CHAPITRE II

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J'entends des bruits.
Ils proviennent du rez-de-chaussée, on est au milieu de la nuit. Mes parents sont partis il y a 4 jours donc ils ne sont pas rentrés.

Les bruits se rapproche de ma chambre. Il y a des voix, masculine.
Ils doivent penser qu'ils sont seule car Je ne sort pas souvent de chez moi sauf quand il pleut.

On c'est introduit dans le manoir. J'ai la chère de poule. Je commence à tremblé. Mes pensées ce mélange.
Je regarde mon armoire et pars me cacher dedans. J'espère avoir été discrète.

La porte de ma chambre s'ouvre, Leur voix sont graves. Je remarque assez vite qu'il ne cherche pas à nous voler. Ils cherchent autre-chose.

Je sens de la sueur coulé sur mon front et dans ma nuque. J'essaye de me concentrer sur ma respiration qui commence à s'accélérer. Ce n'est pas le moments de ce laisser emporter par la panique.

Ils restent dix mininutes. Avant qu'il partent un des hommes dis " elle n'est pas la "

Je ne comprend pas, ils n'ont même pas pris la peine de regarder dans l'armoire. C'est peut-être à cause de la nuit.

Ces mots tournent dans ma tête "elle n'est pas la " qui cherchaient t'ils? Mon père? ma mère ? Moi ?

Ils ont descendus les escaliers il y a quelques mininutes, mais j'entends toujours leurs voix rauque.

Ils faut qu'il parte vite. Mon cœur bas fort dans ma poitrine. Ma respiration est devenue dure à contrôler et je transpire beaucoup.

J'ai perdu le fil du temps. Je ne sais pas combien de temps je me suis endormis. En bas je n'entend plus de voix. Je crois qu'ils sont partis.

Je préfère rester là j'auqu'au matin afin d'être sur que personne n'est encore chez moi.

***

Je sors de mon armoire, le soleil c'est levé. Je regarde l'horloge qui est accroché sur mon mur. Il est plus de midi. Il n'y a plus de bruits depuis un moment. Je décide de descendre doucement pour allez vérifier mes hypothèses.

J'avais raison, il n'y a personne, le salon est vide. Les volet sont ouvert ce qui illumine le salon et le carrelage en marbre blanc.

La porte est entrouverte , je m'approcher ce celle-ci. L'air doux passe entre la finne ouverture qui me laisse apercevoir les champs et les fleur.

Nous sommes au printemps, petite j'aimais cette saison mais au fil du temps je l'ai moin apprécié.

J'inspecte le reste de la maison, arrivé dans la dernière chambre , je remarque un petit objet noir sur la table de chevet.
Je m'approche pour voir ce que c'est, très vite je comprend que c'est une caméra.

Il doit en avoir d'autre dans la maison que je n'ai pas remarquer.
Je cours en direction de la porte d'entrée pour essayer d'expliquer la situation à un habitant.

D'habitude je suis quelqu'un qui ne panique pas pour rien, je suis le genre de personne qui garde son calme mais actuellement je me sens en dangers.

Je travers les champs à pieds nue, je sens l'herbe fraîche s'écraser sous mes pieds.

Je ne pensais pas qu'on habitait aussi loin de la ville. J'emprunte un vieux chemin que Je prenais pour aller à l'école mais très vite je dois marcher le long d'une route ce qui n'est pas agréable pour mes pieds pourtant je ne me suis pas arrêter de courir.

Je commence à apercevoir des petites maison coloré, en Italie les bâtiments ont souvent des couleur pastel.

Je ne sais plus où je suis. J'arrive dans un rue remplie de magasin fermer, nous sommes dimanche c'est le jour de repos.

Je continue mon chemin. J' ai un mauvais présentiment comme si un danger approchait doucement vers moi.

J'arrive sur la place principale, il y a des stands de nourriture, plantes... mais il y a aussi beaucoup de personnes, je n'ai jamais été habitué à la vie en commune même quand il s'agissait d'aller acheter du pain.

Personnes ne fait attention à moi. Je ne sais pas à qui faire confiance, mes parents ne sont pas trop aimé ici mais je pense que quelqu'un refuserais d'aider un fille de 20 ans.

Je n'avait pas penser à la police qui n'est pas très loin alors je marche et j'ai mal au pieds. Je suis les panneau pour me diriger vers ma destination.

Je m'enfonce dans une petite rue assez sombre elle est calme. Les bâtiments sont sales, les poubelles renverser, il y a une mauvaise odeur.

L'endroit ne m'inspire pas confiance, j'ai l'impression d'être compresser. Soudain j'entends des pas derrière moi.

Mon rythme cardiaque s'accélére, de la sueur coule le long de mon épiderme. Mes pensées sont toutes contradictoire "ne cours pas " "Dépêche toi tu es en danger" ...

Je ne regarde pas derrière moi, je marche normalement comme si je n'avais pas un nœud sans le ventre, les pieds en feu et une respiration saccadé qui pourrait laissé transparaître une fatigue physique.

J'entends les pas accélérer alors je fais de même. Mon instinct me dit que ces personnes ne sont pas là pour m'aider, bien au contraire.

Je me dirige vers la fin de la ruelle mais d'un seul coup quelqu'un m'atrape un bras puis le second.

Je crie de toutes mes force, mais je ne pense pas que quelqu'un m'entende.
Je bouge dans tous les sens pour essayer de me libérer.

On me plaque un tissue sur nez et la bouche, il a une odeur étrange que je n'ai jamais connue auparavant.

Je me suis fait piéger, j'aurais due rester dans mon armoire sans jamais en ressortir. J'ai peur de ce qui m'attend. Je ne veux pas mourir de cette manière mais je sais aussi que je ne combattrais pas pour rester en vie.

Je commence à m'endormir, j'essaye de resiter. Le vent souffle sur mon visages, je verse quelques larmes.

Mes yeux se ferme, je ne sens plus mon corps, je ne sais plus si je résiste contre mes kidnappeurs.
Le monde devient floue autour de moi et je me laisse emporter dans le monde des rêve....


Dahlia , jusqu'à la mort...Where stories live. Discover now