Pourquoi lui et pas un autre ?
Voilà la question que se pose Mìa Dìaz 20 ans.
Elle est en couple avec Pedro González López dit « Pedri » depuis maintenant 1 ans.
Elle quitte Barcelone pour aider sa mère malade habitant en France.
Mais c'est je j...
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• Mìa Dìaz •
Une semaine c'est écoulé depuis le décès de ma mère. Une semaine que ma vie s'est arrêté. Une semaine que je n'existe plus. J'ai perdu tout ce qui me retenais vivante. Heureusement Pedro est là pour moi. En rentrant à Barcelone je lui est annoncé le décès de ma mère. Il m'a consolé et pris soin de moi. Mais je pense qu'il doit ne plus me supporter.
Je ne sors pas de la maison. Je mange pour deux. Et je ne parle quasiment pas. Je ne sais même pas si j'arriverais à relevé la tête un jour.
- Pedro : Amor ? Je t'apporte un thé. Et j'ai une question à te poser.
- Mìa : Tu peux entrer.
- Pedro : Ce soir j'ai un match au stade. À Barcelone. Tu veux venir ? Ça te changerais les idées. Pablo l'a proposé, et je suis assez d'accord avec lui.
Je pense que mon copain a raison. Je dois avancer et penser à autre chose. Ne serait-ce le temps d'une soirée. Oubliez le malheur qu'il y'a en moi.
- Mìa : Vous avez raison. J'ai envie de me changer les idées. Je viendrais, je vais demander à Julìa de m'accompagner.
—> Mìa Coucou c'est moi. Déjà pardon de ne pas t'avoir donner de nouvelles. Mais je suis vraiment pas très bien. Pablo et Pedro me propose de venir au match de se soir pour me changer les idées. Tu voudrais m'accompagner ?
—> Ju' Omg mais oui avec plaisir ma belle. Je passe te prendre un peu avant le match. Et ne t'excuse surtout pas. Je serait toujours là pour toi, alors n'hésite pas.
Je répond un simple « merci pour tout Julìa. ».
- Mìa : Julìa viendra me chercher. Merci mon cœur. Je t'aime.
Il m'embrasse et me préviens qu'il part à son entraînement. Je serais donc seule. Une nouvelle qui me fait plaisir. J'ai besoin de me prépare seule et me remettre sur pied en toute tranquillité.
[•••]
Je me regarde dans le miroir et me trouve belle. Depuis une semaine je me trouve enfin belle. Au même moment des coups à la porte se font entendre.
- Julìa : Coucou ma belle comment tu vas ?
- Mìa : Ça va ça va. On fait avec, écoute.
- Julìa : Encore toute mes condoléances. Tu es prête ?
- Mìa : Prête. Enfin je crois.
Je me jette dans ses bras avant que nous rejoignons sa petite voiture.
Arrivées au stade, je me rend quand même compte à quel point cet endroit m'a manqué.
