My brother's best friend

1.PAYTON

Dans les couloirs la nana que j'ai baisé cette nuit m'attend déjà devant mon casier. J'ai horreur quand les filles ne comprennent pas que c'est une nuit avec moi et pas plus.

-Olive bouge de la.

Elle se décale histoire que je range mes affaires dans mon casier. Quand c'est bon elle m'attrape le col de mon tee-shirt et plaque ses lèvres contre les miennes. Je ne ressent strictement rien, en même temps je n'ai pas envie de sexe maintenant. Je la repousse légèrement pour ne pas qu'elle sois humiliée au milieu du couloir, mais elle en redemande.

-Stop.

-Ok, on remet ça à ce soir?

-J'ai entraînement de hockey ce soir.

C'est totalement faux mais je ne couche pas deux fois avec la même personne encore une fois.

-Oh, demain alors?

-Écoute Olive, tu es sympa mais c'était juste un soir ok?

Elle perd son sourire, sa main ce lève pour ce claquer contre ma joue mais j'arrête son poignet à temps.

-Connard.

Elle s'en va après cette insulte, j'ai franchement l'habitude.

Je récupère mon sac que j'avais foutu par terre et me dirige vers mon cours de sociologie.

C'est grave intéressant mais trop long pour rester concentré et je m'en fou personnellement je veux vivre du hockey.

Il faudrait que j'arrête de louper les entraînements ces derniers temps mais j'ai l'impression d'y allez pour un rien car je suis clairement le plus fort dans ce domaine et j'ai pas besoin de m'entraîner.

Comment je le sais? J'ai un égo surdimensionner et puis si ce n'étais pas le cas le coach, en conséquence de toute les séances loupées, m'aurait déjà enlever mon post de capitaine d'équipe.

En parlant du loup je le vois arriver dans la salle où je venais à peine de rentrer.

-Excuser moi Hélène, Moormeier je dois te parler.

La prof me laisse partir avec lui mais bon, vu l'air colérique du coach, je pense que j'aurais préféré rester affalé sur ma table pendant deux heure trente.

Je suis le coach jusqu'à son bureau, mon heure est enfin venu.

On s'assoit face à face, je n'ai même pas le temps de dire un mot qu'il m'annonce ce qui va me mettre en colère pour le reste de la journée.

-Tu es suspendu pour le prochain match et Samson devient le capitaine, du moins jusqu'à ce que tu reprennes ton sport au sérieux.

-C'est une blague?

-J'ai l'air de rigoler?

-Putain non! Vous ne pouvez pas faire ça!

-Tu es peux être le capitaine mais c'est moi qui décide, tu as des responsabilitées que tu ne tiens plus! J'ai laissé passer un moment mais maintenant ce n'est plus tolérable!

-C'est bon je serait toujours là maintenant c'est promis! Samson ne peux pas prendre ma place!

Il ne peux pas me faire ça.

-C'est le meilleur après toi alors oui il l'a prend et peut-être que si t'arrêtais de faire le con on en serait pas là!

-Je serait la tout le temps coach!

-Ça serait beaucoup trop facile, tu as intérêt à revenir et après dans les mois qui arrive on verras.

Les mois???

Je ne peux pas passer des mois sans être capitaine, c'est ma passion.

-C'est me priver de ma raison de vivre là coach!

-Je ne te prive pas de pratiquer le sport mais il ne faut pas croire que tu es tout permis! Il fallait réfléchir avant.

Je ne répond même pas et quitte son bureau hors de moi.

Je décide de ne pas retourner en cours, et derrière la porte Samson m'attendais et c'est vraiment la dernière personne que je voulais voir.

Sans me contrôler mon poing par sur sa joue, il gémi de douleur.

-Mais va te faire foutre.

-Toi va te faire foutre! Putain Samson comment tu as pu prendre ma place de capitaine!

-Tu crois que j'ai eu le choix? Je sais à qu'elle point ça compte pour toi je ne voulais pas mais c'est le coach qui décide. Merde Payton je n'ai fait que t'avertir que tu t'absentais trop aux entraînements! C'était prévisible.

-Ok, écoute je suis vraiment sur les nerf alors je vais partir pour éviter de dire des conneri que je ne pense pas.

Je le laisse en plan mais je suis vraiment sûr les nerf.

Devant la porte du bâtiment je m'allume une cigarette et regarde face à moi.

Devant moi ce trouve les porte vitrées de la bibliothèque universitaire et comme à son habitude Chloé est ici avec ses deux amis dont ce connard de Roman.

Je ne l'aime pas, c'est comme ça on je peux pas aimer tout le monde dans la vie.

Je le trouve chiant, pas drôle, ennuyant et surtout il regarde beaucoup trop Chloé.

Je ne suis pas jaloux ce n'est vraiment pas mon genre mais Chloé je la vois comme ma petite sœur. J'ai grandis avec elle et son frère, hors de question qu'un type la touche.

Même si au fur et à mesure des années voir son corps ce developer et la voir devenir une femme m'a compliqué la tâche de la voir uniquement comme une petite sœur j'ai sus tenir le cap.

Jamais je ne l'a mettrais dans mon lit car je lui ferait beaucoup trop de mal et je déteste la voir souffrir.

Aussi par respect pour Samson, ça va on ne touche pas la petite soeur du meilleur ami.

Son regard ce tourne vers l'extérieur, et quand je crois qu'elle me remarque au milieux d'autre personnes qui sont sortie pour fumer je ne fait aucun signe car je ne suis pas d'humeur à faire des plaisanteries.

Elle, m'adresse simplement sont majeur car je la regarde.

Je vais finir par lui mettre dans le cul, d'habitude j'en ai rien à branler mais ce n'est pas la matinée où il faut me faire chiez.

Je détourne le regard pour monter dans ma voiture, que cette garce de Chloé a rayé la semaine dernière.

J'ai cru que j'allais la tuer quand elle m'a annoncé ça.

Madame a eu le permi car son examinateur ne savait pas tenir ses couilles en place.

En effet le fait qu'il est touché plusieurs fois « sans faire exprès » sa cuisse, et lui dire qu'elle était joli est à vomir.

Elle ne l'a eu que car il a été séduit j'en suis sûr, même si Chloé en parlant de ça était assez traumatisé sur le moment.

Je comprend les vieux sont des porcs.

Je fini par rentrer chez moi et tant pis pour les cours, et puis à quoi bon assurer une bonne moyenne pour au final ne même plus pouvoir être capitaine?

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Courage dans vos révisions de philosophie/français 🫶🏻
On est ensemble pour la philosophie 🥹 c'est super compliqué.