Ceux qui nous faut retrouver, Joan He

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4e couverture (Edition Lumen) : Piégée sur une île déserte depuis trois ans avec pour seule compagnie une petite androïde, Cee ne se rappelle plus rien de sa vie d'avant. Rien... si ce n'est qu'elle a une sœur qui l'attend là-bas, quelque part de l'autre côté de l'océan. Elle le sent dans la moelle de ses os : il lui faut à tout prix échapper à cette île pour aller la retrouver. Mais comment ? Un monde plus loin, Kasey Mizuhara vit dans une cité dans les nuages, conçue pour protéger l'humanité des désastres naturels qui se succèdent sur terre. Fille de deux fondateurs de la ville flottante, elle pleure la disparition de sa sœur Celia, adorée de tous, fascinée par le monde extérieur, qui a pris trois mois plus tôt dans un bateaux et mis le cap vers le large, sans plus jamais donner signe de vie. Mais soudain, un matin, la présence de Célia est repéré quelque part en ville. Kasey s'enfonce dans les entrailles du monde, bien décidé à percer les secrets de son aînée - il faut dire qu'elle n'en manquait pas - pour pouvoir enfin la serrer de nouveau dans ses bras.

J'ai terminé ce roman le 01/08/2022. Rien de tel qu'une science-fiction pour rappeler à l'être humain qui nous sommes réellement. N'hésitez pas à y inscrire vos réactions et vos remarques :)

« Seuls ceux qui abandonnent échouent.  » - Ceux qui nous faut retrouver, Joan He, p. 67.

« Un tremblement de terre et ils tombaient tous. L'humanité l'avait bien cherché et ne pouvait s'en prendre qu'à elle-même. » - Ceux qui nous faut retrouver, Joan He, p. 201.

« Non, au-delà de ça, elle avait peur, tout simplement. Parce qu'elle savait que même en aimant ses proches, on ne les comprenait pas toujours et qu'on ne chérissais pas forcément tous les aspects de leur personnalité. » - Ceux qui nous faut retrouver, Joan He, p. 345.

« Et si la nature humaine était la dernière maladie qu'il nous restait à éradiquer ?  » - Ceux qui nous faut retrouver, Joan He, p. 348.

« Les hommes seraient-ils jamais prêts à renoncer de leur plein gré à leurs libertés pour le bien de leur prochain ?  » - Ceux qui nous faut retrouver, Joan He, p. 360.

« Malgré toutes les innovations, les hommes restaient microscopiques face à leur environnement. » - Ceux qui nous faut retrouver, Joan He, p. 362.

« Son erreur n'avait pas été de s'en remettre à la technologie en elle-même, mais de faire confiance aux êtres humains que servait cette technologie. » - Ceux qui nous faut retrouver, Joan He, p. 405.

« Mais à quoi bon en appeler à la logique ? Elle s'arrête là où l'amour commence. » - Ceux qui nous faut retrouver, Joan He, p. 491.

ON A LE DROIT DE CHOISIR OÙ ON VA ET QUI ON DOIT RETROUVER.

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