AVADA KEDAVRA

Chapitre Troisième : Pandora.

" Que me vaut le plaisir de ta visite Potter ? "

Sans me répondre, il s'installa à mes cotés. Admirant lui aussi, le magnifique ciel étoilé. Un léger souffle faisait volait mes cheveux, et la sensation de l'herbe fraiche sous mes doigts contrastait avec la chaleur ambiante.

" Je voulais m'excuser. M'excuser d'avoir tué ton père. Je ne te dirais pas que je regrette, ce n'est pas le cas. Mais, je t'ai enlevé la seule famille qui te rester. Je suis moi même orphelin, et je sais que c'est trés dur. Alors, voilà, je suis désolé. "

Je n'aurai pas pu dire si ses paroles m'avaient touchées, ou si elles m'énervaient. Il ne m'avait pas regardé, ses mains étaient crispées sur ses genoux.

" Ecoute Potter, ça sert à rien de t'excuser. Ce qui est fait, est fait. Tu ne peux pas revenir en arrière, alors remballe."

Il partit sans dire un mot, rentrant dans le sombtueux château qu'était nôtre école. Et je ne pus m'empécher de murmurer tout bas ce que je pensais au fond : Merci de l'avoir arrété. Je n'aurais jamais pu le faire moi. Je l'aimais trop pour lui faire du mal.

Arrivée dans ma chambre, je plongeai dans mes draps frais, fermant les yeux. J'aimais imaginer ma vie. Une vie complétement différente de la mienne. Une vie pleine de joie, de bonheur et d'amour. Avec un père gentil, une mère et des amis. Mais, mon existence n'était que noirceur et tristesse.

Un bruit à la fenêtre me fit sursauter. C'était Pandora, ma chouette. Elle tenait une enveloppe noire dans son bec. Aprés lui avoir donné un gallion, je parti m'asseoir à mon bureau.

" Chère Eli,

Je sais bien que tu ne voulais aucun contact pendant ton année scolaire. Seulement, le testament de ton père est arrivé. Ton héritage est là. Il faut que tu en prenne connaissance.

Fais bien attention à toi, beaucoup de personne veulent te voir malheureuse. Des personne qui ne te connaissent pas. Tu es, au détriment de ton défunt père, quelqu'un de bien, de bon et de généreux.entoure toi des bonnes personnes et lutte contre le mal. Contre la noirceur qui se cache.

Bien à toi, Tante Bella."