Chapitre 13

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Précédemment :

Moi : c'est pas une femme c'est une pute ! commence pas à me chauffer déjà que j'le suis assez.

Imad : mais t'a pas vu que cette meuf elle a l'air grave hnina, elle ressemble grave pas à une pute chepa tu jactes quoi.

Vu son apparence elle en a l'air, et depuis que je vois qu'elle traîne que avec des gars, je le pense c'est tout. Après peut être que j'ai tort mais m'en fou, cette fille compte pas pour moi.

[...]

Dans la peau d'Ayline :

On est allée au centre commercial avec Dilara, Asma et Salmaa. Isleme était choqué que je les connaissais déjà mdrr elle a dit qu'elle pensais pas que j'étais si sociable que ça.

On est allée dans pleins de magasins comme Zara, Jennyfer, etc... On s'est aussi achetée un peu de maquillage, on est allée à Sephora, Nocibé, Dior... cette journée était incroyable !!

On est rentrée vers 18h, entre temps mon père m'a appelée pour savoir où j'étais, je leur ai dit que j'étais allée au magasin avec les filles et que j'étais sur la route.

Je suis rentrée chez moi, j'ai fait la bise à mon père.

Moi : baba il est où Amed ?

Baba : j'sais pas, il m'a dit qu'il allait revenir dans quelques minutes alors qu'on venait de rentrer.

Moi : bizarre.. mais d'accord.

Je vais dans ma chambre pour essayer mes tenues.

Pour la première tenue, j'ai pris un haut gris long, dénudé au niveau des épaules, avec manches longues et en dessous un pantalon à tailleur blanc.

La seconde tenue est une chemise bleu simple, mise en dessous du pantalon de costume drapé à poches en biais noir.

Et la dernière tenue est tout simplement une robe longue en satin de couleur rose pastel.

J'ai trop aimé, je range tout dans l'armoire de ma chambre, puis j'entends mon père m'appeler, donc je vais le voir.

Baba : hazırsın ? (t'es prête ?)

Moi : oui.

Baba : tu peux descendre y'a ton frère qui t'attend.

Moi : d'accord baba, bonne soirée.

Je vais lui faire un câlin et un bisou sur la joue, puis je prend ma valise et j'y vais.

Je descend et je vois Amed.

Amed : t'en a mis du temps wsh !

Moi : ça doit être ça ouais.

Amed : aller viens je te ramène à la maison.

On va vers sa voiture, il prend ma valise et le met dans le coffre. Il va côté conducteur et on prend la route pour rentrer chez moi. Amed me parlait mais j'écoutais pas, j'étais dans mes pensées.

Je repense à ce que j'ai vécu ici ce week-end, mine de rien il y a eu beaucoup de trucs, je me demande comment Isleme fait pour vivre encore là bas.

Chronique d'Ayline : « Mieux vaut oublier »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant