Vers mes bonheurs érotiques.

Les premiers et troisième mercredis du mois

Après quelques premiers et troisièmes mercredi « administrés » comme convenu, nous décidâmes d'ajouter un peu de rituel pour pimenter ces jours.

Je dois donc l'attendre, nue sous une robe légère et ample (i.e. très rapide à enlever !).

Dès que je lui ouvre et que nous nous sommes embrassés, je dois l'entrainer sur le tapis du salon, m'agenouiller, dégrafer et laisser tomber ceinture et pantalon, descendre son slip sur ses pieds (son sexe saute toujours aussi joyeusement l'élastique !), le prendre immédiatement en bouche et le pomper profondément « comme une princesse ».

Après quelques aller-retours (faudrait pas aller trop vite à l'aboutissement !) il me relève et saisissant le bas de ma robe la fait voler au-dessus de ma tête. Et je suis nue.

Il considère (en fait nous considérons) qu'une fessée se donne toujours sur les fesses nues (et de toute façon il ne veut rien perdre du spectacle) et, de préférence, entièrement nue mais il y a des exceptions. Ne serait-ce que dans la nature où c'est toujours un peu risqué. Une jupe est plus vite rabattue.

Il m'embrasse profondément, honore mes seins, se serre contre moi pour que le contact entre nos sexes soit fort... Puis il m'administre !

Pour la position il est de mes prérogatives que je puis exprimer un souhait particulier, toujours exaucé, mais, dans l'immense majorité des cas c'est lui qui décide... et le fait qu'il choisisse est le début de mon plaisir ! Le plus souvent c'est sur le canapé ou le lit, en travers de ses genoux, on the knee, la position classique par excellence, qui garde tous ses mérites, surtout pour le confort : elle permet de se concentrer exclusivement sur la brulure de ses fesses, sans distraction d'un quelconque mal-être. Mais ça peut varier suivant ses ou nos désirs et humeurs du jour. Également confortables : penchée à plat ventre sur la table de la cuisine ou à quatre pattes sur le canapé, coudes pliés (pour que mes fesses soient le point culminant). Un peu moins « comfort » mais érotique car peut-être plus « soumises » : debout, penchée, mains aux genoux ou, mieux, aux chevilles. Proche : le petit pont : pieds et mains au sol (l'intérêt est qu'on ne peut envoyer une main protectrice vers ses fesses sans se casser la figure !). Enfin, dans nos positions occasionnelles, en diaper : couchée sur le dos on relève les jambes pliées, bien sûr largement écartées, les genoux en boucles d'oreilles... . Il l'utilise rarement mais aime bien, pour le panorama, surtout qu'il commence en m'écartant soigneusement les lèvres exposant clitoris et entrée du vagin ! C'est aussi la plus cuisante car les fesses très tendues sont plus sensibles. Nous n'utilisons guère la position de la brouette, presque aussi panoramique mais peu confortable.

Quand je suis on the knee, après quelques retentissantes claques il m'est difficile de ne pas écarter les jambes. Alors, parfois (aller, soyons honnête : souvent) je sens une main se glisser entre elles. Deux doigts s'enfoncent dans mon vagin, deux autres pressent mon clitoris, un pouce s'enfonce dans mon anus et tout cela se meut, masse lentement, au rythme des claques. Là, je ne sais plus où je jouis. J'aimerai hurler de plaisir ou de bonheur... mais les voisins ! Alors je gémis, je couine puis le supplie de me prendre. Et les claques continuent, ses doigts massent, mes fesses brulent encore et encore... il se fait attendre !

Longtemps il n'utilisa que sa main. Et ce sont toujours elles que je préfère : ses mains larges et puissantes ! Dispensant des claques bien éclatantes (Les voisins ! Bourreau de popotin !). Nous essayâmes la spatule de cuisine. C'est pas mal mais la brulure est plus aiguë et la sensation moins pleine.

Je reçus également une fois deux coups de badine d'un demi centimètre de diamètre (plutôt de canne anglaise, en somme) « pour savoir ce que ça fait si tu dois la mériter un jour pour avoir été vraiment très vilaine ! » Et alors, là, c'est vraiment très douloureux, même pour moi : surtout ne jamais être vraiment très vilaine !