque... Il me manque affreusement. Je veux sentir son odeur! Je veux sentir sa peau contre la notre! Je veux voir Herkan! Se plaignit encore Anaba.

Veux tu arrêter de te plaindre?!

Soudain une douleur affreuse me pris au niveau du coeur. Comme si un étau se refermais autour, m'empêchant de respirer. Je porta ma main à mon coeur et Carmen le remarqua. Elle demanda à l'homme de s'arrêter ce qu'il fis et je descendis de la voiture. Je dis quelque pas avant de tomber à quatre pattes sur le sol. Je toussa et me mis sur le dos dans l'herbe. La douleur était horrible...

- on dirais que c'est le terminus pour vous... Dis soudainement la femme.

Malgré la douleur je me releva ainsi que Carmen qui jusqu'à maintenant était accroupis à côté de moi. Le couple avais pointé des armes sur nous... Putain pourquoi je la sentais venir! Carmen se releva et avant que je parle, pris le poignet tenant l'arme de l'homme et celui de la femme. Elle leurs retourna à chacun le bras et mis un coup de poing dans le ventre de l'homme et un coup de boule à la femme. Carmen ramassa les deux flingues et les pointa sur le couple:

- je crois que vous devriez dégager... Grinça Carmen.

Sans demander leur reste cette bande de... Cretin, se barra à bord de la voiture, nous laissant seul au bord de la route. Ah oui aurai je oublier de préciser que le père de Carmen travaillait dans les unités spéciales de l'armée? Il avais entraîner sa fille au combat très jeune ce qui explique que Carmen se soit pris pour Xena la Guerrière. Carmen mis les deux pistolet dans mon sac et se pencha à nouveau vers moi.

- Ros' sa va?

- oui oui...

La douleur c'était un peu calmer. Je me releva et me tint le ventre qui était encore douloureux.

- il faut qu'on parte... Répliqua Carmen.

J'hocha de la tête et je me mis à courir dans la foret. Pas près de trois heures après, je découvris un lac avec sur le côté, cacher sous un arbre bas, une petite cabane. Il n'y avais rien dedans mais au moins nous aurions un abris pour la nuit. Je m'allongea sur le bois et posa mon sac sous ma tête. Je ferma les yeux:

Putain c'était quoi sa Anaba?! M'exclamais je.

Si tu parle de la douleur que j'ai autant ressentis que toi, tu le sais très bien! Grogna t elle.

Mais je ne comprend pas je croyais être moins sensible à la distance que Chuck! C'était ce que m'avais dis Sinamm...

Oui mais il t'a parlé quand il pensait que tu étais humaine... Je te rappelle que au final tu n'en est pas vraiment une DONC tu ressens la douleur mais mois fort que Chuck.

Au mon dieux, déjà que moi j'ai crus que je faisais un arrêt cardiaque, je n'imagine même pas ce que ressens Chuck...

C'était de la pitié dans ta voix?

Non je ne ressens rien pour Chuck. Aucun sentiment!

C'est toi qui parle... Mais moi et quelqu'un d'autre ne somme pas d'accord! Répliqua Anaba.

Ah ouais? Et c'est qui cette personne?

Quelqu'un qui fais partie de toi... Ton coeur...

Je grogna et coupa la connexion. Carmen et moi nous collèrent pour nous réchauffer et je m'endormis...