Chapitre 6:

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(Desolé pour le retard mais voilà un long chapitre pour me faire pardonner . N'oubliez pas de voter et de commenter. Ça fais toujours plaisir. )

Il est presque minuit passé lorsqu'enfin les couloirs de la maisons se sont vidées et que toutes les lumières s'éteignirent. La neige ne s'était pas arrêté du coup je me suis retrouvé obligé à passer la nuit ici même au grand mécontentement de Georges mais aussi de Père qui n'aimait pas du tout la situation.

J'essaye de faire le moin de bruit possible en marchant sur le bout de mes orteils de crainte que je ne me fasse grillé. J'arrive enfin devant la porte de Sophie qui est entrouverte de sorte que je puisse rentrer sans la faire bouger . Je rentre alors dans la chambre illuminée rien qu'avec la lueur de la lune que l'on voit clairement à partir de la grande fenêtre de la chambre. Sophie est allongée sur son lit les yeux fermés . Elle est sûrement entrain de dormir vu l'heure et son souffle régulier qui fait bouger une mèche rebelle retombant sur son doux visage . Ses cheveux sont allongés tout au long de son oreiller et ses bras sont croisés sur sa poitrine tandis que ses jambes sont pliées sur son ventre . Cette fille est l'incarnation de la beauté dans son sommeil innocent et sa position foetale défensive. Seulement , pourquoi devrait -elle se défendre ou plutôt de quoi doit elle se défendre? L'idée que quelqu'un lui fasses où lui ait déjà fait du mal m'est insupportable mais il y a quelque chose qui m'intrigue la dedans et je veux à tout prix savoir pourquoi dors -telle ainsi? Est -ce pour se réchauffer? Je ne vois pas pourquoi , la chambre est assez chaude et elle est couverte de ses draps. Enfin pas entièrement puisqu'ils ne couvrent pas tout son corps . Je m'approche un peu plus pour remonter ses draps à ses épaules et ne pus m'empêcher de lui caresser la joue. Cette joue de porcelaine qui pris un peu de couleur . Sûrement à cause de mon toucher si innatendu. J'entendis des pas provenir de l'extérieur et je decidais à contre coeur de m'en aller avant que quelqun'un ne me voie. Au moment où j'allais franchir le seuil de la porte j'entendis un son qui me figea sur place .

"Ne part pas , s'il te plaît , ne me laisse pas seule , ne me laisse pas seule , pas seule ..." Répètait-elle sans cesse telle une prière. Et alors j'ignorais le risque que je prenais et aussi la néssecité de quitter la chambre avant que quelqu'un ne vienne . Elle m'a demandé de rester alors je le ferai . Il n'y a pas d'autre choix. Si elle a besoin de moi je serai là pour elle peu importe les conséquences .

Je m'approchais d'elle me mettant à genoux devant elle . Oui elle . Une Sophie si faible parlant dans son someil , une Sophie fermant les yeux et s'accrochant à la main que je lui tendait comme un naufragé s'accroche à une bouée. Et peu être que c'est vraiment le cas , peut être que je suis sa bouée de sauvetage peut être que je réussirait à l'aider à sortir de ces lieux à mettre la main sur la raison de sa dépression mais aussi la raison de ses cauchmards. Et il est fort probable qu'il y ait une relation entre les deux . Je veux vraiment l'aider et jamais de ma vie je n'ai eus envie d'accomplir quelque chose de ce genre ça ne me ressemble juste pas et c'est ça le problème. Je ne sais pas aider . Mais pourrais- je apprendre ? Pour elle ? Pour moi? Ne disait-on pas que si l'on veut on peux ? Moi je veux seulement ...je ne pense pas pouvoir . C'est au dessus de mes forces, au dessus de mes capacités et de toute autre chose de bien que je n'aie pu faire dans ma vie . Mais une seule chose est sûre. Pour elle j'essayerai . J'essayerai d'accomplir l'impossible de franchir l'infranchissable et de casser toute frontière incassable . Seulement d'où aurais je la force? Sa main s'accrocha encore plus à la mienne l'aggrippant plus fermement et c'est à ce moment que je sus d'où viendrait ma force . D'ELLE . Je ferai tout pour elle et elle serait toujours là pour me donner plus de force et cela me semble la meilleure des choses . Je l'aiderai à mieu se porter et moi je me porterai mieu du moment que je suis en sa campagnie . La voir heureuse me rendrais à moi aussi heureux.

Un psychologue psychopathe.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant