Loves me as I hate you : tome 2

Chapitre 5 - Danaé

Ok, là ça ca pas le faire. Si la soirée commence comme cela, ça va mal se terminer. Il est jaloux, d'accord. Il ne veux plus parler à Lucas d'accord. Ne pas parler à Lucas et être jaloux alors que nous sommes tout les trois dans la même pièce, c'est non.

Je ris pour détendre l'atmosphère.
- Je ne sais pas ce qu'il se passe entre vous deux, mais vous reglerez ça un autre jour, fais je en simulant un semblant de méconnaissance. Ne ruinez pas l'ambiance de cette soirée qui viens tout juste de débuter. Merci.

Après mon petit spitch, Boby se détend un peu et fait de son mieux pour sois eviter de parler à Lucas ou éviter de lui envoyer des piques.

Après être descendu manger, nous remontons dans ma chambre et nous mettons d'accord à l'unisson pour regarder unn film. Le truc, cnest que quand nous sommes nombreux même si nous nous mettons sur quelque chose, il y aura toujours un désaccord.
William propose tout de même un long métrage sur lequel nous tombons tous d'accord : Fast and Furious.

Will est assit sur ma moquette, Josh et Sandre sont sur mon lit, Lucas est sur la chaise de mon bureau et Boby et moi sommes assit sur ma moquette au pied de mon lit.
Lui et moi n'echangeons aucun regard, ni une seul paroles. Lorsque le film est déjà bien entamé, je me lève afin de rejoindre le couloir en espérant qu'il comprennent et qu'il me suive.
- Je vais faire un tour en bas, j'entend Boby dire alors que je l'attend derrière la porte. Lorssue celle ci s'ouvre je me cache sur le côté pour n'être vu sue de lui et non ceux à l'intérieur.  A peine la porte refermer il me plaque contre le mur et fourre sa langue dans ma bouche en me mordillant la lèvre inférieure au passage.
- Pas ici, fais je en l'entrainant dans la salle de bain de la chambre d'ami. Une fois à l'intérieur, je ferme la porte a clé et il me caresse le mentob lorsque nos visage se font face.
- Enfin. Jnattend ce moment depuis que l'on s'est vu ce matin au magasin de sport.
- Tu es autant addicte que ça de mon corp ?
- Le mot addict est trop faible.
Il glisse sa main le long de mon bras et il guide ma main pour la déposer sur l'arc de son pantalon qui commence à durcir sous le tissus.

Je sourit tant son désir d'être entre mes mains à l'air de le hantée. Je joue avec la boucle de sa ceinture et il me glosse dans l'oreil.
-.Nous avins peu de temps à nous consacrer, mon coeur.
Le mot mon coeur raisonne dans ma tête telle et agit telle une drogue dans mon organisme. Sans plus tarder je
M'immisce au fond de son caleçon et branle ce qui ne cesse de durcir entre ma main. Ses gémissements m'encourage à aller plus vite et à
appuyer plus fort.

J'abaisse son pantalon jusqu'à ses chevilles pour pouvoir liberer son engin qui se dresse de de tout son long. Il m'attrape la main et me place devant le miroire de la salle de bain.
- Retourne toi.
- Quoi ?
- Fait moi confiance, me sursure t-il à l'oreille sur un ton rassurant.
Je fais ce qu'il m'ordonne. Il enlève mon t-shirt, tanfis que je ne cesse de nous regarder dans le miroire. Il degrafe mon soutient-gorge et il place mes mains sur le meuble dans lequel est encastrer le lavabo entre mes mains.

Ses doigts ne peuvent s'empêcher de titiller mes tétons et de joue avec mes seins. Il soulève la jupe cuivrer que je porte et abaisse ma culotte qu'il fait glisser le long de mes longues jambes.
Il pose une main dans le bas de mon dos et une autre en haut et m'oblige à m'incliner.
- Fais moi voir ce qu'il y a entre tes jambes vu de derrière, dit il obnubiler par la vue de mon corp.
- Je ne suis pas une adapte de la sodomie Boby...
- Je n'ai pas l'intention de te prendre à cette endroit là dit il en plantant ses yeux dans les miens.
Maintenant que je suis un peu plus rassuré, je fais ce qu'il me dit et ecarte les jambes. Je le vois dans le miroir se mordre les lèvres et prendre son engin dans sa main. Avec l'autre il passe un de ses doigts sur mon clitoris et il forme des ronds en appuyant dessus légèrement. Une boule de chaleur se forme à la naissance de ma colonne vertébrale.

Un autres de ses doigts s'enfonce profondément, je lache alors gémissements ettoufé. Plus je le regarde plein de plaisir dans le miroir, plus j'ai envie qu'il s'enfonce en moi. Mes tétons frôlent le verres glacé du comptoir, ce qui maintiens leurs dureté et qui me procure frisson me parcours le ventre.  Il s'avance vers moi et ne joue pas plus longtemps. Il s'enfonce profondément en moi.

Des gémissements bruyant s'échappe un court instant de nos bouches. Nous nous fixons instant, aucun bruit ne semble venir du monde extérieur, apart les adultes qui s'esclaffe en bas. Son regard qui s'etait remplie d'un eclair d'angoise un brief instant reprend alors cette couleur sombre de désir. Ses hanches viennent claquer sontre mes fesses, il va plus profondément dans mon vagin. Ses mouvement sont rapide et long. Il vient se positionner au dessus de moi, posant ses mains au côté des miennes. Sa bouche baise le creux de mon cou, ainsi que ma nuque pour ettoufer au maximum ses long bruit exprimmer son plaisir qui ne cesse d'emmaner de sa bouche. Je me mord les lèvres pour faire de même. C'est tellement bon. Ma peau est brûlante et je sens que je ne vais pas pouvoir me contenir plus longtemps.

Sa main gauche viens agiter mon clitoris. Je redresse la tête, morte de plaisir. Je n'en peux plus. Je laisse ma tête tolber en arrière et prendre appuie sur l'épaule de Boby. Ses main se fait aussi rapide que ces mouvements et lorssue j'explose, il pose ses deux mains sur mes seins et ebtre l'index et le pouce pince mes tétons. La douleur est delicieuse. Après quelques autres va et vien, il gémit longuement dans mon cou, le bassin tremblant. Nos respiration sont rapide et l'air de la salle de bain se fait lourd.
- Je t'aime Dana.
Je me retourne de façon à ce que je puisse le regarder dans les yeux.
- Je t'aime aussi, dis déposant mes levres si doucement sur sa bouche que j'ai vraiment l'impression que nos bouche ne font qu'un. J'ai l'impression de vraiment lui appartenir maintenant.Il m'a dans ses filets. Et même si je voudrais faire marche arrière et lettre fin à notre relation, il est trop tard maintenant. Je suis sous son emprise et je ne suis pas assez forte pour m'en défaire. Je ne veux pad m'en défaire.

Nos corps nu sont collés l'un contre l'autres, tout comme nos bouches. Ses mains placer dans le bas de mon dos me collent à lui, comme si il avait peur que je m'échappe. Il fallut sue quelqu'un fraope à la porte pour que ce fantasme éveillé se transforme en cauchemar.