Communication rompue

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Fin de l'été

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Fin de l'été

La fin de l'été prenait doucement place la chaleur n'était plus aussi pesante pourtant entre les Montesquieut l'atmosphère était encore lourde entre eux.Harry n'osait plus regarder Malaurie dans les yeux car dans sa tête chaque seconde auprès d'elle lui donnait envie de succomber à certains de ses désirs,il voyait enfin sa compagne comme une femme et il avait même commencer à observer ses faits et gestes pourtant il n'osait pas lui dire ce qu'il ressentait.Du côté de sa femme elle avait bien sentie qu'il était devenue distant et pensant qu'il commençait à se lasser d'elle,elle essayait de se rapprocher de lui en lui faisant des petites attention mais silence radio du côté de son compagnon.

Lors du souper c'était calme comme les jours précédents,seul le bruit des couverts résonnaient dans la grande salle à manger et Malaurie n'essayait même plus de vouloir converser car elle voyait bien qu'Harry n'était pas ouvert à la conversation et qu'il se forçait même à manger en vitesse pour retourner dans son bureau travailler jusqu'au lever du soleil.

- Malaurie je dois vous avertir que je viens de finir d'écrire mon livre je vais donc m'absenter toute une semaine pour partir à Londres je dois le publier au plus vite et passer voir votre oncle

- Je suis bien contente que vous ayez fini d'écrire votre livre

- Amiral Blondet viendra vous voir à la maison lors de mon absence je suis sure que sa compagnie vous fera du bien à vous comme à lui qui se sent seul
Elle allait répliquer mais Harry avait déjà conclu la discussion de son côté et pris le chemin des escaliers,Malaurie se sentait mal elle aurait aimé parler plus avec lui mais il ne fessait que fuir la discussion.Marelyne sentie son malaise et essaya de la rassurer comme elle pouvait

- Madame ne vous sentez pas aussi mal je pense que monsieur après tant de mois d'écriture est saturé et prends des distances car il est épuisé

- Je pense plutôt Marelyne qu'il ne m'aime pas et qu'il me hait,je me demande bien ce que j'ai pu faire pour que mon mari me fuit de cette manière

Toute la nuit elle attendait dans le lit conjugal pensant qu'ils allaient pouvoir parler de ce qu'il se passe entre eux mais même plusieurs heures après Harry ne rentra pas dans sa chambre et il laissa sa femme s'endormir seule sur le lit,ce que Malaurie ne savait pas c'est qu'il avait fait exprès.Récemment Harry en voyant miss Montesquieut couchée près de lui voulait la combler de bisous alors en voyant que ses idées n'étaient pas clairs il préférait rester loin d'elle le temps que ça se calme car il lui devait le respect et ce n'était pas respectueux de sa part de penser cela même si c'était sa femme.Malaurie était sa première femme et aucune figure paternel ne lui avait enseigner les liens du mariage et de l'amour,qu'il était normal de tomber amoureux et surtout d'être attiré par la personne que l'on aime.

Au petit matin Malaurie sentie que Harry n'avait pas dormi ici et qu'il était partie,elle remarqua une lettre sur la commode,que Harry avait écrit à la hâte ce matin.Il expliquait dedans qu'il venait de partir et qu'elle pouvait lui envoyer des lettres si elle avait besoin de quoique ce soit et que dans l'après-midi amiral Blondet ferait son apparition.Miss Howard était triste,elle était tellement préoccupée que pendant qu'elle aidait Marelyne à couper des pommes pour leur promenade de cette après-midi elle se coupa le doigt avec un couteau

- Madame est-ce que vous allez bien?
Elle sortie enfin de ses pensées et vit qu'elle venait de se couper.Seule Marelyne était inquiète au sujet de sa coupure,sacrilège si Mr.Montesquieut apprenait que sa bien-aimée s'était couper le doigt quand il n'était pas là et que Marelyne n'avait pas bien veiller sur madame elle pendait déjà au pire.Mais cela n'inquiéta pas Malaurie elle sourit à Marelyne pour qu'elle ne s'inquiète pas

