Chapitre 3

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- Comment ça Véroniqua ? Michael braquer une banque c'est impossible.

- Je suis du même avis que toi mais je ne peux plus rien faire. Le jugement à déjà été prononcé.

- Il est incarcéré où ?

- À Fox River. Je ne peux rien te dire de plus, c'est à lui de le faire.

- Merci.

- De rien prend soin de toi Olivia.

Elle raccroche.

Hier soir, apprendre que Michael était en prison m'avait chamboulé. Ça ne lui ressemblait pas. Je ne savais même pas que son frère était un criminel. Cette famille était un tel mystère mais ils étaient gentil et incapable de faire du mal à quelqu'un volontairement. Sauf pour survivre.

Et quand je pensais qu'elle m'avait tout dit. Véroniqua m'envoya un dernier message.

"J'avais oublié, Michael m'a demandé de te dire qu'il n'y avait pas de frontières entre l'amour. Et qu'il t'aimait."

"Merci Véroniqua."

Je pose mon téléphone, écran face à la table. Je cherche toutes les informations possibles sur mon ordinateur. Je ne suis malheureusement pas faite pour être enquêtrice. J'ai prévenu Anita de mon absence aujourd'hui donc je suis surprises de voir un mail sur mon téléphone concernant le travail. Je me vois obligé de l'ouvrir.

" Tu devais t'attendre à ce que je ne te laisse jamais tranquille après ce que je t'ai fait. Je suis désolée vraiment, pardonne moi.
La Vérité est le sOleil des intelLigencEs.
- Kiss Michael
9:01 pm"

L'heure indiquée par le message n'était pas celle qu'indiquait ma montre. Bizarre. POUF. C'est à ce moment que je compris, les lettres laisser en gras dans ses papiers qui m'était destinés. Il voulait me faire passer des messages. J'aurais dû m'en rendre compte.

J'attrape l'un des crayon traînant sur ma table et improvise un chignon avec. Je pars chercher toutes les lettres qu'il m'avait laissé. Je déchiffra ces messages les un après les autres.

Le premier était le Panama. Le pays que Michael rêvait de visiter. Le bouquet de fleurs qui m'avait été offert était aussi un message pour le Panama.

La deuxième lettre qui souvent m'avait paru incohérente cacher en réalité l'inscription "I Love You"

La troisième me disait Nika.

Son mail ; Volek.

Et si Nika Volek était la personne qu'il voulait que je vois. Cela expliquerait pourquoi dans l'ancienne lettre il n'y avait aucun nom.

Des heures après, la fatigue marquée sous mes yeux. J'avais enfin trouvé des informations. Il fallait dire que le commercial faisait des contacts. Et parmi eux, ce nom disait quelque chose.

Il était 23h et j'étais dans un bar de strip-teas. Chose que je croyais impossible, il y a encore 2 heures. Je m'approcha du bar où un jeune homme travaillait.

- Excusez-moi ?

- Oui mademoiselle ?

- Vous connaissez une certaine Nika Volek ?

- Bien sûr, s'est l'une de nos strip-teaseuse phare.

- Vous pouvez m'indiquer qui est cette jeune femme ?

- Celle qui danse sur la barre.

Je lui lance un signe de tête reconnaissant avant de partir vers la jeune femme.

- Excusez moi ?

- Je travail. Elle me répond avec un accent.

- Je comprends mais il faut que je vous parle. C'est important mademoiselle Volek.

- Vas y Nika. Je prends la relève en attendant. Lui dit une de ses collègues en arrivant.

La femme que j'étais venu voir m'attrape par le bras et me tire à l'écart.

- Que me voulez-vous ? Elle demande sur ses gardes.

- Vous êtes bien Nika Volek ?

- Oui.

- Vous connaissez Michael Scofield ?

- Évidemment, c'est mon mari. Mais vous vous êtes qui ?

Sa première phrase me passe en travers la gorge. Michael menait une double vie ?

- Votre nom ?

- Pardonnez moi. Olivia Scott.

- La Olivia de Michael ?

J'ai des doutes sur le fait qu'il menait une double vie. Qu'elle genre de femme est prête à accepter ça ? En sachant que Michael passait sa plus part du temps en ma compagnie.

- Sa "copine" en effet. Il m'a indiqué que vous aviez quelques choses pour moi. Que vous m'expliqueriez la vérité.

- Je le sais. Vous allez tous savoir. Mais je dois d'abord finir mon travail.

- Je vais attendre.

- Merci. On ira chez moi après.

J'acquiesce et tandis qu'elle repart mon téléphone vibre. Deux nouveaux messages, tous deux inconnus.

" Dès l'instant que je t'ai vu, un sentiment impérieux s'est emparé de moi : Ton visage ton esprit, ton caractère, ton âme, tout m'a entraîner vers toi.
Benjamin constant lettre à Anna Lindsay. Le 20/5/1801
Dommage que ce n'est pas été le 21 et non le 20.
- Michael"

Je ne peux m'empêcher de sourire face à son message. Mais sa dernière phrase n'est pas là par hasard, je le sais. Mais comment, arrive t'il à me parler enfermé entre quatres murs ? Peut-être que Nika le sera. J'ouvre le deuxième message.

" Garde les yeux grands ouverts, car les miens sont rivés sur toi."

J'avale difficilement ma salive et tourne sur moi même. Qui est cette personne ?

Énigmatique, Michael SCOFIELD Where stories live. Discover now