Why me and you {Mitsuya}

🧋 Chapitre 31🧋

•POV YUNA•

Quesque vous faites encore là? Non que je sois aigris ou bien que je ne vous aime pas mais l'histoire est finit.

J'ai rencontré Mitsuya,
on est sorti ensemble,
on s'est attaché l'un à l'autre et il est "mort".
Je ne vois pas comment cette histoire pourrait continuer.

Ça va bientôt faire six ans, six ans que j'ai réussi à me rentrer ce foutu deuil dans le crâne.

Si je devais lui dire se que j'ai ressenti et ressent je lui dirai sûrment quelques chose de très vrai et sérieux.

Ma lettre au nouveau chapitre:
Un jour ça à été le déclic, j'arrive pas à savoir se qui est le pire ou se qui est le mieux mais s'était comme si rien n'avait existé, comme si toute notre histoire était qu'une pensée passagère qui m'arrive encore d'entendre chuchoter mais à laquelle je comprends plus rien. J'ai oublié ton rire, le son de ta voix, le goût de ta peau la chaleur de tes mains. Je ne sais pas si c'est ça guérir, mais je sais que ça ne me fais plus rien, d'entendre ton prénom, sentir ton parfum, d'entendre cette chanson où bien même d'être passer par cet endroit. Et je me suis longtemps demandé si cela voulais dire laisser tomber et perdre une propre partie de sa vie, de sa story, ou abandonner consciemment un partie de sa vie, mais au final je pense pas... On oublie les images mais on reste marqué par le ressenti. Je ne vais pas te mentir, je ne me rappelle plus de ton visage mais je sens encore la pluie, l'audeur du scandale mélangé à la leçon de vie. Je vais arrêter de vivre dans des souvenirs qui me regarderons demain et peut-être me laisser une chance d'exister plus que demain.

Oui, six ans, et j'ai quitté le Japon. Chaques places, chaques endroits, chaques villes, le parc, le lycée, les rues, les membres du toman, tout, tout me rappelait Takashi. Alors après avoir fini le lycée et ma terminale, j'ai regardé pour faire des études à l'étranger, j'ai trouvé les études que je voulais: études de médecines, en France. Alors j'y suis allé, accompagné de Lola qui voulait me suivre dans ce délire, "où que tu ailles, je te suivrai, on est meilleures amies, c'est normal" et puis elle avait choisi une académie qui logeait en France -le pays de la baguette-. À l'âge de dix-huit ans, nous, on a décidé de partir. Comment dire que mes parents se sont plus inquiétés pour l'image que cela donnerait d'eux, que de l'avenir de leur fille... Mais je m'en fou. De son côté, Chifuyu voulait carrément venir loger en France pour ne pas me quitter, j'ai tenté de lui en dissuader, j'ai étrangement réussi facilement.

Une question revenait chaque jour, comment ai-je réussi à survivre quatre ans dans la même ville où on a passé des bons temps ensemble et six ans -au total- sans lui.

Yuna, quesque tu fais! Viens jouer! Me crit Lana.

Oui, j'arrive, désolé. Lui répondit-je.

Je retourne jouer au volley. Sur le terrain, je tends ma main vers Enzo, il me tchek avant que l'on se positionne tout les deux.
Je suis passeuse.

•🧋•

•POV OMNISCIENT•

Six ans avant, Yuna était encore une jeune adolescente japonaise, qui vivait dans ce jolie pays. En plein milieu d'un chagrin amoureux qui était très douloureux. Ses amis et son frère l'aidaient au maximum, on ne pas en dire autant de son père et de sa mère, qui, quand ils ont appris que la fille passait ses journées à pleurer dans sa chambre, c'était à cause de son ex-copain, ont encore une fois pétés un câble.
Car oui, les deux adultes ne connaissaient pas du tout la relation amoureuse que vivait leur fille avec ce "criminel" -comme disaient-ils si souvent-. Le pauvre Chifuyu, s'était lui qui ramassait tout, car oui, c'est totalement de sa faute si sa petite sœur sortait avec un de ses amis et que en plus de tout ça Chifuyu ne disait aucune information au parents. Ça ne leur avait donc pas servit de leçon la dernière fois, pendant des semaines entières Chifuyu n'a pas pû sortir de chez lui et Yuna aussi. Et c'est exactement se qui se reproduit... Chifuyu -bien qu'il n'est rien fait de grave- et Yuna furent encore une fois condamné à la peine du "privé de sortie". Ils ont bien gardé pour eux le sujet du Tokyo Manjikai dont l'aîné fesait toujours partie. Yuna, ça n'allait pas lui changer beaucoup, ce Mitsuya était devenu une pièce maîtresse de sa vie, et la pièce essentielle dans sa vie amoureuse. Sans lui, son cœur avait un trou, il manquait quelque chose, plutôt quelqu'un.