My brother's best friend

10.PAYTON

On arrive à la patinoire en une dizaine de minutes, il n'y a pas d'embouteillages à 23h30.

-Je peux venir avec toi? J'ai pas envie de rester seul dans la voiture.

-Oui.

Elle sort la première et pousse un petit cri puis rentre à nouveau dans la voiture.

-Je me gèle enfaite je reste ici.

Effectivement avec son petit haut et son short ras le cul de pyjama ne doivent pas lui tenir très chaud.

Je me penche vers l'arrière pour prendre un sweet que je garde toujours dans ma voiture au cas où j'ai froid.

Aujourd'hui il lui servira pour elle.

-Tiens.

Elle l'enfile et bizarrement la voir avec mes vêtement me donne le sourire.

-Bon pour le bas je peux rien faire.

-Je vais courir jusqu'à l'intérieur.

-Ok laisse moi juste ouvrir la porte.

Je sort de la voiture et marche pour allez prendre la clé cachée toujours au même endroit.

J'ouvre la grande porte et fait un signe à Chloé pour lui dire de venir.

Elle sort de la voiture et ce met à courir comme un enfant ce qui me fait rire.

Mais qu'est ce qui ce passe ce soir, je n'ai jamais autant apprécié sa compagnie.

-Mec, laisse moi passé.

Je la laisse donc passer.

-Je regarde dans les vestiaires regarde autour de la glace.

Elle part dans la salle principale et moi je regarde dans les vestiaires. J'ouvre les casier dont je connais les codes car ce sont ceux de mes coéquipiers.

Il n'y est pas mais en me tournant je le vois directement sur un banc.

Je le récupère et rejoint Chloé dans la salle où y'a la patinoire.

-Je l'ai trouver.

Je la vois toucher la glace de ses doigts.

Elle sais patiner, enfin elle savait quand elle était gosse mais je pense que ça ne ce perd pas vraiment.

Je sais pas pourquoi elle a arrêter de venir de temps en temps avec nous à partir de ses douze ans.

-Ça fait des années que je suis pas allé a une patinoire.

Elle toune sa tête vers moi.

Elle dis vrai car elle ne viens même pas à nos matchs de hockey.

-Pourquoi tu patines plus du tout?

-Ça me manque.

Elle esquive ma question.

-Alors on va patiner.

Je vois des étincelles dans ses yeux.

-On peux?

-Donne moi ta pointure.

-Trente-neuf.

Je retourne à l'entrée et pique deux paires de patins à nos pointure.

Je retourne vers elle et lui donne ses patins.

On chausse tout les deux, je monte le premier que la glace et fait quelque tour assez rapidement pour échauffer mes cheville.

Quand je regarde vers elle je vois qu'elle ce tiens à la rambarde.