Ma tête me fait mal.
J'ai froid.
J'ouvre les yeux difficilement. Je vois flou. Je ne sais pas où je suis.
Je sens quelque chose de lourd sur mes poignet. J'essaye de distinguer ce que c'est mais je n'y arrive pas.
Mes pieds aussi on cette sensation de poids. Je suis allonger sur le sol. Je ne sais pas depuis combien de temps je suis la.
La vue me reviens, je suis dans une petite pièce sombre avec une petite fenêtre en haut avec des bureaux. La porte est en bois foncé, les murs sont gris.
Il fait froid.
Je suis encore dans mon pyjama hello kitty. Il n'arrive pas à me réchauffer.
Il est à manche longue avec des paillettes, le pantalon et rose flash qui fait ressortir le haut blanc.
Pourquoi moi? Pourquoi m'ont t'ils kidnappé ? Vont t'il me faire du mal ?
Des questions tournent en rond dans ma tête. Je ne suis plus maître de mes pensées. Je commence à mal respirer, mon cœur bas fort dans ma poitrine.
Le sol est froids, mes mains et mes pieds sont liées par des chaine accroché dans le murs , mon ventre grogne, personne ne se préoccupe de ma disparition je vais sûrement mourir sans que personne le sache. Cette situation me terrifie.
Je vais mourir.
Je vais mourir.
Je vais mourir dans ce trous perdue.
Je n'arrive pas à contrôler mes pensées, mes doigts se plantent dans ma chaire pour essayer de ma calmer puis je me mord mais je n'arrive pas a calmer ma crise de panique. C'est impossible. Je vais mourir ici. Seule.
***
La porte s'ouvre. Je découvre un homme au yeux noir et chauve. Il a des rides sur le front, un double menton. Il doit avoir dans la cinquantaine d'années sur son pantalon je distingue un pistolet et un couteau.
Il me dévisage pendant plusieurs minutes, je l'observe. J'ai peur.
-Ma petite Dalhia, sais tu pourquoi est tu ici ?
je secoue le tête, je suis incapable de parler. Ma gorge est sèche. Ma bouche incapable de prononcer un seule mot. Ma réponse n'a pas l'aire de le convaincre.
-Parle sale gamine ! Son ton est énervé. Je suis encore moins capable de parler. J'ai envie de pleurer.
- N...No..Non. Ma voix est faible, je retiens mes larmes.
- Menteuse ! Je suis sûr que tu mens ! Tes parents ne t'ont donc pas prévenue ? C'est ce que tu essaye de dire petite salope ! Il se rapproche de moi, une larmes coule sur mon visages. Il sort son couteau.
Il se baisse vers moi, son arme blanche effleure mon coup jusqu' à mon ventre puis il s'arrête vers ma jambes. Un crie de douleur s' échappe de ma bouche. Il a enfoncer sa lame dans ma cuisse quand il l'enlève de mon corp je grogne de douleur.
Il pars pendant que mon sang s'étend sur le sol en formant une flaque. Il a laisser la porte ouverte mais je suis attacher. Ma jambe souffre, je tremble de tout mes membres.
***
J'aperçois une femme arrivée dans ma cellule, elle a un teint pale, des yeux bleu et des cheveux coloré en vert dans sa main elle tient un petite trousse rouge. Elle se met au niveau de ma blessure. Elle n'est pas très belle mais de sa trousse elle sort un bandage est du désinfectant.
Je suis contente qu'on me soigne, mais je n'apprécie qu'on ai besoin de le faire. Ces manipulations sur mon corp me font mal. Je fronce les sourcils sous cette horrible sensation. Elle ne dit rien pendant qu'elle effectue son travaille sur moi.
Elle ne m'a pas dit un mot, même quand elle est partie de la salle. Elle a refermer la porte derrière elle. On ne m'a toujours pas donné a manger ni a boire depuis mon arrivé ce qui m'affaiblie.
Je ne sais pas sur quelle affaire je suis concerné mais cela n'a pas l'air de tous repos. Je ne sais pas pourquoi cette homme a mentionné mes parents mais ils doivent avoir un lien avec eux. Je m'en fiche de mourir mais je veux que mes géniteurs soit au courant de ce qu'il mes arrivée. J'aimerais qu'ils regrettent ce qu'ils m'ont fait subir durant mon enfance.
***
- Papa... Maman... s'il vous plaît laisser mon venir avec vous...
Ils vont encore partir durant plusieurs jours , je vais rester sans manger mais je commence a avoir l'habitude et puis de personnes vivent dans de pire conditions que les miennes.
Mon père me gifle une fois..
Puis deux..
Trois, quatre ... fois .
Ma joue me fait mal, quand il me frappe il y met toutes sa force et ma mère le regarde faire, elle approuve ce qu'il m'inflige comme si mes émotions n'avais aucune importance à leurs yeux . J'aimerais qu'ils m'aiment, me respect... comme les autres parents.
Mon papa attrape mes poignet si fort que je crie de douleur mais ils s'en fiche ce qui les intéressent c'est de partir en vacance m'abandonnant encore un fois de plus. Il me tire vers ma chambre malgré que je me débatte. Il me pousse dedans comme si j'étais un vulgaire déchet. La porte se ferme et j'entend la clé tourné dans la serrure de celle-ci.
Je me met a pleurer de toutes mes force en espérant qu'ils décident de revenir mais ils ne le ferons jamais. Ils me laisse encore un fois seule. Seule alors que j'ai huit ans. Seule alors que j'aimerais qu'on me comprenne.
***
Je me suis endormie pendant plusieurs temps, il n'y a pas de lumière qui passe par la fenêtre. La pièce est plongé dans le noir complet. Je n'arrive pas a distinguer la porte. Mon cauchemar ma réveillée.
Les souvenir de mon enfance son douloureux comme le fait que mes parents ne me porte pas d'affection a mon égard j'aurais aimé avoir une famille pauvre et aimante que celle que j'ai. Je suis née, mes géniteurs avait seulement 16 ans. Je suis une erreur qu'il ont gardé car mes grand-parents étaient contre l'avortement, des larmes chaude coulent encore sur ma joue. Elle ont un goût salé elle me rappelle l'eau des océan que je ne reverrais peut-être jamais.
L'homme qui a meurtris ma cuisse a parlé de mes parents. Il voulait savoir si ils m'avaient mis au courants. Mais de quoi? ils ont toujours été vague sur leur métier. Je sais juste qu'il doivent toujours voyager à l'autre bout du monde.
Je dois découvrir la raison de mon enlèvement. Seule.
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Dahlia , jusqu'à la mort...
Romantikk"Jusqu'à la mort..." Dahlia avait seulement quatre ans quand la vie la détruite. Il avait seulement cinque ans, quand il a été obligé de suivre les traces de son père. Amour et Joie sont des mots inconnus pour ces deux être vivants. Mais le desti...
