Je suis punie !

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Ça devait arriver : je suis arrivée ce mercredi avec une demi-heure de retard. Assez terrorisée !

Il m'attend devant ma porte. Me voyant entière et rechapée de l'hôpital il me demande-t-il immédiatement et sèchement, sans même un petit bisou "Que t'est-il arrivé ?". C'était pas bon !

J'excipe de ma batterie vide, ce qui est exact. Il me répond, du tac au tac : "je t'ai dit de la gérer correctement. Personne ne pouvait te prêter un téléphone ?" Je ne puis que répondre que j'ai oublié son numéro (Ah ces appareils où tout est enregistré !) ce qui, aussi, est vrai. "Ce n'est pas bien difficile de l'apprendre". C'est sans appel et j'attends mon sort. Décidera-t-il de partir et, peut-être, ne plus revenir ? Non, quand même pas, s'il te plait ! Surtout pour une première fois.

Nous montons chez moi. Il se sert un apéritif, calmement en apparence mais ses tremblements plus marqués me montrèrent qu'il n'en est rien. Il s'assied et, moi, je ne sais plus trop où me mettre ni que faire. Je m'assied donc en face de lui, du bout des fesses. Après un moment il parle enfin : "je t'ai dit que si tu ne prévenais pas d'un retard tu devrais être punie si tu veux être pardonnée. Nous sommes bien d'accord ?" Je sens un soulagement : une punition effacera ma faute et, après cela, tout redeviendra comme avant. Du moins je l'espère.

Je répondis donc un tout petit "oui".

"Veux-tu être punie maintenant ou plus tard ?"

Aucune hésitation : "Oh, tout de suite, parce que je veux vite être pardonnée. Je ferai tout ce que tu voudras". Après tout que risquais-je ? Une fessée de plus ? Vu l'excitation qu'elles me donnent et le désir qu'elles déclenchent entre nous, une telle punition serait finalement plutôt un avantage... C'était à un détail prêt, qu'il avait sans doute mijoté depuis longtemps, et que j'allais découvrir ! Le traitre !

- "Nue" commande-t-il. Puis :

- "bien, va chercher la corde". Il ajoute, avant que je ne sorte : "Cette fois ce sera une seule séance punitive. Si tu récidives ce sera deux séances à 2 ou 3 jours d'intervalle. Tu vas voir que tu connaitras mon numéro".

Nous avons une corde de coton tressé car plus doux pour m'attacher que du chanvre, grosse comme un petit doigt pour ne pas me blesser.

Il est très rare qu'il m'attache pour me fesser et rarement pour d'autres amusements. Il ne me lie que pour jouer ou lorsqu'il veut s'assurer qu'une de mes mains ne vienne protéger ou masser une fesse trop brulante. En général il tolère bien ces petits gestes de défense ou de soulagement et attend que ma main soit partie pour poursuivre son œuvre. Ça devient donc plus inquiétant. Ça allait être sévère et probablement long. Mais, bon, mon cul assumerait mes actes.

Il me lie un poignet puis, curieusement, m'attache le second à environ un mètre de l'autre. Les rares fois où il m'attache les mains c'est les poignets réunis... oui, il mijote bien quelque chose ! Mes mains sont assez libres mais, une fois en travers de ses genoux - si c'est ce qu'il choisit - elles seront assez entravées pour ne pouvoir secourir mes fesses. Oui, ça va chauffer !

Il retire son pantalon puis son slip. Il a une très belle érection. L'eau me vient à la bouche ! Il s'assied sur le canapé et me fait signe de m'allonger en travers de ses genoux, la tête à sa droite donc ma main droite, de droitière, contre lui. Et là, surprise, il m'ordonna : "prend ma bite dans ta main. Tu seras fessée jusqu'à ce que tu me fasses gicler. Tu n'auras donc rien dans aucun de tes orifices et resteras sur ta faim. Je ne te permettrai que de venir nettoyer avec ta langue ce que tu auras fait sortir." Piètre consolation à rester vide, mais c'est toujours ça. Et ce n'est certainement pas le moment de discuter, dès fois qu'il lui vienne l'idée de la terrible canne. "Tu dineras nue pour que ton excitation dure plus longtemps."

Vers mes bonheurs érotiques.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant