l'histoire de Meriem- Elle l'aimait et lui aussi -

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Salam Aleykom, je réfléchis pendant une trentaine de minutes à tout et rien avant de m'endormir.

Réveillé à 5h, je me lève et remarque mes règles,je suis dépitée. Je lève les autres et pendants qu'ils prient je prépare le petit déjeuner et une bouillotte, car je ne sais pas vous mais moi j'appréhende mes règles car j'ai des douleurs insupportables.

Je vais dans ma chambre et profite des quelques temps avant que les douleurs arrivent. Je me souviens que le chargeur de l'ordinateur est en bas dans le salon, je me lève et une douleurs semblable à une contraction s'empare de moi. Je lâche un cri strident, Said arrive en courant dans ma chambre. Je lui dit de fouiller dans le tiroir et il sort mon médicament. Il m'aide à me l'injecter, et je m'assois sur le lit. Au bout de quelques minutes les douleurs se dissipe. Said s'approche et me dit

Said- Ça va ? Ça c'est calmée ?
Meriem- Al Hamdoulilah, ça va mieux. Merci d'être venue m'aider Said.
Said- Ne t'inquiète pas princesse, t'a besoin de quelque chose ?
Meriem- euh oui le chargeur de l'ordinateur, je l'ai laisser dans le salon s'il te plaît.
Said- vas-y j'arrive.
Il descend et remonte quelque instant plus tard avec le chargeur deux tisane et un paquet de chips. Il me les temps et s'installe à mes côtés, et on regarde un film ensemble.
Les douleurs reviennent plus tard, je prends des médicaments et Said m'aide à descendre en bas. Papa arrive au même moment pour le déjeuner.

Papa- Salam Aleykom les enfants.
Nous- Aleykom Salam papa.
Mon père remarque mon teint patraque, ma bouillotte et comprends. Il me sert dans ses bras.

Papa- ça va benti ? Ça te fais mal ? T'a fait ta piqûre ?
Meriem-  ça va Al Hamdoulilah, un peu mais c'est supportable. Oui Said m'a aider pour la piqûre.
Papa- Al Hamdoulilah, Allah y Chafik Benti.
Nous- Amin.
On déjeune.

Je remonte dans ma chambre et me pose sur la coiffeuse. Enfaite je ne m'a suis pas décrite, alors j'ai les yeux miel, je l'ai est hériter de ma mère Allah y rahma, je suis ni grosse ni maigre. Je fait 1,68m. A mon plus jeune âge je détestais mon corps, j'étais en sur pois et ma tête de bébé n'arrangeait rien. J'ai surtout était traumatiser de mes formes développer à mes 11ans, car oui j'ai subit un viol à cause d'eux. Mais Al Hamdoulilah je suis encore de ce monde.

Une douleur me prends, je m'allonge sur mon lit et pleure, je pleure jusqu'à trouver le sommeil. Vers 16h, je me lève et prends mes médicaments, je suis encore dans mon lit quand Said entre et s'assoit à mes côtés.

Said- ça va ? Je suis passer plus tôt mais tu dormais je ne voulais pas te réveiller.
Meriem- ça va Al Hamdoulilah, tu voulais me dire quelque chose ?
Said- Al Hamdoulilah, oui, c'est au sujet de Zakarya. Moi, sa ne me dérange pas tant que vous êtes dans le halal, Zakarya est un homme bien. Mais le problème  c'est Zyed.

Je le regarde avec de gros yeux

Meriem- Zyed ?
Said- oui, il ont grandit ensemble, ils était meilleur ami même. Tu le sais que Zyed à été dans le haram à un moment, et c'était avec lui. Et Zyed pense qu'il baigne toujours dedans.

Je suis choquée, je savait que Zyed à eu des problèmes de drogues. Mais il a arrêté à la sortie du lycée, mais le plus gros choque. C'est qu'ils se connaissent.

Meriem- ......Alors, je fais quoi maintenant ?
Said- Moi je ne sais pas, c'est ton choix, si tu veux le rencontrer, il viendra à la maison, on discutera avec ou sans Zyed.
Meriem- d'accord *je lui fait un bisous sur la joue* e réfléchis et je te prévient. On doit en parler a baba ?
Said- * me prenant dans ces bras* tu choisis, si tu veux lui en parler on peux le faire demain, personne ne travaille.
Meriem- oui je veux qu'il soit au courant.
Said- très bien princesse, bon je dois te laisser je travaille dans deux heures.
Il me fait un bisous sur 'e front et part.