14. Good Girl

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𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 14

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𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 14

ᴄᴀʀᴍᴇɴ.

— Ça décolle dans dix minutes. Nous prévient Olivia en venant de mettre près de moi sur le banc. Ah, je suis trop surexcité !

Je souris, partageant son sentiment alors que mes mains se serraient et desserraient sur ma jupe plissée bleue que j'avais matcher avec un joli chemisier à fleur blanc. Mes cheveux étaient remontés en une queue de cheval. Catherine était parti parler des formalités avec une des secrétaire posté dans son cabinet.

Lâchant un petit soupir, mon regard se dirigea vers la grande porte automatique d'où émergeaient les nouveaux arrivants, faisant attention à quiconque entrait.

Et plus les minutes passèrent, plus l'idée qu'il puisse venir me semble absurde alors que j'entendais mon manager souffler à Catherine qu'il restait cinq minutes.

Je me levai sous la demande d'Olivia, empoignant ma valise, prête à le suivre. Mais juste avant de faire un simple pas, mes iris émeraude se posèrent sur une silhouette athlétique que je reconnu aussitôt. Il était là.

Du haut de son mètre 90, il se faufilait silencieusement entre la foule de gens dans l'aéroport, tel un fantôme. Mais cela ne suffisait pas pour effacer sa présence car nombre de regards se posaient sur lui. En particulier celui de la gente féminine.

Je trouvais ça normale, Raphaël était d'une de ses rares beauté que l'on ne croisait qu'une seule fois dans une vie. Ses traits étaient durs et captivants en même temps. Et ses iris, qui semblaient en avoir vu plus qu'ils ne devraient, nous plongeaient dans les méandres du désir.

Ce désir brûlant qu'il me faisait ressentir.

Mon cœur s'était mis à cogner contre ma poitrine, dangereusement. Et j'eus un instant peur de la signification de cette alerte.

Il ne portait pas un de ses costumes habituels mais juste un jogging et un sweat-shirt noir qui mettait en valeur sa peau claire. Son visage était toujours aussi fermé, ne laissant présenter le moindre faille.

Il était venu.

— Enfin, je me demandais quand est-ce que tu comptais arrivé ! S'exclama Catherine lorsque ce dernier arriva à notre niveau.

Elle avait insister pour venir, au moins qu'on se dise au revoir une nouvelle fois juste avant le départ.

— Il y avait les trafics, ça m'a bloqué pendant un moment.

Le regard de Raphaël se posa sur moi et sans savoir pourquoi, je détournai vite le mien en sentant une bouffée de chaleur au niveau de ses pommettes. Il entrouvrit ses lèvres, prêt à dire quelque chose mais le haut parleur décida de s'interposer au même moment, amenant le silence dans la salle.

SO BAD | T.1 Where stories live. Discover now