CHAPITRE I

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Elle seule me comprend.
Pourtant elle n'est pas vivante. Elle permet à l'espèce humaine de vivre.

La pluie tombe sur mon visage, je suis trempé et j'ai froid. Je m'en fiche. Je n'arrive pas à bouger.
Le pluie est forte aujourd'hui, les habitants sont chez eux pour se protéger.

Et moi je suis là. Couchée dans de la terre mouiller avec ma jolie robe verte.
Je suis incapable de bouges.

Mon mentale s'apaise au contact des goûtes d'eau qui s'écrase sur ma pauvre corp fragile.

Personne ne m'a jamais compris. J'étais l'enfant sans amis qui se cachait dans la cour de l'école.

J'étais l'enfant seul quand il fallait former des groupes en classe.

J'étais l'enfant qui attendait que ces parents s'occupent d'elle.

J'ai toujours été seul. On se moquait de moi car J'étais "trop" maigre et car j'avais des cheveux foncés frisé.

Mes parents ne se sont jamais occupés de moi. Ils me nourrissent et me loge. Nous n'avons pas de relation fusionnelle.

J'étais une erreur. Je le sais. Maman me l'a déjà dit et je sais que c'est pour ça que papa ne m'aime pas.

J'aimerais être aimé par quelqu'un. J'aimerais être importante aux yeux de quelqu'un.

***
La pluie c'est arrêter depuis plusieurs minutes. Le soleil est revenu.
Les fleurs humide brille au soleil. Et ll y a la fleur qui porte mon nom. Elle a une teinte rose. Ces pétales volumineux se superpose et forme une magnifique sphère.
Dans le jardin il y en qu'une. Elle attire toute l'attention face au pissenlit.

Je me lève, je ne me sens plus à ma place dans un monde si beau et doux mais un jour j'aimerai en connaître le goût.

***

Ma chambre est plongée dans un silence effrayant. Les volets ne sont pas totalement fermés, ça qui laisse passer quelques rayons de soleil.

Mes parents ne sont pas là se soir, je n'ai rien à manger. Ils partent tous les mois en voyages.
Et ils me laissent seul, parfois il reste quelques restes des autres repas, mais pas assez pour tenir trois jours.

Nous sommes les "riches" de cette ville assez pauvre. Nous avons un grand jardin donnant sur les champs des paysans. Nous sommes assez éloignés du centre, même isoler de la ville. Nous avons un manoir assez grand pour accueillir 8 personnes.

Les terrains ici ne sont pas très cher. La plupart de la population habite en ville dans de minuscule appartements délabré et sale.

C'est une des raisons pour laquelle j'étais seul et détester de mon école car j'avais apparemment la belle vie.

Ils devaient s'imaginer que mon déjeuner était servi par des homme de maison, ou bien que mes parents m'achetaient tous ce que je voulais alors que en réalité, ils me laissent seul sans presque rien à manger, ou m'enfermaient dans ma chambre durant plusieurs jours, sans me nourrir, pour ne pas les déranger.

C'est la preuve que les stéréotypes peuvent avoir des conséquences. A l'école on nous apprend à ne pas juger sans connaître la personne, ou bien même de ne pas écouter les rumeurs qui courent sur nous.

Malheureusement, les élèves n'écoutent pas, déchirer par leur jalousie qui est compressible mais de là à détruire le mental de la personne sans un moindre regret, mais malheureusement c'est la nature humaine et c'est la pire chose qui arriverait à mettre fin à l'humanité car nous sommes capables de détruire nôtre propres espèces. Ça s'appelle " l'autodestruction. " 

Dahlia , jusqu'à la mort...Where stories live. Discover now