- Je suis désolée Marelyne j'étais dans mes pensées mais ne vous inquiétez pas ce n'est rien de grave

- Je crains madame que nous n'allons pas nous promener

- Oh non s'il vous plaît Marelyne faites moi cette faveur j'ai besoin de marcher un peu dehors

- Je reviens je vais chercher une aiguille et de la pomade pour votre coupure avant qu'elle ne s'infecte
Au final les deux dames se promenèrent dans le jardin et sur leur chemin elles rencontrèrent l'amiral Blondet qui les salua poliment et elles firent une révérence en guise de réponse,puis tous les trois rentrèrent à l'intérieur et Marelyne prépara le thé et les pommes coupés plus tôt puis les rapporta

- Merci Marelyne vous êtes très aimable
Marelyne rougit à la remarque d'amiral Blondet depuis leur première rencontre lorsqu'il s'était montrer grossier,il s'était montrer très aimable et gentil avec elle dès lors.Secrètement elle l'aimait même si au fond elle savait que c'était un amour impossible, jamais il n'aimerait une domestique sans fortune qui en plus de ça est rousse.Elle se dit que l'amiral avait le choix entre tellement de femmes jamais il ne la choisirais,si seulement Marelyne savait qu'elle était extrêmement jolie et que Malaurie ne fessait que ses louanges auprès de Richard Blondet

- Les pommes sont très juteuses et je vois la que vous avez aider en cuisine belle-sœur,vous ne cessez de me surprendre

- Sir Blondet puis-je vous faire une confidence?

- Bien sure madame dites moi tout je suis à votre écoute de plus je suis la pour vous tenir compagnie
Elle lui confia ses inquiétudes face au comportement de son ami qui se montrait froid et distant avec elle et elle lui montra même pour preuve sa blessure au doigt qui montrait son inquiétude face à la situation.Au lieu de se montrer compréhensif Richard Blondet rigola à gorge déployé dans le salon de son ami,Mrs.Montesquieut fut étonné face à sa réaction,était-ce si drôle de voir son insécurité face à la situation?

- Vous a t'il fait part d'une chose dont je n'ai pas connaissance et c'est pour cette raison que vous rigolez Richard?

- C'est que madame vous vous faites du soucis pour rien veuillez ne pas faire attention a l'attitude de mon ami,comme je vous l'avais dis vous êtes la première femme avec qui il est depuis que je le connais et je ne le connais pas depuis peu cela fait maintenant des années que nous sommes compagnons
Il lui donna un emballage qu'il avait apportait et elle l'ouvrait sous son rire déplacé,il s'agissait du violon qu'elle avait vu l'autre jour en ville.Elle ne comprenait pas toute suite de quoi il s'agissait donc elle regarda d'un air interrogateur l'amiral

- Il a cogiter toute une semaine en ne sachant pas comment vous le donner de ses mains alors il m'a confier ceci pour que je vous le donne,Harry est un homme timide j'ai longtemps eut peur qu'il ait des penchants douteux mais en vous voyant aussi inquiète face à ses sentiments je suis aussi diverti qu'au théâtre et pardonnez mon insolence

L'amiral fini par rentrer chez lui le sourire aux lèvres en lui recommandant d'envoyer une lettre à son mari pour l'avertir qu'elle était heureuse de ce cadeau et pour lui exprimer ses inquiétudes et ce qu'elle fît.A peine arrivé à Londres lorsque Harry ouvrit la lettre il était stressé puis en lisant le contenue le jeune Montesquieut se sentie bête de lui avoir fait peur et voulu rentrer au plus vite chez lui pour éclaircir ce malentendu mais arrivé à la fin,Malaurie lui dit qu'elle attendait son retour avec impatience à la maison avec de bonnes nouvelles de Londres et qu'il n'avait pas à se hâter de rentrer car elle l'attendait

Laufey's house of Beaulieu-𝐝𝐫𝐞𝐚𝐦 𝐬𝐭𝐨𝐫𝐲Where stories live. Discover now