A.R.M.Y ( Jimin BTS Fanfic )

Chapitre 2 : "Je tue, donc Je suis."

Chapitre 2 ( le titre et la photo me font marrer xD )

J'espère que vous allez bien mes amours et que vous tenez le coup au lycée/ travail/ maison x)

Dans tous les cas FIGHTING et sachez que mon incommensurable amour pour vous sera toujours là pour vous remonter le moral <3 <3 <3

Sinon, je me demandais si vous vouliez que je vous prévienne par message pour les nouveaux chapitres ? Faites-moi en part <3 j'ai pas vraiment envie de vous déranger T___T

Sinoon, qu'est-ce que vous écoutez dernièrement comme musique ? Je suis très underground rap moi ( Show me the money, Illionaire, Aomg San E, Jessi etc... ) <3

Trêve de bavardage xD

Bonne lecture <3 <3 <3

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A ce moment là, la porte s'ouvrit avec fracas et une douzaine de personnes, dont mes parents et quelques uns de mes amis proches, surgirent comme ces satanés cafards qui, après avoir fait la tournée des égouts, vous caressaient huileusement le visage de leurs antennes coquines pendant la nuit sans crier gare, avec de larges sourires aux lèvres.

« Surprise ! Cria ma mère en s'approchant de moi pour me prendre dans ses bras alors que j'étouffais des larmes de soulagement dans son étreinte chaleureuse.

- Vous m'avez bien eue ! Criai-je pendant que mon père filmait la scène avec sa vieille caméra aussi récente que l'âge de pierre, se prenant alors vulgairement pour un Andy Warhol des dimanches, en lançant un clin d'œil complice à Mr Kim.

Seul petit Hic dans l'histoire.

Mes parents n'étaient malheureusement plus de ce monde.

Et je n'avais jamais réellement eu le temps de me faire de vrais amis.

Seule explication possible :

J'étais dans les bras trompeurs de ce connard de Morphée.

C'était partiellement le cas, oui.

Plongée dans un sorte de rêvasserie onirique directement envoyée par mon inconscient dans le but de m'éviter de tomber dans la démence, je fus violemment projetée dans la réalité lorsque Kim NamJoon, alias psychopathe à plein temps, émit une demande que je trouvais, pour ma part, assez discourtoise, étant donné le peu de relation que nous avions en si peu de temps amoureusement partagé entre ses très touchantes déclarations de mort et les sanglots musicalement rythmés qui sortaient de ma gorge désabusée.

Nous aurions fait une très belle ballade à l'eau de rose, oui.

« Déshabillez-vous. »

A moins que sur mon front aie été marqué au fer rouge : « Free Sex : Ouverte 7 nuit sur 7 et payable en nature, merci. », s'il croyait vraiment que j'allais accepter de me dépraver juste parce qu'il était aussi bien foutu qu'un mannequin photoshopé de la YG Entertainment, il se trompait sur toute la ligne.

Je n'acceptais que les chèques, voyons...

Après m'avoir faite traverser un long couloir sombrement éclairé par des néons capricieux et dont les longs tuyaux et les quelques vapeurs qui s'en émanaient de temps à autres pour vicieusement brusquer la marche des passants qui se risquaient à se promener par là, je compris que nous étions dans un sous-sol qui témoignait fortement de la grandeur des lieux.

Nous empruntâmes plusieurs portes qui étaient toutes pratiquement équipées d'un système de reconnaissance faciale et rétinienne. Ce qui voulait dire qu'à moins d'avoir le courage de décapiter Nam Joon pour se servir ingénieusement de sa tête comme d'une clé de sortie, je ne voyais comment je pourrais bien m'échapper de cette prison dont m'apparaissaient pour l'instant que les barreaux menaçants.