Chapitre 3 : pas le seul

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- Plus tôt l'inverse. Lui dis-je
Il rit.
- Vas te coucher. Me dit il
   - et si j'ai pas envie. Lui demandai-je
- t'es sûre de vouloir savoir ? Dit il en se rapprochant de moi
J'avais des frissons. J'étais prête à le gifler.
- Recule. Lui ordonnai-je
- Sinon quoi ? M'interrogea-t-il
Il me plaqua violemment contre le mur. Soudain, la p*t€ de celui était arrivé. Heureusement qu'elle est arrivée avant que je lui foute une gifle.
- chéri ? Tu fais quoi ? Lui demanda-t-elle
- Rien. Je la remets à sa place. L'imforma-t-elle
-  Non. Arrête tout de suite. Lâche emy ! Lui ordonna-t-elle
Il me regarda dans les yeux. Je voyais ses pupilles se dilataient. Je le fixais, également. Pendant que l'autre personne était entrain de vider son sac de courses dans la cuisine

- va dormir. Me dit il
Je partis. Non pas parce que j'avais peur de lui mais parce que je voulais pas voir sa gu€ule de c0n. Pendant que j'étais allongée sur le lit. Des petits tapotements ont eu lieu derrière la vitre.
Je partis voir, et je vis un homme face à la fenêtre. Il me fit signe. J'étais tétanisée. Je voulais appeler le narcissique mais je ne voulais pas le voir
Puis l'homme cria :

- Salut, ma jolie, tes parents m'envoient pour te récupérer. Sors discrètement.
J'étais sauvée. J'avais une petite pensée que mes parents allaient me récupérer. C'est incroyable. J'allais les retrouver. Je sortis par la fenêtre.

- attention de ne pas te faire mal, ma jolie.
L'homme était à peu près âgé, comme si il avait 5 ou 6 ans de plusse que Sacha.
Arrête de penser à lui ! Bizarrement, à chaque fois que je pensais à lui, j'avais ses yeux verts en tête. Je sauta et il me rattrapa.
- t'es sacrement belle. Me complimenta-t-il
- Merci. Le remerciai-je timidement
- Y'a pas de quoi
Cet homme était très sympa.

- et donc vous êtes un ami pour eux ?
- euh...oui...oui. Bafouilla ce dernier
- Très bien. Répondis-je
Il était louche. Mais très sympa.

- où allons-nous ? Lui demandai-je
- Euh...on va attendre dans mon garage. Me dit il. Et arrête de me poser des questions.
Je pestais. Je n'avais pas mon téléphone. Le narcissique me l'avait « empruntait ». Je le déteste put@in. Pendant le trajet, je contemplais le paysage en silence.
Arriver au garage, il faisait noir. J'étais à peu près sûre que mes parents se cachaient quelque part, afin de me faire une surprise mais rien.

- assis-toi sur cette chaise.
- Mais il y en a plusieurs. Répliquai-je
- je ne le répètes pas. Dit il avec un ton qui me fit des frissons.
Je m'asseyais. Tandis que le mec faisait...il faisait quoi ?! Il me ligotait à la chaise
- qu'est-ce que tu fais ! Criai-je
- Ta gu€ule. Me menaça-t-il
Je priais intérieurement pour que quelqu'un arrive et me libère. J'étais prête à c0ucher avec la personne qui me sauvera.

- maintenant tu vas me dire c'est quoi le numéro de tes put@in de parents. M'ordonna-t-il
- J'imagine qu'il vous en volait aussi.  Dit une voix familière.
- Qui a dit ça ? Demanda le gars
- Non je suis personne. Dit la voix en sortant de sa cachette.
- Sacha...dis l'homme qui se déstabilisait.
- C'est bien moi. Dit il
Parmi toutes ces personnes, il y'avait que Sacha pour me sauver ? En fait, oublier ce que j'ai dit. Je ne coucherais pas avec la personne qui me sauvera. Plus précisément, je ne coucherais pas avec Le narcissique.

- C'est...c'est...? Bafouilla l'homme
- M'a prisonnière. Dit il sûr de lui. Et on ne touche pas à elle.
Il me qualifiait de prisonnière là ?!
En une fraction de seconde, l'homme était à terre avec une balle en plein ventre. Suis-je bouché bée ? Oui. Énormément.
- il a eu de la chance. J'aurais pu lui en foutre dans les yeux. Soupira-t-il
- Comment as-tu su que j'étais là. Demandai-je.
- Je t'expliquerai dans la voiture. Dit le narcissique en me ligotant.
Je ne répondis rien trop occupée à me faire des idées de ce qu'il aurait pu me faire, si Sacha n'était pas là. Arriver dans la voiture, il se mit au volant de la voiture.

- bah, j'ai tout simplement mis un gps dans ton souttif. Me dit le narcissique en se préoccupant sur la route
- QUOI ?! Criai-je abasourdi
- J'en ai profité pour les toucher.dit il
- Tu as touché mes...? Dis je
- Oui. Me confirma-t-il, ils étaient trop mignons !
Ce gars là était fou.
- c'est vrai ?! M'exclamais-je
- Non je rigole. Dit il
Décidément il a un humour de m€rde.
- pourquoi tu aurais aimé ? Me demanda le narcissique.
- Je veux la vrai version. Dis je
- Bah j'ai mis un gps dans ta veste. Me dit il
- Comment tu as pu le savoir ? Demandai-je
- Tes parents sont des voleurs depuis longtemps. J'ai deviné, grâce à mon merveilleux cerveau. Dit le conducteur. Il était trop narcissique.

- t'as pas répondu à ma question. Dit il
- Non. J'aurais pas aimer. Répondis-je
Il était tellement concentré.
- ATTENTION UNE VOITURE ! criai-je
- put@in. Ils vont pas te laissé. Murmura le narcissisme en personne.
- MAIS LA VOITURE DLLD AVANCE VERS NOUS ! ON VA SE LA PRENDRE EN PLEINE GU€ULE ! Criai-je le plus fort possible.
- Ouvre la fenêtre. Et regarde les. ET SURTOUT SORS TA TÊTE. M'ordonna le conducteur.
Je fis ce qu'il me dit. Je sortis. Étant choquée par ce que la voiture me lança,je rentrais immédiatement. Ils m'avaient jeté une put@in de balle. Ils étaient près à me tuer pour de l'argent.

- C'est bien ce que je pensais. Dit il, et d'ailleurs, c'était vrai l'histoire du gps. Je te le précise avant qu'on meurt. Enfin avant que tu meurs.
- ATTENDS QUOI ?! Criai-je
- Faut jamais rigoler avec toi. M'informa le narcissique.
- oui bah faut rigoler quand on a de l'humour. Dis-je en levant les yeux au ciel.
- répète. Dit il avec froideur
- ÉVITE CETTE VOITURE !! ELLE VA NOUS FONCER DEDANS hurlait je 

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